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Je marchais dans Kiri, le village malgré son absence totale de ninja semblait assez vivant. Le village était beaucoup plus beau que Konoha. A chaque coin de rue l'on rencontrait des vendeurs, vendant divers met de la mer. J'aurais bien aimé faire mes courses là-bas mais j'étais un peu occupé, s'était tellement dommage. Et puis zut, pour une fois que je pouvais profiter de faire un petit tour! Je me laissais absorber par le flot des habitants et je faisais le tour du village, tout était tellement beau, tellement plus beau que Konoha. Le village de Kiri avait la chance d'être tout prêt de la mer et avait donc des poissons de premier choix. J'adorais leurs odeurs, ils sentaient tellement bon, j'en touchais, j'en humais, c'était surement le plus beau village que je visitais. Les filles du village était belle, les homme sanguins, l'on était bien loin du village rose bonbon qu'était Konoha. Je pouvais entendre les paroles des citadins, j'aime entendre le bruit, le silence était trop ennuyant. J'étais comme un enfant dans une confiserie. Après avoir fait le tour des marchés et avoir acheter de nombreux met locaux comme des poissons ainsi que des légume spéciaux du village je commençais enfin ma mission. Je n'aurais pas eu de village, je serais allé volontiers là-bas, mais j'avais un village et je tenais à ce village. Je commençais donc ma petite enquête, je m'approchais de certains villageois et je demandais:
"Bonjour, désolé du dérangement mais ce serait pour une question s'il vous plait? En fait je suis un homme du pays du feu et mon seigneur m'a demandé de me rendre a Kiri pour remettre un cadeau votre Mizukage. Il faut donc que je sache où se trouve sa résidence pour lui remettre le paquet."
"Hum. La résidence de la Mizukage se trouve a gauche, dans la ruelle là-bas, la jeune femme aime bien être au calme. Je vais vous accompagner."
Je souriais et suivais le jeune homme qui m'indiquait le chemin, j'arrivais devant la résidence, elle était assez belle néanmoins elle ne faisait pas le poids avec la résidence de Ryusuke. Après-tout, c'était moi qui l'avait faîtes. Je regardais la résidence et attendais que l'homme parte pour commencer ma mission. Je sortais mon kunai et je l'approchais de la porte. Doucement je plantais le kunai dans le bois de la porte et je faisais un léger trou dans la porte. Un trou assez gros pour rentrer mon bras. Je rentrais mon bras dans le trou et j'ouvrais la porte. C'était assez facile d'ouvrir une porte, il ne fallait juste ne pas se faire prendre. La maison était assez bien situé pour que j'effectue ma mission, elle était dans une ruelle où peu de gens allaient donc c'était parfait. J'entrais doucement dans la maison, elle n'était pas très bien rangé, n'avait-elle pas de majordome? Enfin soit, j'entrais dans l'entrée, il n'y avait rien. Je devais trouvé une épée, je regardais donc dans l'entrée si il y avait une épée. Je passais ensuite a la cuisine, tout était mal rangé. Tout était mal rangé! Une haine s'emparait de moi, une violente haine comme je n'avais jamais eu avant. Une haine qui me dévorait de l'intérieur, comme pour Ryusuke. Je n'étais pas fort! J'aurais pu si je l'aurais battu ramener Ryusuke dans son état normal mais je n'y suis pas arriver! Je n'étais pas encore assez fort! Comment faire?! Je m'énerver, je frappais de toute mes forces les mur qui se fissurait peu a peu. Je transperçais les oreillers, j'arrachais les tapisseries, je cassais tout! Après une grosse demie-heure de destruction je reprenais un peu mes esprits. De plus en plus je me laissais submergé par la haine. Cela m'arrivait de plus en plus. Je continuais néanmoins mes recherches espérant trouver quelque chose. Je regardais le désastre que j'avais causé. La haine me faisait faire des choses horribles. Je regardais la maison, je venais d'en sortir. Il faisait désormais nuit, je regardais la maison, il ne fallait pas que l'on sache ma venue. Je regardais la maison et je rerentrais, je devais nettoyé ce que j'avais fait. Durant toute la nuit je nettoyais ce que la haine m'avait fait faire. Il n'y avait donc rien dans la maison, je passais donc au bureau.