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 Le sanctuaire du Godai

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MessageSujet: Le sanctuaire du Godai   Le sanctuaire du Godai EmptyJeu 20 Jan - 21:51

Le Vent du Destin – [post du jeudi]
La lune était claire et se présentait pleinement sa face lumineuse au monde abstrait qu’était celui des hommes. Aucun nuage ne prédisait de mauvais temps ne put être perçu se soir là. Le terrain d’entraînement était vide, les premières gouttes de rosée faisaient leur apparition sur le sol. La nuit était d’une magnificence, les étoiles brillaient d’une douce et claire lumière accompagnée par l’éclat de la lune pleine. Otake ne dormait plus depuis un long moment. Sa nuit de sommeil avait été troublée par une étrange douleur qu’il avait d’abord ressentit dans son rêve, puis qui s’était extériorisé en un atroce mal de tête. Depuis, qu’il avait complété son sceau avec les essences qui lui faisaient défauts, il ressentait cette vive dans son sommeil, mais elle s’estompait beaucoup plus vite que dans la situation présente. Il se leva pour sortir prendre l’air, ce qui l’apaisa aussitôt. Désemparé, Otake alla rejoindre le terrain d’entraînement pour passer le temps. Il fit paisiblement quelques tours de terrain, lorsqu’une fine pluie débuta. L’eau qui tombait était fraîche, ce qui le revivifie au passage.

Soudainement, Otake vit au loin une lueur qui scintillait comme la flamme d’une bougie. Le jeune homme, curieux, décida de s’en approcher pour comprendre comment une lueur de cette taille pouvait flotter dans les airs. Le jeune porteur du sceau du Godai fut épaté de voir une sorte de petite flamme devant lui… Il frotta ses yeux, pour être sur de ne pas que ceux-ci lui joue un tour, lorsqu’il les rouvrir, Otake découvrit avec stupéfaction que de nouvelles sphères étaient apparues : une bulle d’eau, une pierre, une sphère de vent et une dernière d’énergie. Ensembles elles se mirent à tournoyer autour du ninja. Éblouit par le spectacle de lumière et de couleur, Otake restait sans voix. Par la suite, les sphères se mirent en rang et tracèrent un chemin dans le boisé. Otake était perplexe et sans réfléchir les suivi. Après être sortit du village de Konoha et après environ une heure de marche, la progression le guida devant une muraille. À l’improviste, les guides se dissipèrent et la nuit devint sombre, le vent se mit à souffler dans les branches avec force…
Le Souffle du passé – [post du vendredi]
J’observai un peu les alentours pour comprendre que cette idée d’avoir suivi une illusion n’était pas très brillante. Effectivement, aucun point de repère ne m’indiquait quelle route j’avais empruntée pour en arriver à cet endroit, sans guides je compris qu’il m’aurait été impossible de trouver ce lieu dans cette épaisse sylve et ce grand bosquet, qui tangentait la muraille. Je dus me résoudre à chercher à entrer à l’intérieur de cette muraille. De mon instinct intrépide, je tentai d’escalader la barrière de pierres, cependant cette tentative fut vaine, l’érosion avait rendu la paroi trop lisse pour y grimper et il semblait y avoir un sceau de protection pour empêcher les intrusions. C’est ainsi que je longeai la muraille pour trouver une entrée. Je fus mené en suivant le contour à une porte imposante. Celle-ci m’impressionna par ses détails et ses motifs. Un entre autres me parut très familier, il s’agissait d’un cercle dans lequel il y avait cinq marques de couleur entourant le kanji du mot Shinobi. En l’analysant, je me remémorai qu’il s’agissait de l’icône des cinq kages. Je portai ensuite mes yeux sur l’arche qui entourait la porte. J’y remarquai aussitôt les symboles de chaque élément : 土(Terre), 水(Eau), 火(Feu), 風(Vent), 雷(Foudre). Il ne pouvait s’agir d’une coïncidence… Je m’approchai alors de la porte et tendis ma main pour la déposer sur l’icône central. À cet instant, le sceau du Godai s’illumina et la porte se mit à s’ouvrir lentement. Lorsque l’ouverture fut suffisante, j’aperçus d’abord un sentier pavé de pierres et des statues recouvertes presque entièrement de vignes et de plantes grimpantes lesquelles se trouvaient au centre de la voie. Un bref moment s’écoula et les portes se retrouvèrent pleinement ouverte.
Je me retrouvai alors devant un large paysage en ruine. Certains vestiges montraient qu’autrefois un jardin longeant le sentier accueillait les propriétaires dans leur résidence, mais aujourd’hui le bosquet s’était élargi et des buissons couvraient l’entrée principale. Je fis quelques pas pour entrer dans ce sanctuaire. J’avançais lentement pour observer les alentours afin de comprendre où j’étais. Quand je fus près de la première statue, j’empoignai quelques-unes des plantes afin de les dégager. Je pus ainsi remarquer que cette statue représentait un élémental d’eau, une sorte d’être fait complètement d’eau. D’un pas rapide, j’allai analyser la seconde statue qui elle représentait un être recouvert de flammes. Les trois autres statues évoquaient des êtres respectivement d’air, de terre et de foudre. Je vus un peu plus loin l’entrée d’un temple souterrain et une tour qui ne semblait pointe avoir d’accès. Mes pas me tirèrent vers la porte du temple sans même que j’aie à y penser.

Le reflet du temps – [post du samedi]
Pour accéder au temple, il fallait ainsi descendre un court escalier de quelques marches. Une fois la porte dépassée, on se retrouvait dans une pièce souterraine. L’endroit était sombre et lugubre, le temps l’avait rendu poussiéreux. Je cherchai une torche à allumer pour éclairer les lieux, mais au défaut de torche je mis la main sur un levier. En l’actionnant, des volets placés au plafond s’ouvrirent de manière synchronisée et la lumière du jour pénétra dans le temple oublié. La salle était très vaste et avait une forme pentagonale, au centre il y avait trou au plafond qui menait à la tour. De part et d'autre étaient installés quelques meubles de salon et de bureau. Par ailleurs, à chaque mur qui constituait les côtés du pentagone se trouvaient portail menant à une autre pièce. Je pris le temps de bien observer les détails des mosaïques, lesquelles étaient posées sur les murs. Ce temple était d’un grand luxe et peu à peu, je commençais à me faire une idée de ceux qui l’utilisaient.

Ensuite, je décidai d’aller observer les salles secondaires. La première salle dans laquelle j’entrai affichait un monument à l’effigie de l’eau : c’est-à-dire qu’il présentait une goutte d’eau d’environ un mètre complètement fait de saphir. C’était magnifique surtout que les rayons du soleil le rendaient étincelant. Je le franchis pour observer le reste de la pièce. Elle se rétrécissait en pointe où il y avait une petite cascade et un bassin d’eau en pierre. Un tapis de méditation offrait le confort pour réfléchir devant cette petite source. Avec un peu de recul, je réalisai que la pièce avait la forme d’un triangle. Je compris instantanément que l’ensemble du temple formait un immense pentacle comme celui que je portais sur mon front.

Cet indice confirma ma pensée; j’étais bien dans le mystérieux temple du Godai. Autrefois, j’en avais brièvement entendu parler dans un conte, mais aujourd’hui je réalisai que je m’y trouvais réellement. Je me souvins que ce temple avait disparu avec ses propriétaires, les maîtres du Godai, comme ils étaient surnommés puisqu’ils auraient été capables d’atteindre une perfection dans l’usage de leur affinité dans le ninjutsu. Les cinq, selon l’histoire, auraient égalé les pouvoirs à ce niveau du Sage des six chemins. Somme toute que le pentacle était leur symbole.

Je me retournai pour sortir de la pièce et j’aperçus sur le mur qui me faisait face, une bibliothèque remplie de parchemins. J’en ouvris alors un et je constatai qu’il y était parfaitement décrit une technique du Suiton… Je le replaçai et j’allais voir les autres pointes. Elles étaient toutes sensiblement similaires : par leur forme et leur contenu. Effectivement, les pièces étaient toutes triangulaires et en leur centre se présentait un monument à l’effigie d’une affinité. Les monuments étaient aussi complètement taillés dans une pierre précieuse. Derrière chaque monument, un tapis de méditation faisait face à une source naturelle. D’ailleurs, je fus stupéfait de voir le rideau d’électricité de la salle du Raiton. À la suite de l’exploration du temple, il me manquait toujours à voir la salle Fuuton. Je repensai alors à la tour et je me présentai sous l’ouverture y menant. J’y montai pour observer le sanctuaire de haut. Tout d’abord, je fus bouche bée par le resplendissant carillon en diamant blanc. Puis, j’aperçus le paysage : le sanctuaire était très vaste, environ un hectare circulaire, il y avait un petit lac et un rocher qui créait une chute. Tout à coup mon sceau se déclencha et activa mon « dojutsu », je pus alors voir parfaitement le pentacle au sol, puisque, sans que je puisse l’expliquer, une forte quantité de chakra colorés émanait des pointes que j’avais visitées plus tôt. C’était de toute beauté. Déjà la nuit tombait, et je rentrai pour me coucher, dans la salle principale. Le lendemain, j’avais l’intention d’amorcer ma formation ici, afin de découvrir les arcanes de ces lieux …


Une vigueur du Tonnerre– [post du dimanche]

Dès le levé du soleil, une multitude de rayons lumineux entrèrent dans le salon des Maîtres, pourtant j’avais très bien fermé les volets avant de me coucher. Ce réveil fut par conséquent un peu brutal, toutefois la lumière me revigora instantanément. J’étais prêt à commencer ma recherche et je me mis aussitôt à l’ouvrage. La salle de l’air fut la première à être visitée ce matin là : j’avais envi d’un bol d’air frais. Je gravis donc la tour et une fois en haut, j’empoignai un des manuscrits. Je le déroulai et je vus la description écrite et imagée de la technique suivant :
La technique du nuage blanc sert à se déplacer essentiellement. En effet, l'utilisateur peut former un nuage extrêmement dense qui peut supporter une lourde charge. Ce nuage, sous le contrôle de la volonté de l'utilisateur, peut prendre rapidement de l'altitude et peut aussi permettre de voyager sans embûche d'un pays à un autre réduisant ainsi les trajets.
Cette technique me sembla très novatrice et c’est pourquoi je me mis au travaille pour l’apprendre… Durant toute la journée, je la mis au point et fit en sorte de la maîtriser à son plein potentiel. Pour la tester, je m’en servis comme descenseur pour retourner dans le salon. J’allai ensuite dormir quelques heures pour reprendre de l’énergie spirituelle… Puis après, une heure ou deux de repos, je me remis au travail et alla dans une autre salle pour diversifier mes capacités au combat.


Cette fois, je pris au hasard la salle de la foudre avec son spectaculaire rideau d’énergie électrique. Je ne pus m’empêcher de l’observer un certain temps afin de comprendre son fonctionnement. Mon hypothèse la plus crédible fut que les fils d’acier, que je savais conducteurs, permettaient de puiser dans la nature certaines formes d’électricité statique et de les faire parcourir si puissamment que l’énergie devenait visible… Je m’imaginai aussi que peut-être le Kaminari Kyoushu avait insufflé son chakra dans ses fils qui avaient la propriété de le retenir sans cesse… Peu importe, il ne fallait quand même pas que je mis attardent plus que mon entraînement. J’empoignai alors le premier parchemin qui me tomba sous la main et l’ouvris. Le contenu présentait un personnage avec les poings électrisés et la description parlait d’une habilité à paralyser. Je commençai par travailler la première partie. Celle-ci consistait évidemment à galvaniser ses poings d’énergie électrique. Je tentai l’expérience plusieurs fois avant de ressentir l’affinité Raiton dans mes bras. Ensuite, quand je sus que je maîtrisais la première étape, je me mis à frapper vers le filet de câble pour décharger le pouvoir de mon chakra. Je ne le remarquai point, mais peu à peu l’intensité de l’énergie sur les files devint très éclatante… Après cet entraînement, je sortis et choisit un nouvel apprentissage…

Cette fois, je fus intéressé par le Katon. Ainsi, j'allai dans la salle du feu pour apprendre une des techniques du maître de cette affinité. La chaleur dans cette pièce me réconforta dès mon entrée. Elle émanait du foyer qui brûlait sans même qu'il y ait la présence d'un combustible. Encore une fois, je pus voir à l'oeuvre malgré le temps les capacités de ses virtuoses du ninjutsu. Que ce soit dans le commun de la vie ou bien dans les combats, ceux-ci étaient radicalement des exemples et je les considérais déjà comme des modèles, même si je les étudiais depuis si peu. Lorsque j'analysai la bibliothèque de la salle, mes yeux s'arrêtèrent sur un manuscrit orné de socles en or. Je le pris pour le dérouler sans attendre. Dès les premiers mots, je sus que cette technique serait l'une des plus puissantes de mon répertoire. « La spirale incendiaire du dragon » était une technique Katon très puissante, selon la description. Ce jutsu, affectant un grand rayon autour de l'utilisateur, permettait de carboniser tous les obstacles et les objets sur son passage. Je lis le parchemin plusieurs fois afin de l'exécuter le mieux possible de la première fois. Sans réfléchir quand je m'y sentis disposé, je malaxai mon chakra et je libérai mon chakra en une grande spirale. En un clignement d'oeil, la pièce se remplit de flamme. Dans celles-ci, je pus même voir une tête de dragon qui tourbillonnait dans les airs. Pris d'une panique, croyant que j'avais détruit la salle, j'arrêtai la technique. Cependant, rien... Rien n'avait été atteint par les flammes... Sûrement y avait-il une technique de protection contre le feu, j'étais encore stupéfait par le répertoire qui était à ma portée. Toutefois, cette expérience me donna le goût de me rafraîchir avant de rejouer avec le feu...

La salle du maître de l’eau était reposante : une douceur et un calme s’en émanaient. La fontaine n’était point qu’une pièce de décoration, elle facilitait la méditation. Suite, à ma dernière expérience qui m’avait pris beaucoup d’énergie, je m’assis pour me recueillir et pour prendre un instant de repos dans cette oasis richesse de savoir et de connaissances. Une paix intérieure m’envahit dans ce flot de pensées et de quiétude. Mon esprit dériva alors vers mon imagination et je me mis à réfléchir à la vie et à l’entraînement de mes prédécesseurs. N’ayant pas dormi depuis près de 36 heures, je ne pus succomber à un cours sommeil qui vint me cueillir pendant ma réflexion. J’eus dans cette pause un songe très révélateur …
Une pluie torrentielle tombait sur le terrain de bataille. Les deux shinobis se confrontaient du regard entre coupés de leur souffle alourdi par l’effort du combat. Chacun des deux individus présentait des marques de leurs affrontements et par conséquent, certaines nappes d’eau sur le sol étaient devenues teintées par le sang des adversaires. De plus, il y avait d’autres hommes qui gisaient sur le sol. Ceux-ci avaient tous la même allure et le même équipement que l’un des deux toujours debout. En fait, la Mizu Kyoushu était l’un des ninjas étant encore dans le combat et tous les autres ninjas étaient ses adversaires. Elle prit alors les devants en poursuivant avec un enchaînement de signes de mains pour concentrer son chakra. Puis, elle murmura une courte phrase. La pluie s’arrêta… Elle se figea littéralement dans les airs. Ensuite, le maître de l’eau, comme elle était surnommée couramment en cet âge, fit un mouvement avec ses bras dans la direction de son adversaire… Instantanément, chaque goutte se dirigea vers la cible en créant des dards. Après cette attaque, l’homme qui avait reçu l’attaque s’écroula le corps ensanglanté. Le Mizu Kyoushu prononça alors une prière pour calmer la pluie et pour purifier l’aire de combat. Elle partit lentement par la suite…
J’ouvris tranquillement les yeux et toujours dans un état reposé, je pris un parchemin pour le consulter…

Finalement, je m’aperçus qu’il ne me restait qu’une seule salle à visiter pour comprendre un peu la base de l’« Art » du Doton. D’un pas décidé, j’y entrai pour aussitôt prendre un des précieux manuscrits révélant une technique qui serait peut-être difficile à maîtriser comme elle pourrait être fortement aisée à découvrir. Le parchemin décrivait un jutsu relativement basique pour ce style de combat. En combat, je l’avais vu déjà quelques fois sous différents noms et différentes apparences. Cette technique portait le nom de «Doryuu Heki», c’était une technique de défense typique du ninjutsu lié à la terre. Reste qu’en combat cette base pouvait être utilisée très souvent et à des fins des pratiques. Je m’installai devant la partie du sol non couverte de dalles de pierre, laissant par voie de conséquence logique une zone recouverte de terre. En y injectant mon chakra semblablement à la consigne écrite sur le parchemin, je pus solidifier la terre et la réunir en un muret d’un mètre. Puis, pour le tester, je frappai directement devant. En quelques coups, je sentis mes jointures écorchées par mon travail…

L’endurance de la Pierre –

Le soleil à l’extérieur commençait déjà à se relever. J’avais travaillé si longtemps que celui-ci avait eu le temps de se lever et se coucher deux fois. Le sommeil et la fatigue me pesaient. Je dus aller dormir plusieurs heures cette fois pour bien reprendre mes forces. Le soir venu, après environ 12 heures de sommeil de ma part, mon entraînement physique pouvait alors commencer…
Début de mon entraînement Statistique...
Entrainement de 3 mois - 1 jours...

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MessageSujet: Re: Le sanctuaire du Godai   Le sanctuaire du Godai EmptyVen 28 Jan - 13:03

Validé

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MessageSujet: Re: Le sanctuaire du Godai   Le sanctuaire du Godai EmptyLun 2 Mai - 12:52

J'aimerais que l'on confirme mon entrainement. Merci

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MessageSujet: Re: Le sanctuaire du Godai   Le sanctuaire du Godai EmptyLun 2 Mai - 13:10

C'est impossible de faire des posts pour différents jours dans le même message ^^'

Puis, je tiens à te préciser que tu n'as pas à posséder l'XP que tu as possédé depuis le : Sam 26 Mar - 5:38 =

https://naruto-shippuden-rpg.jeun.fr/t14375-vous-aurez-remarquer#109930

Tu ne mérites pas ton XP dû à ton inactivité in RP, merci de ta compréhension.

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MessageSujet: Re: Le sanctuaire du Godai   Le sanctuaire du Godai EmptyLun 2 Mai - 13:21

Je comprends pas ta première phrase...
Je vois pas pourquoi, je peux pas m'entrainer quand je suis absent... Merci de bien vouloir en discuter.

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MessageSujet: Re: Le sanctuaire du Godai   Le sanctuaire du Godai EmptyLun 2 Mai - 16:50

Olah, je vois que ton dernier rp date de :

Bureau de l'Hokage Sujet: Konoha part en Guerre ! Mar 22 Fév - 13:56

Normalement c'est max 1 mois sans RP, après tu perds ta couleur (et tu dois refaire un perso) ... là ça fait 2 mois ... Je te donne une chance en faisait un RP dans les 3 jours qui viennent si non je te supprimerai de Konoha ^.^

Pour l'xp, ryu a raison ^^


EDIT Ryu : Il doit donc perdre l'XP qui est entre "Konoha part en Guerre" et maintenant.. J'avais voulu être gentil mais bon, je ne vois pas pourquoi je le serais =)

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