Château du Seigneur féodal

Spoiler:

Le château blanc du seigneur féodal du pays du feu se trouve non loin de l'une des plus importante ville du Pays. Comme tout le monde le sait, le Daimyo délègue au Kage le soin de protéger leur pays et donc de la charge militaire. Ils gardent néanmoins pour eux la charge économique du Pays. Le Seigneur féodal du pays du feu est présent la plus part du temps dans son château qui ressemble plus à une forteresse plus tôt qu'à un palais même s'il reste particulièrement luxueux. L'accès au château s'effectue depuis une rampe d'accès en pierre. La demeure se trouvant sur un petit plateau surélevé la rampe est donc en pente avec un degré d'inclinaison raisonnable. C'est le seul moyen d'accès pour le commun des mortels et pour les invités de marque. Les murs du château sont continuellement surveillé par le contingent de soldat humain présent dans la forteresse. Dans la tour principale se trouve la chambre et la pièce de réception du Seigneur. Cet appartement est constamment surveillé par un corps d'élite de Samouraï et seuls des invités trillés sur le volet peuvent y pénétrer. Ces samouraïs ont tous prêter un serment de loyauté, d'obéissance et de protection au Daimyo. Il est donc leur seul maître et à le seul droit de leur donné des ordres. Il s'agit donc d'un corps militaire particulier du pays du feu qui ne reçoit d'ordre que du Seigneur féodal mais à le pouvoir d'accès et de regard partout dans le pays. Ils sont les yeux, les oreilles et la main vengeresse du Daimyo du Pays du feu.

Entrainement à l'Xp

Une matinée dans la peau d'un Samouraï

Le monde suivait un cycle bien définit et chaque jour la nuit laissait place au jour qui laissait à son tour sa place à la nuit. Ce cycle immuable n'avait pas fait défaut aujourd'hui, le soleil se leva peu à peu sur le monde shinobis et en particulier sur le pays du feu. La nuit avait été douce et relativement calme dans le domaine du seigneur féodale rie n'était venus perturber le sommeil profond de notre chef à tous. La garnison de soldat humain veillait au grain sur les remparts du château tandis que les samouraïs protégeait l'appartement interdit. Ce corps d'élite n'avait pas vraiment de relation avec l'extérieur et n'avait donc pas vraiment connaissance des incidents qui pourrait perturber la nuit du Daimyo ce n'est que s'il se trouve en danger qu'ils passeront sur les remparts. En attendant, la garnison qui était en fonction cet nuit ne révéla aucune anomalie et laissa place comme la nuit à la garnison de jour qui prit ses fonctions. Il se placèrent à leur poste attribuer qui étaient tous d'importance stratégique car elle permettait de détecter un ninja dès son arrivée. Durant ce moment, Hisashi se réveilla d'une nuit particulièrement agitée pour lui. Il avait fait de mauvais rêve ce qui était très rare le concernant, il n'était par contre pas très croyant des mythes qui disent qu'il s'agirait d'un mauvais présage. Mêmes s'il suivait la spiritualité à travers des méditation et des prières, il n'était pas vraiment fou de toute les croyances annexes qui parcouraient le pays sur un effet de mode. En quelque instant à peine le temps de se lever et de se dirigé vers la salle de bain commune, il oublia complètement le sujet de son cauchemar ce qui démontrait bien le peu d'importance que les rêves avaient sur la vie humaine. Le samouraï s'aspergea le visage d'eau fraîche et entra dans la douche pour se laver. Une fois les rites d'usage terminé, il retourna à son lit pour enfiler son armure. Il s'agissait d'une véritable cérémonie qu'il tenait refaire complètement à chaque fois qu'il en avait l'occasion mais par prudence son armure était toujours assemblée sur un crochet ainsi il pouvait l'enfiler en quelque seconde. Hisashi commença sa cérémonie par le début naturellement. Le samouraï commença par enfiler une bande culotte en coton qui ressemble à une longue bande de coton s'attachant en bas comme une ceinture et au dessus se portant comme un tablier de cuisine. La bande culotte était le sous vêtement traditionnel qui empêchait les frottements sur la peau et donc de limité les blessures physique. Après cette bande venait le Kimono qui était une longue chemise à manche courte qui permettait une véritable aisance dans les mouvements tout en permettant une protection supplémentaire contre le froid et l'humidité entre autre. Il revêtu sans le moindre mal le kimono et l'attacha avec un noeud spéciale qui est relativement difficile à décrire sans l'usage d'un petit croquis. Par dessus, Hisashi Katsumoto enfila une culotte dite bouffante qui s'attache comme un hakama traditionnel actuel. Ce pantalon avait les mêmes capacités et qualités que le kimono qu'il venait d'enfiler quelque minute auparavant. Il est important de préciser que pour tous ces actes, le samouraï prenait le temps de le faire, les vêtements se devaient d'être porter de manière honorable et se devait donc d'être placé de manière parfaite. Détail assez important tout de même, le kimono et le pantalon était de couleur rouge avec des motif très varié de couleur plus clair. Après ce pantalon venait les robustes jambières qui s'attachaient à la base de la cheville par de ficelle l'une supérieur et une autre inférieur. Ces jambières avaient un défaut mais qui n'en était pas vraiment un puisqu'un samouraï ne tournait jamais le dos à ses ennemis, les jambières n'avaient qu'une protection avant des deux tibias. Hisashi profitait de cette partie pour enfiler des sandales spéciales pour samouraï. C'est également à cette étape de la cérémonie que l'on enfilait une cuissarde amovible mais s'attachait comme un hakama mais qui n'était porter que lorsque les samouraïs étaient à cheval. Il continua donc son opération en enfilant des manches métalliques qui protégeait les avants bras du guerrier ainsi que des gants qui le protégeait lors des combats. Suivait de très près l'armure des guerriers à proprement parler, une gain corset faite de lamelles de fer et de plaques pour les hanches ainsi que sur l'armure de Hisashi d'une plaque de cuir sur tout le corset et les plaques des hanches. En théorie suivait les protèges épaules qui n'était portée que par les samouraïs ordinaires du seigneur féodale. Le haut de l'élite dont faisait partie Hisashi portait un protège épaule en or sur son épaule gauche et de deux protèges épaule en or pour le chef de la garde spéciale. Dans cette cérémonie du port de l'armure suivait ensuite le col de fer, le calot en coton, le masque et le casque qui étaient très rarement portée par Hisashi mise à part le masque qui ressemblait plus à un masque des forces spéciales du village caché de la feuille qu'à un masque de samouraï. Il s'agissait des masques des samouraï du Daimyo du pays du feu. Il avait le désir que les membres de sa garde personnel soient reconnaissable partout dans le pays et leur assigna donc ces deux signe particulier le masque pour les samouraïs normaux et le masque plus le protège épaule pour les hauts dignitaires du corps d'élite. Hisashi s’accommodait de cette coutume qui venait de son maître mais savoir qu'il était reconnaissable par un élément matériel ne le réjouissait guère. Les samouraï n'était pas très accrocher aux objets matériels qui portait un signe plus important que leur propre utilité. Néant pas vraiment le choix sur ce point là, ils faisaient avec... Une fois en tenue, le guerrier bougea légèrement les épaules en mouvements circulèrent suivis très rapidement de trois mouvements d'assouplissement des poignets : Kote Gaeshi, Ikkyo et Irimi Nage. Ces trois mouvements sont censé travailler des points de tension au niveau des poignets mais Hisashi ne se contenta pas que de travailler que les bras. Il se mit à faire des cercles avec ses bras comme pour la nage du papillon dans la natation contemporaine. Suivis des flexions de jambes afin de terminer les mouvements d'assouplissement du matin. Ces exercices avaient également un autre rôle celui de réveiller complètement le corps du samouraï et donc le préparer à la journée qui l'attendait. Le guerrier était maintenant fin prêt à commencer sa journée de samouraï et de protecteur du seigneur féodal du pays du feu. Hisashi était l'un des haut dignitaire du corps d'élite comme déjà précisé plus haut. Il avait pour responsabilité de prendre en charge la garnison de soldat humain et l'enseignement au jeune élève samouraï qui venait une fois par mois au château du Daimyo afin qu'ils s'habituent déjà à la demeure. Ces jeunes étudiants suivent donc un cours spéciale avec Hisashi sur une partie du code d'honneur et de l'art du Kenjutsus. En dehors de cette journée spéciale, les étudiants suivent une éducation spéciale dans une académie proche du château qui est censé leur apprendre le plus correctement possible à devenir de véritable Samouraï. Vous l'aurez deviné, c'était l'un de ces jours où les étudiants faisaient irruption dans la forteresse du Daimyo mais ces cours avaient lieu l'après midi. Le samouraï allait donc pouvoir voguer à ces occupations durant toute la matinée. Hisashi allait voir en revue tous les soldats de la garnison de jour sur qui il avait autorité pour tout ce qui concernait leur fonction et leur organisation. Le samouraï descendu donc dans la cours principale où étaient réunis tous les chefs de section de la garnison. Il s'agissait du briefing journalier. Cette mise au point avait lieu tous les jours à la même heure. Suivant les principes d'un briefing, les chefs de section étaient mis au courant de tous les évènements particulier qui étaient prévu pour la journée même voir les préparations qui devaient être faite pour les jours avenirs. Par exemple : Hier, Hisashi informa ses chefs qu'avait lieu le cours mensuel des étudiants de l'académie des Samouraïs. Cette fois ci, le samouraï rappela aux chefs l'évènement spécial qui a déjà été cité plusieurs fois. Il prit également la peine qu'ils subiraient tous ou presque une inspection durant toute la matinée section par section. Après le rappel de sécurité, le contingent de chef repartit à leur poste afin de communiquer les ordres à leur homme. Le samouraï laissa les chefs prendre de la distance sur lui afin qu'ils aient tout de même le temps de remettre en ordre leur secteur et de pouvoir également communiquer les instructions reçues. Hisashi n'était vraiment pas le chef à prendre en traite ses hommes pour l'unique plaisir de pouvoir les réprimander à tout va mais préférait pouvoir voir des éléments qu'ils ne voyaient pas spécialement et rectifier le tir après coup. Bien entendu ce genre d'inspection n'était que ponctuelle, beaucoup d'autres inspections étaient faites dans le plus grand mystère et permettait de mettre en évidence non pas des éléments inconnus de la section mais des laisser allés à cause de la monotonie de leur fonction. Afin d'éviter cette monotonie, les sections étaient changées de secteur quotidiennement mais on était jamais à l'abris de ce fléau. C'était ce genre de problématique qui causait le manque de sécurité le plus important dans un système de défense. En attendant que ces chefs de section puissent avoir un temps suffisant, Hisashi prit la direction du terrain d'entrainement au Kenjutsus totalement réservé au samouraï. Le guerrier positionna en cercle de trois cent soixante degré des battons en bois pointu sur les quel étaient positionnés des bouts de bambou plus ou moins long qui tenait en place grâce à la pointe de l'armature en bois en dessous. Le samouraï se plaça au centre de cercle de cible qui avaient toutes des hauteurs différentes. Hisashi était prêt à faire un carton mais il ne se posa pas la question dans ce sens son objectif était relativement simple : la perfection. Le but était de fendre les bouts de bambou avec agilité, souplesse, rapidité et harmonie. La puissance et la force n'avaient pas leur place dans le Kenjutsus ce que l'esprit veut l'épée le veut également. Le samouraï ferma les yeux et visualisa chacune de ces cibles sans pour au tant réellement connaître la nature de chacune d'entre elle, effectivement, dans un combat on ne connaissait pas toujours les caractéristiques des adversaires qui se plaçaient sur sa route. L'homme posa sa main sur son sabre et se concentra. Il était pratiquement en transe mais tout en restant dans la réalité de l'instant présent. En un éclair, Hisashi dégaina son arme fendu la première cible de bambou, le morceau ne bougea pas d'un millimètre. La coupe était parfaite et c'était bien comme cela que l'on pouvait en prendre conscience, il avait tranché du haut vers le bas avec pourtant un angle d'incidence bien loin du cent quatre-vingt degré. Immédiatement après, il trancha la seconde cible qui ne bougea pas du tout, la coupe était identique de la précédente mise à par qu'elle s'était effectuée du bas vers le haut. A chaque fois après une coupe, Hisashi revenait en méditation afin de ne pas perdre sa concentration. La première cible commença enfin à bouger et tomba sur le sol. Le sol était un tapis de sable jaune très fin et égaliser afin que l'on puisse voir que les déplacements effectués lors de l'entrainement. Le bout du premier bambou tomba donc sur le sol et donna le départ à la deuxième partie de l'exercice qui était relativement simple : éliminer toutes les cibles avant que la seconde cible ne tombe à son tour sur le sol. Le travail était bien entendu de plus en plus facile en fonction de la perfection des coupes puisqu'elles laissaient plus de temps pour éliminer moins de cible que le petit débutant. L'air de rien, Hisashi était déjà très avancer dans ce domaine pouvoir maintenir la partie de bambou détachée quelque seconde n'était vraiment pas facile et Hisashi pouvait la maintenant plusieurs seconde voir une dizaine de seconde. Bien entendu, il se mit immédiatement à couper les bouts de bambou mit à se disposition le plus rapidement possible. Malheureusement, cette exercice n'était pas tous les jours réussis et heureusement tout compte fait cela voudrais dire que le samouraï est totalement parfait ce qui était pratiquement impossible même pour les plus grand maître du style. Hisashi échoua aujourd'hui au porte de l'exercice en ne pouvant éliminer deux de ses cibles. Ce n'était pas bien grave et il pourra faire mieu la prochaine fois. Le but de la deuxième partie n'était bien entendu pas de couper toutes les cibles avant que la seconde coupure ne tombe. Un exercice totalement réussit n'atteignait pas le niveau deux, l'exercice parfait était la personne qui découpait toutes les pousses de bambou sans qu'aucune d'entre elle ne tombe sur le sol. Bien entendu ce résultat était loin d'être évident à obtenir et certain n'hésitait même pas à affirmer qu'il s'agissait d'un exercice possible. En attendant qu'il soit possible ou non d'un point de vue physique, Hisashi n'hésitait pas à le faire et le refaire lorsqu'il avait la moindre occasion. Il fit virevolter son sabre au tour de lui puis donna un coup sec sur le métal avant de le ranger soigneusement dans son fourreau situé à la ceinture du samouraï. L'heure était maintenant venu de partir en tournée d'inspection comme l'avait promis, le chef de la garnison de jour. Il était bien évident qu'il allait se montrer intraitable étant donné qu'ils avaient été prévenu et qui en plus de ça avaient eux largement le temps de rectifier le tir si cela s'avérait nécessaire. Le guerrier laissa donc le soin aux diverses personnes présentent dans la cours d'entrainement de ranger les bouts de bambou trancher et partis pour le premier secteur qui était d'une importance capitale, le secteur de la portée d'entrée qui était l'unique point d'accès au château du Daimyo. Le moindre écart était donc intolérable et ce même si nous n'étions pas en inspection, ce n'était pas pour rien que l'on y plaçait les meilleurs soldats et les plus loyaux à ce poste. Hisashi arriva donc assez rapidement dans le secteur numéro un, le château n'était pas non plus immense au point de mettre des heures pour passer d'un point A à un point B. Lors de son entrée dans le secteur, son regard se posa sur tout et en premier lieu la tenue des soldats ainsi que la position de leur arme. Un soldat sans son arme n'était pas grand chose, un soldat avec une arme en mauvaise état l'était encore moins. Comme l'on pouvait sans douter, les hommes de la section une était parfaitement habillé et se mirent immédiatement au garde à vous lorsque le chef de section l'ordonna. Le deuxième point important était la bonne tenue des lieux cette fois, un soldat qui travaillait dans un endroit insalubre ne pouvait que fournir un travail amoindris. Le troisième point et non des moindres était l'efficacité à la tâche, malheureusement pour un inspecteur, il s'agissait du point le plus difficile à juger pour diverse raison par exemple : c'était un point très subjectif ce qui est bon pour l'un n'est pas forcément bon pour l'autre, il fallait de l'activité pour ça une sentinelle qui surveille l'horizon s'il n'y a rien elle ne peut rien détecter et nous pourrions continuer avec différent point durant encore un petit moment. C'est pour ces raisons qu'Hisashi préférait vérifier cela en mettant personnellement les gardes humains à l'épreuve mais ce n'était pas l'objectif de la journée. La section une reçut un rapport d'inspection très satisfaisant la positionnant comme toujours comme tête de file dans ce domaine. Le reste de la troupe n'allait plus tarder à recevoir la visite de leur chef, ce n'était qu'une question de temps mais bien entendu des félicitations s'imposaient d'elle même pour les membres de la section une. Hisashi passa une dizaine de minute à leur côté pour booster leur moral mais bien entendu il était impossible qu'il ne dise rien alors il alla chercher la petite bête et la trouva sur la porte. La porte subissait peu à peu la dégradation du temps et une couche de vernis commençait peu à peu à devenir nécessaire. Il était évident qu'il ne s'agissait pas de la tâche des soldats de devoir faire ce petit travail manuel mais il est vrai que cela faisait partie de l'entretien du lieu de travail. Le haut dignitaire les informa de se détail avec un large sourire et une petite tape sur l'épaule de chef de section pour mettre en évidence que c'était vraiment pour dire quelque chose voir même une plaisanterie. Néanmoins, la première que fit Hisashi lorsqu'il s'éloigna du petit groupe de soldat fut de noter sur un bout de papier la remarque qu'il venait de leur faire. Comme ce détail allait figurer dans le rapport d'inspection, le petit boulot sera fait dans les semaines avenir voir même les prochains jours. Le samouraï partit pour le secteur numéro deux qui était légèrement différent du secteur un car il s'agissait de la surveillance intérieure du château dans les niveaux inférieures aux appartements du Seigneur féodal. Ce secteur est ensuite découpé en unité qui représenta à peu près un étage voir une partie de bâtiment. Il y avait un contrôle à chaque passage d'unité ce qui rendait le système très verrouillé et qui ne permettait pas à n'importe qui de passer d'une unité à une autre comme ça en disant juste bonjour : Il fallait montrer patte blanche. Pour effectuer cette inspection, Hisashi préférait prendre le chef de section avec lui et de se rendre avec le chef dans chacune des unités. Cela permettait plusieurs choses la visualisation directe des éléments qui n'allaient pas mais aussi empêcher de rejeter la faute sur X qui n'était pas la pour le moment, un chef doit savoir à qui était confier cette tâche. Il y avait également le contact humain qui jouait beaucoup dans ce genre de rencontre assez bien formelle. Le guerrier arriva donc dans le bureau du chef de secteur numéro deux. Il l'invita à le suivre en direction des premières unités. Ils commencèrent ensemble leur visite de la première unité. Il n'y avait rien à signaler de particulier, la zone n'était pas aussi bien tenue que le secteur numéro un mais le résultat global était satisfaisant. Cette conclusion fut majoritaire mise à part quelque vilain petit canard, il n'y avait rien à signaler. Lorsqu'un vilain petit canard était détecté il entrait dans le système de "punition". Le système de punition était relativement simple le Daimyo le voulait ainsi afin de ne pas surcharger ses haut dignitaires et rendre la gérance des secteurs assez simple. Plus un système était simple et plus les résultats étaient au rendez-vous. Il y avait donc un premier avertissement pour le secteur ou l'unité, un seconde venait appuyer le premier si cela continuait à être médiocre, le troisième point était l'assignation d'un mentor au groupe défectueux. Ce mentor avait un rôle important car c'était lui qui rendait un rapport final sur le groupe de soldat mis en défaut. Si le rapport était positif, le mentor restait en fonction durant encore plusieurs mois par contre si le rapport était négatif, les soldats étaient mis à la porte ou envoyer dans des garnisons moins importante comme celle qui s'occupait des hectares se trouvant au tour du château. Hisashi termina alors sa visite avec le bilan déjà spécifié ci dessus. Laissant le chef de section réprimander ou féliciter ses troupes, le haut dignitaire partit pour le troisième section qui était celui en charge des zones se trouvant au dessus des appartements du Seigneur féodal. Il n'y avait pas de sous unité dans ce secteur car il ne couvrait pas énormément d'espace, c'était d'ailleurs le secteur le plus petit après celui de la porte d'entrée. Le chef de section n'était pas dans son bureau mais en visite de pré inspection, ce genre d'initiative qu'il savait nombreuse et quotidienne plaisait fortement aux samouraïs qui démontrait l'envie de bien faire de leur homme. Le chef de garnison fit donc le choix de commencer l'inspection sans le chef et observa les soldats qui se mettaient systématiquement aux gardes à vous. La tournée se passa sans le moindre encombre jusqu'au moment ou la situation fut particulièrement amusante. Hisashi arriva sur la dernière partie du secteur et observa le chef de section trifouiller dans un coin de grenier semblant vouloir prendre les dernières poussières avec ses propres vêtements. Jusqu'au moment où il s'aperçut que ces hommes étaient aux garde à vous mais au lieu de faire la liaison avec Hisashi, il engueula le soldat qui faisait le clone et expliqua explicitement qu'il ne voulait pas de garde à vous lorsqu'il était présent. Il continua en disant qu'il était un serviteur comme eux mais c'est à ce moment que le déclic se produit, il tourna la tête légèrement et aperçut le samouraï sourire au lèvre en train de le regarder. Le haut dignitaire remit toutes ces félicitations aux troupes mais au chef de l'excellente tenue du secteur et qui était quasiment au même niveau que le secteur un. Il invita ensuite le chef à le suivre dans son bureau. Le samouraï voulait lui rappeler qu'il était positif de maintenir une hiérarchie avec la troupe ce qui empêchait les discussions lorsqu'il y aurait un problème mais il voyait bien que ce qu'il disait entrait dans une oreille et sortait par l'autre. Le guerrier partit en direction du dernier secteur, enfin, car le temps de midi était plus très loin. Le quatrième et dernier secteur était relativement simple, il s'agissait de la surveillance des murs par l'intérieure qui était un travail différence du secteur de la surveillance des murs par l'extérieure. Les soldats protégeait l'accès au mur par l'intérieure il se confondait donc dans les autres secteurs mais était bien plus spécialisé dans l'observation. N'oublions pas qu'il n'est pas impossible qu'un ninja essaye de franchir les murs du château afin d'y mener des missions secrètes, ces shinobis pouvant monter, escalader et même marcher sur les murs comme ci de rien n'était, il était indispensable d'avoir de réelle capacité d'observation. Hisashi arriva au près du chef de secteur qui quand à lui n'avait pas le luxe de pouvoir s'absenter de son bureau étant donné qu'il lui faudrait quasiment la journée pour visité chacun de ces hommes. C'est bien pour cette raison que le samouraï n'effectuait pas une inspection à proprement parler mais regardait de très près les rapport du chef de section et menait des actions très fréquentes qui se voulait être d'infiltration. C'était le meilleur moyen de tester ce secteur qui était le plus vaste de tout le château associer aux inspections sommaire très fréquente. Et c'était bien pour cette raison qu'il se refusait d'émettre des rapports d'inspection comme pour les autres sections puisqu'il était très difficile de pouvoir faire une vrai inspection. Les soldats du secteur numéro quatre son mobile ce qui ne fait qu'accentuer la difficulté. C'est donc ainsi que la matinée d'inspection se termina. Il pu alors aller dîner dans la cantine des samouraïs et enfin pouvoir souffler un instant. Le guerrier s'installa a table avec quelque amis et ils commencèrent à souper bien simplement.

1ère partie de l'entrainement

182 lignes

4 mois et plus...
[du 13/03/2011 au +/- 16/07/2011]

Entrainement au Kenjutsus

en cours

Entrainement au Kenjutsus

en cours (en attente de la validation de la capacité)

Une mission importante pour le pays du feu

Le jour où tout commença était un jour comme les autres sans réel différence avec les jours qui l'avait précédé. Les samouraïs protégeaient toujours le Daimyo et s'occupait toujours du commandement des garnisons de soldat humain positionné dans l'enceinte du domaine féodale. Les soldats humains étaient tous de plus en plus performant du moins dans la garnison de jour, ci bien que certain conseiller voulait dissoudre la garnison de jour et de nuit afin de refaire deux groupe de même force ainsi les deux garnisons pourront continuer le développement de leur performance. Le sujet avait été présenté aux chef de la garnison de jour et à vrai dire l'idée lui plaisait plutôt bien. Les soldats pourraient ainsi communiquer leur expérience et leur connaissance dans le but d'augmenter un peu la protection du chef de la nation. Hisashi était sur le terrain d'entraînement des samouraïs et réfléchissait à cette proposition tout en s'exerçant à la coupe de bambou avec un tento. Il n'y avait bien entendu pas que le sabre pour un samouraï d'autre arme devait pouvoir être utilisée dans certaine situation afin de pouvoir atteindre le nindo de tout samouraï mourir d'une mort honorable ou servir son maître du mieux qu'il pouvait. Le guerrier n'était cependant pas très habituer à manier autre chose que son sabre, il lui était donc assez compliqué de faire de belle coupe parfait mais il parvenait tout de même à un résultat convenable. Une fois les coupes terminés, Hisashi sortis du terrain de sable et sur plaça en hauteur afin d'observer ses déplacements qui était marqué sur le sable. Il détecta quelque irrégularité comme un pas qui était fait à droite alors qu'il devrait être à gauche. Ces détails avaient bien entendu toute son importance et permettait de pouvoir rectifier le tir immédiatement. En effet, après cette séance d'observation, Hisashi retourna sur le terrain d'entrainement et reprit ses déplacements mais cette fois assez lentement afin qu'il se marque dans l'esprit du samouraï. Quelque minute plus tard, il fut interrompus par l'un de ses collègues samouraï qui l'informa que le seigneur féodal demandait sa présence le plus rapidement possible dans la salle de réception. Ne pouvant faire attendre son Daimyo, Hisashi attrapa son sabre l'enroula dans un tissu et se présenta devant le seigneur féodal. Enroulé son sabre dans un tissu était une marque de respect et démontrait que l'on venait en paix ce qui était indispensable lorsque l'on se présentait devant un supérieure pour une réunion officielle. Le guerrier s'avança dans la pièce puis se mit à genou devant le seigneur déposant son sabre devant lui et inclina la tête jusqu'au sol. Ainsi ce faisait les salutation pour un véritable samouraï, le Daimyo se trouvait derrière un rideau japonais qui empêchait de pouvoir voir à travers ou du moins voir plus qu'une ombre.

Daimyo : Je t'ai fait venir ici Hisashi Katsumoto car tu es l'un des meilleurs Haut dignitaire que j'ai la chance d'avoir à mon service. Je te retira le commandement de la garnison de jour non pas pour des causes de mauvais gestion mais parce qu'une autre mission t'attend. Nous sommes fier et satisfait de ton commandement et nous avons donc choisis d'utiliser tes talents pour des missions bien plus importante. Il y a peu une guerre entre le village caché de la feuille et celui de la brume éclatait. Elle est aujourd'hui terminée mais nous y avons perdu notre Hokage. Je t'envoie donc à Konoha afin d'y mener dans un premier temps deux enquêtes. La première est celle-ci : L'un des konoha-jin Bowoka Uchiha s'est auto proclamer Hokage, nous souhaitons récolter son témoignage et de savoir s'il est bien vu des autres ninjas du village. Sache que cet homme est dangereux, la prudence est donc de mise, il est soupçonner de désertion d'où le fait que l'on puisse douter de sa loyauté. La seconde enquête est sur la guerre elle même : Nous voulons savoir ce qui a provoquer cette attaque inconsidérée et ce qui s'est réellement passé à Kiri. Tu as bien entendu carte blanche et en tant que Haut dignitaire de ma garde personnel tu as accès à tous les secteurs de notre pays, la moindre porte peut t'être ouverte. Au faites n'hésite pas à nous rendre comptes de tes avancées Hisashi. Porte fièrement notre bannière, cherche la vérité et applique la justice d'une main de fer !

" Ce sera un honneur pour moi que vous servir mon Seigneur ! "

Le samouraï s'inclina une seconde fois et reprit son sabre. Il se releva et fit marche arrière sans jamais perdre de vue le seigneur féodal, c'est à dire sans jamais lui tourner le dos. Ce n'est que lorsqu'il arriva à la porte qu'il lui "tourna" le dos et se dirigea vers son bureau. Il devait le mettre en ordre pour le prochain commandant qui prendrais en charge la garnison de jour. Il positionna stratégiquement les documents qui étaient prioritaire et alla faire ses "adieux" au chef de section pour qui il avait le plus grand respect. Après ce moment informel, le guerrier prit ses affaires qui se trouvait dans sa chambre, en particulier un collier offert par sa mère le jour de son départ. Il n'était pas bon d'être matérialiste pour un samouraï mais dans ce cas de figure l'objet ne symbolisait pas la fortune bien que ce soit l'une de ces formes mais symbolisait l'amour d'une mère pour son fils ainsi que l'amour d'un fils pour sa mère. Une fois apprêté, Hisashi se dirigea vers la porte d'entrée où l'attendait son mentor. Après avoir discuter un peu avec lui et surtout après qu'il ait pu faire toute ses mises en garde ainsi que les doutes qu'il avait envers cette mission, le samouraï se mit en route et pris la direction de Konoha. Il était bien entendu à cheval et portait donc des cuissard amovible qui n'était portée que lorsque l'on était à cheval. C'était l'un des moyens de locomotion les plus utilisé par la garde personnel du Seigneur féodale du pays du feu pour sa rapidité et sa capacité de combat supérieure que celle d'une personne à pied. Le village caché de la feuille n'était pas bien loin et il ne sera pas compliqué de l'atteindre avant la nuit.