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Onkyou Katsuya

Onkyou Katsuya

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MessageSujet: - Bienvenue chez...Moi.   - Bienvenue chez...Moi. EmptyJeu 13 Jan - 19:15

- Avoir été livrée à moi-même ? Pas si compliqué… [Flash Back]

Revenue de mon entrainement, je n’avais n’y le courage n’y l’envie de faire le tour du propriétaire. J’avais encore assez de restes pour tenir jusqu'à ce soir. Et question logement ? Hum la question était plus compliquée, mais on peut dire que j’ai eu de la chance. J’avais trouvé une vieille cabane qui semblait être abandonné et je devais me résoudre à vivre dedans tant que je n’avais pas de bases pour avoir une maison potable. Faut dire que cela ne me dérangeais pas trop que ça au faite, la cabane était assez loin du centre-ville, donc peu de gens serons destiné à me pourrir la vie. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de me demander pourquoi il y avait tant de meubles ? Certes ils étaient vieux, certes ils étaient pleins de poussières, mais encore en bon état. L’idée qu’un vieillard soit mort dans cette maison et que son esprit y rode toujours m’avais traversé l’esprit. Mais je me sortais vite fait cette idée de la tête. Pas que j’avais peur des esprits loin de là…faut d’abord qu’ils existent et faut dire que ma croyance dans ce domaine était très…restreinte. J’avais abandonné cette idée tout simplement parce qu’elle était absurde ! Quoi qu’il en soit, il était grand temps de faire un peu de ménage, je ne pouvais quand même plus manger sur une table couverte de poussière et dormir dans un lit remplis bestioles. Je commençais d’abord par la cuisine, je regardais tout d’abord si j’avais de l’eau, par chance il y’en avait toujours, mais de l’eau froide. C’était déjà pas mal. Je fis ensuite l’inventaire dès placards. Certes les casseroles avaient besoin d’une bonne trempette dans la vaisselle, mais ceci allait être pour demain. Je n’étais pas une fée du logis et pour dire vrais, je détestais le ménage. C’était toujours Midori qui s’y collait à la maison…enfin mon ancienne maison. Elle voulait tellement avoir l’approbation de ma mère qu’elle faisait même mes tâches ménagère sans broncher…mais il fallait la menacer aussi. Si j’avais su…je me serais forcé à aimé. Comme ça, ce que je m’apparaîtrais à faire maintenant, aurait moins l’air d’une corvée. Je sais que je faisais tout pour ne pas l’admettre, mais ma sœur me manquait terriblement. Et je ne sais pas pourquoi, mais j’avais comme un vide au fond. J’éprouvais une tristesse qui n’était pas la mienne. Comment pouvait-on ressentir une émotion qui n’était pas la sienne ? Tout simplement parce que c’était celle de Midori. Depuis toutes petites nous avions la capacité de ressentir ce que l’autre ressent au même moment. Cela arrivait seulement dans des moments où l’autre se sentait au plus mal. Midori était la seule personne que n’aurais jamais voulu blesser. Mais par la force des choses, le choix que j’avais du faire avant mon départ m’était un choix insupportable, mais nécessaire. Je m’étais toujours montré dure et ferme avec elle. Elle paraissait si fragile, même si au fond elle ne l’était pas. Je savais très bien qu’au fond d’elle il y avait le côté que moi j’avais su exprimé librement. Une chose que je ne supportais vraiment pas, c’était qu’on lui marche sur les pieds. Je comprenais très bien pourquoi elle le faisait, mais bon si elle voulait se montré la fille parfaite…c’était son droit. Quoi qu’il en soit, la cuisine était assez…potable, une grande partie du nettoyage était fait. Je me dirigeais vers ce qui ressemblait à un salon et le regardait d’un air lasse. Cette partie de la maison pouvait bien attendre non ? ‘Fin quoi que…Je regardais par la fenêtre pleine de graisse et de poussière pour y voir le soleil qui se couchait lentement mais surement. L’idée de dormir dans un vieux lit me donnait la cher de poule, j’allais absolument devoir en acheter un autre, mais pour l’instant…Mon regard se posait sur le canapé qui tenait debout avec grande difficulté. Allais-je vraiment devoir dormir là-dedans ? M’enfin l’idée était beaucoup mieux que celle ou je devais me reposer dans un lit ou il y a probablement eu un mort ! Un coup de balais, d’aspirateur et de chiffon, le canapé avait l’air d’avoir repris une deuxième jeunesse. Sans attendre, je m’y allongeais et fermais les yeux. J’étais plus épuisé en faisais le ménage qu’en m’entraînent ! Comment cela pouvait être possible ? Et surtout, comment les femmes d’intérieur pouvait faire ça toutes leurs vies ? J’étais bien contente d’avoir pris ce chemin là. Je m’excusais certes tout les jours auprès de mon père mais…la voie qu’il m’avait choisis était contre ce que j’étais. Et je pense qu’il était conscient de ça de son vivant. J’avais de plus en plus de mal à lutter contre la fatigue. Je laissais mon esprit vagabonder ou il voulait pour enfin, au bout de ce qui semblait être quelques minutes, plonger dans les ténèbres pour allez dans le monde des rêves…







Dernière édition par Sazuka Ten'Shioni le Sam 15 Jan - 20:00, édité 2 fois
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Onkyou Katsuya

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MessageSujet: Re: - Bienvenue chez...Moi.   - Bienvenue chez...Moi. EmptyVen 14 Jan - 20:53

- Souvenirs, souvenirs. [Flash Back]

Je voyais ma mère assise sur une chaise…et apparemment elle était dans notre cuisine. Elle avait des cernes sous ses yeux rouges et gonflé. Ses yeux brillaient et on pouvait encore voir des larmes couler le long de ses joues. En regardant les plans de travaille, on pouvait y voir de la nourriture, plein de nourriture. Je commençais sérieusement à avoir faim. En plus tout ça avait l’air si bon, je n’avais rien mangé de consistant depuis…des semaines ! Une jeune fille aux cheveux bleus entrait dans la pièce. Elle aussi avait le visage triste, mais aucune de trace de larme. Elle se dirigeait vers ma mère, elle posa ensuite un de ses mains sur son dos et lui parla. Je ne comprenais pas un traitre mot de la conversation. On aurait dit que je regardais la télé sans son. Et le plus étrange, c’est que j’avais beau avancer, je faisais sur sur-place, j’avais crié après ma sœur, elle ne me regardait même pas. Tout ça était incompréhensible. Une fois la conversation finie, Modiri sortit de la pièce pour se diriger hors de la maison. Quand j’ai voulu la suivre, par miracle, je pouvais lui courir après. Mais en sortant, il n’y avait pas de rues, la maison de mon grand-père qui devait normalement être en face de la notre, n’y était pas. Je ne comprenais vraiment plus rien ! Nous étions…dehors, dans notre jardin. Midori avait complètement disparu, enfin pas complètement. Elle avait rajeuni. D’au moins 10 ans ! A côté d’elle se trouvait une fille aux cheveux violets. Elle avait le même âge que Midori et on pouvait constater qu’il y avait une vague ressemblance entre les deux filles. Leurs yeux étaient identique, mis appart la couleur. Le même nez, la même bouche, m’enfin en regardant mieux, la ressemblance n’était pas si vague que ça. Elles jouaient toutes les deux à la poupée, la fille aux cheveux violets posait la sienne juste à côté et partit quelques minutes. Modori prit la poupée et jouait avec et quelques secondes plus tard lui cassait un bras par inadvertance. La jeune fille aux cheveux violets arrivait juste à ce moment là et en voyant le bras de sa poupée préférée hors de son corps, elle se mit dans une fureur noire. Les traites de son visage devenait dur, ses yeux étaient noir, sa mâchoire se serrait tellement qu’elle pouvait se casser à n’importe qu’elle moment. Mais le plus bizarre, c’est que je ressentais cette fureur. Je n’avais qu’une envie et c’était de frapper Midori le plus fort que je pouvais, et c’est ce que le moi miniature rêvais de faire aussi…puisque…j’y étais ce jour là. Je n’avais jamais été aussi en rage contre ma sœur, même quand elle faisait sa miss je-sais-tout. Mon moi miniature criait de toute ses forces contre Midori, encore une fois je ne comprenais pas un traitre mot ce qu’il se disait seulement quelques bribes me parvenait aux oreilles :

- Petite idiote, tu m’énerves, tu casses toujours mes affaires
- Sazu, mais…je…

Je lisais la peur dans les yeux de Midori. Peut-être que j’y avais été un peu fort ce jour là. Mini moi rentrait en fureur à la maison, Midori la suivait tout en s’excusant. J’attendais quelques secondes, puis je fis de même. Dès que j’étais rentré, le paysage avait de nouveau changé. A présent j’étais dans le centre-ville. Je voyais Midori sur le trottoir, elle regardait par terre et se frottait nerveusement les mains. En regardant plus attentivement je pouvais voir les deux sales pestes du village. Avant même que j’avais pu réagir, une fureur violette s’interposait entre les pestes et Midori. Ce jour…je m’en souvenais parfaitement, ce jour là je m’étais faite des ennemis redoutable. Depuis ce jour les pestes n’avaient cessé de nous pourrir la vie, enfin… elles le pensaient.

- Bas les pattes de sœurs, compris ?!

La voix du mini moi était si…sèche et dure. Si je ne me connaissais pas je me ferais peur. Mais d’un autre côté j’étais fière de moi, fière de mon tempérament. La peur qui se lisait un court instant dans leurs yeux me faisait sourire. A nouveau je pouvais voir les yeux du mini moi devenir plus sombre que la nuit. Je connaissais la suite de l’histoire. Les pestes allaient se défendre, j’allais être sèche envers elles, elles allaient commencer à nous insulter. Je voyais la jeune Sazuka trembler de rage et s’avancer vers une de ses filles pour lui mettre un coup de poing dans le nez. Le sang qui j’avais sur le poing m’importait peu à ce moment là. Encore une fois je ne pouvais pas m’empêcher de sourire et le mini moi en faisait autant. Un sourire sarcastique…un sourire mauvais. Tout d’un coup ce fut le noir complet.

En ouvrant les yeux je pouvais m’apercevoir que j’étais toujours dans cette vieille cabane. Je me surprenais à être déçu, tout ça n’était qu’un rêve. Cala prouvais que tout ce qui m’arrivais, m’affectais plus que ce que je voulais ma faire croire. En me levant mon cou était douloureux et mon ventre criait famine parce que j’avais été assez sotte pour sauter le diner. Bon d’accord je ne devais pas me plaindre, j’avais passé de plus mauvaises nuit. Là j’étais dans un canapé, avant je dormais sur le sole. La maison s’éclairait de plus en plus, enfin s’il était possible qu’elle soit éclairé vu l’état des fenêtres. Je me levais et me dirigeais vers ce qui ressemblait le plus à une cuisine et pris ce qu’y était sensé être mon souper…comme petit-déjeuner. Bon après avoir dévisagé ce que j’avais devant moi pendant quinze minutes, je le mangeais sans trop broncher. Après avoir terminé je me lavais à l’eau froide et me préparais pour cette nouvelle journée de nettoyage…






Dernière édition par Sazuka Ten'Shioni le Sam 15 Jan - 19:58, édité 1 fois
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Onkyou Katsuya

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MessageSujet: Re: - Bienvenue chez...Moi.   - Bienvenue chez...Moi. EmptySam 15 Jan - 19:54

- L’évacuation d’un mauvais pressentiment [Flash Back]


Le soleil n’était pas encore levé. Midori, qui dormait dans le lit juste à côté du miens, dormait encore à point fermé. Pour ce qui était de mon cas…je n’avais pas fermé l’œil de la nuit. Et ceci arrivait fréquemment. Je n’arrivais pas à trouvé la cause de mes troubles du sommeil. Bon d’accord si j’en avais parlé ne serais-ce qu’a ma mère ou même à ma sœur, elles auraient pu trouver une solution. Mais ma fierté m’empêchait de prononcer le moindre mot à ce sujet. Sans un bruit je me levais et sortit de ma chambre par la fenêtre pour m’installer sur le toit de ma maison. Je m’allongeais et observais les étoiles. Ceci restait un grand mystère, mais elles avaient un pouvoir relaxent sur moi. Cinq minutes en leurs présences et tout mes doutes et mes angoissent s’envolent. Je fermais les yeux pour réfléchir à pourquoi Morphée ne voulait-il pas m’emmener ? J’avais beau y réfléchir je ne voyais pas. Pas d’événements traumatisent ce sont produits, n’y rien de choquant. Pourtant j’avais toujours ce mauvais pressentiment qui ne me lâchait pas depuis une bonne semaine. J’avais l’impression que j’allais perdre quelque chose. D’un côté c’était stupide ? Comment pouvait-on avoir l’impression qu’on allait perdre quelque chose ? D’avoir perdue quelque chose, ça oui, mais qu’on devait le perdre… Je ne comprenais pas et je devais bien m’avouer que j’étais complètement perdue depuis un petit moment. Je me sentais terriblement coupable de m’entraîner chez mon grand-père derrière le dos de mon père. Je n’aimais pas lui mentir, malgré que je n’aie aucuns scrupules à mentir en général. Mais pourtant, je me sentais obligé de le faire, mon rêve était de devenir une grande Kunoichi et … Je n’étais pas le genre de fille à rester sagement à la maison pour faire le ménage ou même la cuisine ! De plus, ça n’avais jamais était mon fort d’obéir à quelqu’un…surtout quand l’ordre ne me plaisais pas. Quoi qu’il en soit je venais de me rendre compte que le soleil commençait à me brûler les yeux. J’avais surement du passer plus de temps que je voulais sur ce toit. En espérant que Midori dormait encore, je n’avais aucune envie qu’elle découvre que je m’étais à nouveau réveiller avant l’heure. Elle m’avait déjà surprise une fois, c’était bien assez. Elle était bien assez intelligente pour faire le rapprochement. En me faufilent de nouveau dans ma chambre, à ma grande déception, ma sœur avait découvert mon lit vide…A quoi je voyais ça ? Bah mon lit n’était pas fait quand je l’avais quitté. Après un long soupir, je sortais de ma chambre, mais cette fois-ci par la porte qui menait tout droit à la cuisine. Ma mère, qui était très matinale, était déjà derrière les fourneaux et plein bavardage avec ma sœur qui était à table. Mon père quant à lui lisait son journal sur la chaise juste à côté. Dès que j’avais claqué la porte, tous les regards se posèrent sur moi, mis appart celui de mon père trop absorbé par l’article qu’il était occupé de lire. Le silence qui résignait sur la cuisine était…étrange, j’avais l’impression d’être leurs sujets de conversation. Au bout de quelques secondes, ma mère ouvrait la bouche et lançait la discussion. Sans un mot je m’assaillais près de mon père, en jetant en passent un œil au journal. Une fois assise ma mère lancait subtilement :

- Sinon Sazu…Bien dormis ?

N’y une, n’y deux je lançais le regard le plus noir que je possédé en direction de Midori. La seule réponse que j’avais en retour était un haussement d’épaules. Un jour j’allais lui apprendre à fermer ce qui lui servait de bouche ! Mais pour l’heure je devais montrer le plus beau sourire jamais montré et répondre d’un ton calme, posée et surtout faux :

- Très bien, j’ai dormis comme une souche.

Je voyais ma mère et Midori échanger un regard, je ne pouvais pas m’empêcher de rouler les yeux. J’étais tellement exaspérée que je me levais d’un bon pour me diriger vers la porte d’entrée. J’entendais ma mère me crier que je n’avais pas pris de petit-déjeuner. J’ai répondu d’un ton sec que je n’avais pas faim avant de claqué la porte derrière moi. Sans hésitation je traversais la rue pour allez chez mon grand-père, j’avais besoin de ma changer les idées…J’avais besoin de…m’entraîner. Mes grands-parents n’avaient pas besoin d’expliquassions en me voyant arriver comme une furie. Je me dirigeais vers l’arrière cours puis vers le mannequin que notre grand-père avait prêté à Midori pour son taijutsu. Sans réfléchir je le ruais de coups. Plus tard, Midori venait me rejoindre, je n’avais pas lâché la cadence, mes coups était de plus en plus rapides et surtout de plus en plus forts. Ma sœur restait là à me regarder comme si le mannequin allait riposter d’une seconde à l’autre. Au bout d’un moment, j’arrêtais nette mes coups pour me tournez vers mon observatrice :

- Bon on s’entraîne ou tu comptes rester là toute la journée ?
- Sazu je…Je me fais du souci pour toi…tu sais je…
- Faut pas, je vais très bien, bon mets toi en place.

Je lui avais coupé la parole de sorte qu’on évitait le sujet. Elle s’était mise en place sans riposter puis nous pouvions enfin passer aux choses sérieuses. Notre grand-père s’était à nouveau installer sur sa chaise de jardin comme il le faisait à chaque fois, puis nous dictait ce qu’on devait faire…

Une longue journée s’écoulait rapidement. Nous nous étions entraînés sans relâche. J’en avais profité, j’avais un trop plein à évacué de toute urgence…Un trop plein de quoi ? Je n’en savais rien, j’avais comme une boule d’énergie au fond de moi qui ne demandait qu’à sortir, mais qui n’y arrivait pas. Quoi qu’il en soit, après être rentrés chez nous et après avoir mangés nous nous dirigions vers notre chambre pour s’écrouler en même temps sur nos lits. Après s’être souhaité bonne nuit, Midori s’endormis tout de suite, quant à moi, j’attendais que Morphée viennent lancer sa poudre magique…

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