<< Avez-vous laver vos mains ? Sinon faites le avec le produit à votre gauche, il hydratera votre peau en même temps. >>

<< D'accord Kintaro-san. j'ai préparé ce que vous m'avez demander pour l'opération. Tout est sur ce chariot. >>

<< Parfait, entrons. N'oublie pas, ne fait aucune remarque sur le patient quand tu entre dans la chambre. >>

Ma première opération. J'étais si nerveux ! Même si je n'allais qu'assister, mes mains tremblait comme une feuille de papier. J'étais tout de même content que Juichi-sama fasse appel a mes services pour le seconder. Cela prouvait qu'il avait confiance en moi. Je pris le chariot par sa fin pour le pousser dans la salle. J'évitais tout regard avec le patient, quelque chose me disait que j'allais regretter. Kintaro avait déjà entamé la conversation. Je faisais de mon mieux pour éviter de regarder le patient, mais j'allais finir par le faire. Tout ce qui était dans le chariot avait déjà été préparé, mais je vérifiais et je re-vérifiais. C'était ma solution stupide en attendant d'en trouver une meilleure. Je du me résigner a me retourner lorsque Kintaro m'interpella.

<< Tu sais Mayuri quand je t'ai dit de ne pas faire de remarque sur la blessure de notre patient, ce ne voulait pas dire de ne pas le regarder du tout. >>

<< D-de quoi vous parlez ? Je vérifie si tout est présent sur le chariot. je ne voudrais pas de malheureux imprévu lors de ma première opération. >>

<< Tu vérifie quatre fois ton chariot ? Je dois dire que je plutôt fier de toi, allez tourne toi et regarde le. Tu devra le faire tôt où tard. >>




Je le fixais, j'en avais oublié ce que m'avait dit Kintaro. C'était horrible, mais quesce qu'il lui est arrivé ? Qui aurait pu lui faire ça ? Au plus profond de moi je ressentais sa douleur, il n'avait pas l'air de souffrir, par contre je revivais dans ma tête de nombreux scénario. Peu importe de la façon dont je le vivais c'état horrible, même si la cause était accidentelle. Je tremblais encore plus, stupide mains... Celui-ci mit à rire en me voyant pité pour lui. Il savait que je mourrais d'envie de savoir ce qu'il lui était arrivé.

<< Un combat lors de la guerre Konoha-Kiri, je me suis retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Disons que je le méritais. >>

<< Personne ne mérite une telle chose ! criais-je. Mes poings étaient fermés. c'était si injuste, mais au moins il était vivant. >>

<< Allez nous avons perdus assez de temps comme ça. Commençons l’opération. Nous allons vous endormir. >>

Le patient prénommé Zuko, n'insista pas et s’allongea sur le lit. Je lui administra un sérum ou plutôt un somnifère. En fait, je n'étais pas trop douer avec les piqûres ou les prises de sang, mais sous devant le fait accompli je me débrouillais plutôt bien. Le patient s'endormit après quelques secondes, il nous accorda un dernier sourire en signe de bonne chance. Kintaro me demanda un scalpel, nous n'allions pas soigner l'apparence de son oeil comme je l'avais pensé, mais plutôt son intérieur. En effet, le choc avait causé des dommages internes. Je n'avais étudier l'oeil et ses constituants que très peu alors je me tenais à l'écart et j'observais chaque mouvement, chaque action qu'il faisait. Bien que je ne connaissais pas la cause du problème, je pouvais apercevoir de quoi avait l'air l'intérieur. C'était fascinant, je pouvais voir tout ça de mes propres yeux et je n'étais âgé que de 16 ans ! Peut de jeunes de mon âge pourrait se vanter d'avoir ouvert le crane de quelqu'un. Cela paraissait facile à dire et ça l'était, mais Kintaro suait à grosses goûtes. Je m'assurais de l'éponger de temps en temps, tout en obéissant au moindre ordres qu'il m'ordonnait.

<< Tu ne lui a pas injecter assez de somnifère, il va se réveiller bientôt. >>

Quoi ? Impossible, j'avais mis la dosse exacte, au millilitre près. À moins que ça ne sois pas ça première fois, cela m'étonna qu'il développe une résistance aussi rapide au produit.Je n'en fis pas un gros cas et je lui en administra un autre dose, il devrait normalement dormir pour une autre bonne heure, cela permettra à Juichi-san de finir l'opération. Malheureusement, les problème ne s’arrêtèrent pas là. Juivhi semblait perturbé. Il me fit signe de la main. J'approcha et se mit à respirer profondément.

<< Dis-moi, la rétine te semble infecté ? >>

<< Je ne saurais dire, j'ai étudié que très peu l'oeil, mais elle m'a l'air correcte... je vais chercher un autre docteur ? >>

Il me fit signe du revers de la main d'y aller. Je découvris ma bouche du masque pour sortir calmement de la pièce. Je restais tout près de la salle attendant qu'un médecin passe. Trop s'éloigné serait dangereux, pensais-je. Par chance, deux médecin passèrent par hasard par là. Je les interpellais et je leur raconta la situation. Kintaro fut surprit lorsqu'il m'apercu revenir avec deux médecin. Je m'assis dans le coin de la pièce n'étant plus utile et les trois hommes se mirent à débattre. Pas juste sur la rétine, mais sur plein de sujet concernant l'oeil du patient.


L'opération se termina quelques temps après. Les trois médecin était parti avant que je puisse les rejoindre. J'étais resté. C'était le moins que je puisse faire après avoir été si inutile lors de l'opération. Étonnement, le patient se réveilla trois heures après la fin de l'opération. J'ai dû lui injecter trop de somnifère. Je lui servis son souper lorsqu'il fut assez réveillé pour interagir avec moi. Bizarrement, il ne parlait beaucoup. Cette fois-ci j'étais sur de savoir ce qu'il pensait. Il admirait la vue, ses yeux bougeaient et fixais partout dans la pièce ne s'arrêtant que pendant quelques centièmes de secondes. Je le nourrissait comme un enfant, il le méritait bien. Selon moi, les gens qui sacrifie leur vie pour leur pays devraient être mieux servit, il donne quand même leur temps, le vie pour protéger celles des autres. Vous pourriez toujours tentez de me convaincre en me disant qu'il mourront dans l'honneur ou qu'ils rendront leurs pays fort et fier d'eux, mais si cela coûte une vie il faudra me compter hors de tout cela. J'étais déjà assez humilié d'être un ninja et même d'y avoir rêvé d'en être un.


Je rentrais chez moi alors que la lune était pleine. Je pouvais voir ses rayons percer mes rideaux. J'entrais alors chez moi pour m'écraser sur mon lit. La journée avait été longue et je ne voulait que dormir. Décidément, travailler à l'hôpital était éreintant, mais j'adorais ça. J'étais impatient à la prochaine fois ou Kintaro ferait appelle à mes services. Cette nuit je ra que je devenais un médecin renommé pour mon talent et mon travail acharné, ce rêve était si beau, mais si loin en même temps.

+20 Okanes Mayu