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Yashiro Kazama
Nombre de messages : 898 Date d'inscription : 14/07/2009
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| Sujet: Raiten Taisô Lun 28 Fév - 21:39 | |
| Ma vue se trouble, mais je fais en sorte de continuer à marcher normalement. Je pose mes mains devant mes yeux et ferme mes paupières, juste un instant. Putain mais qu'est ce qu'il m'arrive ! Je sens ma fièvre empirer. il faut que je rentre et que je roupille. Oui. Là dans l'immédiat, c'est le mieux. J'ouvre les yeux et continu à marcher. Cette fois-ci, mon état est pire que d'habitude. Ma tête me lance, comme si deux idiots s'amuser à se la lancer tour à tour sans ménagement. Mes yeux sont injectés de sang, comme si j'avais passé la soirée à me droguer. Mes mains, mes jambes, mon corps tout entier tremble et chaque pas et une torture à cause de mes os. Comme s'ils s'émiettaient. Je sens que je vais vomir mes tripes et j'essaye de calmer mon estomac en respirant calmement. Je crois que, finalement, je vais mettre ma fierté et mon mauvais caractère de côté et que je vais aller voir un médecin. Si je survie déjà jusqu'à chez moi. Je ne comprends pas. Je ne vois pas ce qui peut me rendre aussi malade. Je n'ai pourtant rien fait qui puisse me mettre dans un tel état. Généralement, je ne tombe pas facilement malade, et quand ça arrive, les symptôme ne sont pas assez contraignant pour que je me confis à qui que ce soit où pour que je reste confiner chez moi. Peut-être que je vais mourir d'une minute à l'autre de combustion instantanée. Se serait marrant. Enfin non. Pas vraiment. J'ai pas envie de mourir, moi. J'aime trop tuer pour ça. J'arrive enfin devant ma porte. Le prochain défit : réussir à mettre la clef dans la serrure. Je lève le bras et essaie, sans succès de calmer mes tremblements. J'essaie d'ouvrir la porte sans la clef et découvre avec plaisir que j'ai laissé ouvert. Pas besoin de fermer je suis sûr que personne ne viendra me cambrioler. Je referme la porte et me dirige vers ma chambre. Je me laisse tomber sur le lit à bout de force et ferme les yeux. Je me recroqueville sur moi-même, le froid m'assaillant. Je n'ai même pas la force de tendre le bras pour tirer la couverture vers moi. Mes muscle se relâchent et enfin, je m'endors.
Tout est sombre. Je ne distingue rien dans l'obscurité et je commence à avancer, sans but précis. Je sais que je rêve et je me demande simplement où mes pas vont m'emmener. Non, pas de lumière blanche au bout du chemin, je ne me mets pas à courir, rien de tout ce qu'on peut entendre sur les gens morts. D'ailleurs, je me suis toujours demandé pourquoi les gens avancer vers la lumière. Ils savent très bien ce qui les attendent ! Dans le genre idiot on fait pas pire.
Petit à petit, je distingue des formes, tout autour de moi. Puis, soudain, tout est clair. Je me stoppe, au moment où je comprends où je suis. Des bouts de bois jonchent le sol, arracher aux chariots saccagé. Les toiles trouées, l'herbe calcinée, les ustensiles jeter au sol. Tout y est. Je me demande d'où me vient cette vision, puisque je n'étais pas là quand les ninja avait fini de tout ravagé. Je tourne la tête et m'avance vers le chariot de mes parents. Je donne un coup de pied pour enlever les bouts de bois et de ferraille. Rien. Pas de carcasse en décomposition, pas d'os rongée par le temps. Rien.
- Tu aimerais qu'ils soient là ?
Je me retourne. Cette voie m'est inconnue. Une gigantesque forme, entre le dragon et l'oiseau géant, brille comme s'il était fait de lumière. Je plisse les yeux, ébloui.
- Alors ?
- De qui tu parles ? Je demande, même si je le sais déjà.
- Hahahahahaha ! Ne t'inquiète pas, je sais qu'ils ne te manquent pas ! Je te connais par cœur, tu n'ais pas du genre nostalgique. Je suppose que si tu les avaient vus, tu les aurait frappés !
Il avait raison. Il semble ne pas avoir fini, mais je le coupe quand même.
- Tu oses prétendre me connaitre par cœur ? Foutaise ! Dit moi ce que tu veux sans tourner autour du pot ! Que je puisse...
- Que tu puisse ? n'oublie pas que tu rêve. A moins que... ce ne soit pas le cas ?
Impossible. Son insinuation me laisse quand même quelques doutes.
- Allons bon, la patience n'est pas ton fort. Aller, on va jouer aux devinette. A ton avis, qui suis-je ?
Je sers les poings. Il se fiche de ma gueule ! Moi, jouer aux devinettes ? Dans ses rêves ! (en l'occurrence, on est dans le mien). Je réfléchie plutôt à comment le battre. Un être fait de lumière aussi grand qu'une maison ! qui parle et se fiche de ma gueule ! Et qui me connait en plus ! Je décide de lui poser les quelques questions qui me démangent.
- Pourquoi on est ici ?
- Tu réponds et je réponds, me lance t'il, la voix pleine de malice.
Je fulmine. Je vais le tuer !
- Tu es un prototype raté de mon subconscient.
- Hoho ! Raté petit insolent. On est ici parce que c'est la base de tout. De ton pouvoir et de ce que tu es. Essaie encore.
- Mon subconscient ? Est-ce que ça a un rapport avec mon état physique ?
- Encore raté ! Fait un effort ! Je vais te donner un indice : tu me cherches désespérément même si tu as compris que je viendrais tout seul à toi le moment venu ! Et tout cela a à voir avec ton état presque déplorable. Tu as juste fais une overdose ! Mais elle ne t'as pas tuer !
Une réponse me vient en tête, tout simplement logique : la puissance. Mais ce n'est pas possible. Je décide quand même de lui proposer, à cours de réponse.
- Tu es la puissance.
Il me sourit.
- Nous nous reverrons Yashiro. quand tu seras encore plus fort. Pour le moment, prend cette partie de mon pouvoir. Utilise la bien. Je reviendrais te voir quand tu seras digne d'avoir plus !
Un éclair de lumière et je ressens une douleur insupportable. La lumière m'aveugle avant que je ne retrouve le noir complet. J'ouvre les yeux. J'entends un cri abominable et je me bouche les oreilles. Avant de comprendre que c'est moi qui cri. Je ferme la bouche et regarde mes mains. Ma peau blanche, d'où parfois apparait de petit éclair d'un noir de jais, me stupéfie. Je suis plutôt mate de peau alors là, me retrouver aussi blanc qu'un cul ! Je touche mes cheveux, m'en arrache quelques-uns. Ils sont blancs aussi. Je me lève, parfaitement rétablie. Dehors, les rues sont vides de monde et il fait tellement sombre que j'arrive à voir mon reflet dans la vitre. Et soudain, je comprends. Tout me reviens. Elle est là, elle est enfin là !
- HAHA HAHAHAHAHAHAHAHAHA ! ELLE EST LA !
Dernière édition par Yashiro Kazama le Sam 2 Avr - 9:44, édité 2 fois |
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Invité
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| Sujet: Re: Raiten Taisô Mar 1 Mar - 10:14 | |
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Yashiro Kazama
Nombre de messages : 898 Date d'inscription : 14/07/2009
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| Sujet: Re: Raiten Taisô Mar 17 Mai - 5:53 | |
| J'ai beau essayer de ne pas y penser, j'y pense quand même. Y a pas à dire, dans le genre obsessionnel, c'est vraiment le truc qui te pourrit les pensées en faisant en sorte que tu ne puisse même pas te concentrer. Le plus rageant, c'est que j'ai envie de ça. J'en ai même tellement envie que plus j'y pense et plus j'espère. Et comme on ne dit pas, espérer c'est ne pas accéder. Mais j'y peux rien, plus vite il se manifestera, mieux ce sera. Ce fichu oiseau lumineux va se prendre la raclée de sa vie lorsqu'on va se revoir. Rêve ou pas, qu'il soit fait de lumière ou d'électricité, rien à faire.
Le fait est que, lorsqu'il m'est apparu pour la première fois, j'étais malade comme un clébard. Tellement malade que j'ai dû être inconscient. Sauf que, en ce moment même, je ne le suis pas du tout. Et je peux rien faire pour ça. Je n'ai jamais attrapé de rhume en restant torse nu dehors par un mauvais jour d'hiver (j'ai testé je vous assure). En fait, les fois où j'ai été malade se compte sur les doigts d'une seule main. Il n'y a que les idiots qui ne tombent pas malade hein ? Si c'est ça, je renis mon intelligence ! Juste le temps d'avoir un peu plus de pouvoir. Et me voilà donc déambulant dans les pauvres rues inintéressante de Kiri. Mais alors pourquoi j'y suis si elles sont inintéressante ? C'est une très bonne question. Je crois que actuellement, je suis... décourager. Fallait bien que ça arrive. Mais vous inquiétez pas. Dans moins d'une minute je vais devenir fou à lier. Je vais pas réussir à me contrôler. Je finis toujours comme ça. C'est marrant hein ? De dire que dans deux secondes je vais pété un câble alors que là je suis aussi moue... qu'un moue. C'est pareil pour mes vieilles vannes pourri. Héhé... Je m'éloigne de la populace, histoire d'éviter d'avoir d'autres personnes sur le dos. Et si je tuais des passants ? Embêtant. Tentant mais embêtant. Ça y est ça commence. Je sens mon coeur brûlait, je n'arrive presque plus à respirer, il me faut des inspirations plus grandes. Mes muscles se contractes et je serre les poings le plus fort possible, jusqu'à ce que mes mains soient recouvertes de mon propre sang. C'est toujours mon corps qui commence la réaction. Et quand je sens l'odeur de mon sang, que ma vue se trouble, je me mets à rire, en me griffant le visage avec mes ongles coupé court. Mon rire s'accentue, deviens plus fort, et se rapproche plus... comment dire. D'un mélange entre lamentation, incantation sans queue ni tête, promesse de vengeance et rire sadique. Je vous dis pas ce que ça donne en vrai. Bref, je sens ma raison (j'en ai une ?)partir et me laisse submerger par l'énorme vague de colère. C'est bon. C'est tellement bon. Le premier arbre en fasse de moi fait office de souffre douleur. Je hurle, en continuant mon mélange hystérique oral et donne des coups de tête dans ce pauvre arbre. SANG ! SANG SANG SANG ! HAHAHAHAHAHAHAHA ! HAHAHAHAHAHA ! J’EN AI MARRE ! DE CETTE VIE DE RENFERMER ! J’EN AI MARRE DE ME CACHER ! MARRE DE FAIRE SEMBLANT ! JE VEUX DU SANG DE LA MORT DES CRIS DES BLESSURES DE LA SUEUR DU PLAISIR DE LA COLÈRE DE LA LIBERTÉ !!!!!!! JE VEUX TOUT ET J’AURAIS TOUT ! Je continue à frapper l'arbre avec ma tête, en usant cette fois-ci de mes poings aussi. Quand j'en ai marre de l'arbre, je pars en courant dans une direction, choisie aléatoirement et me retrouve devant un lac. Sans le vouloir, j'active le raiten et me met à tout ravager autour de moi. Les arbres, les buissons, la terre, tout y passe. Dans un rayon d'une vingtaine de mètre seulement. Je concentre ma colère sur un endroit, c'est déjà ça. Dans ma tête, on peut dire que ma raison assiste aux ravages en attendant tranquillement que je me calme pour reprendre le contrôle. Je m'en rends compte toujours au moment où ma colère retombe un peu et cela me fait repartir de plus belle. J'en avais besoin. De cette petite perte de contrôle. Pas seulement à cause du raiten, mais aussi à cause de ce village. À toujours me tenir tranquille, je finis par devenir plus instable que je ne le suis habituellement. Obliger de réfréner ma vrai nature, je tasse tout au fond de moi, jusqu'à ce que cela finisse par éclater, faisant voler en éclat toutes les choses qui me résonnent.
Et là, je le sens. Il est là ! Il m'attend ! Je m'arrête net, tombe à genou. Il est... là... et je tombe par terre, sombrant dans l'inconscience, un sourire de bonheur intense sur mes lèvres. Quand je me retrouve dans le noir, je suis un peu calmé. Alors, je vais encore atterrir devant les chariot en ruine ? J'en suis convaincu. J'avance donc avec assurance, de plus en plus vite, languissant le moment où je vais enfin avoir ce que je recherche. J'essaye de ne pas penser à ce mot d'une beauté extrême, pour ne pas retomber dans la folie. Et j'arrive dans une salle de torture. Elle m'est tellement familière que je ne peux m'empêcher de sourire. J'inspecte la pièce, cherche les petits couteaux, toutes les armes qui ont servie à ma torture. Je ne trouve rien. Comme pour la dernière fois où l'autre oiseau de malheur m'a fait venir, je ne reconnais pas la pièce. Comme si j'avais été téléporté dans cet endroit aujourd'hui même et pas quand j'étais petit et que les ninja l'avaient abandonné depuis longtemps. Je me couche sur la table, avec des gestes qui me semblent familiers. J'aime la froideur du métal dans mon dos. La solidité de la table. Les angles pointu qui s'enfonce dans ma peau, alors que je suis maintenant trop grand pour pouvoir y tenir. Cela ne me rappelle rien, mais j'aime. C'est tout.
- Je me suis permis de changer d'endroit. J'ai pensé que tu apprécierais tout particulièrement cette pièce. J'avoue avoir hésité entre ça et ta cellule. Mais j'ai apparemment fait le bon choix.
Je me relève lentement, pour me retrouver en fasse d'un môme crasseux, avec des cheveux blancs couper court, des yeux gris malheureux. Je le connais, mais le sourire malicieux ne lui va pas. Parce que c'est moi quand j'étais petit.
- Alors, comment me trouves-tu ?
Je me lève lentement, avant de lui foncer dessus, de l'empoigner par son col poisseux et de plaquer brutalement contre le mur.
- Tu me connaîtrais, tu saurais que ce n'est pas le genre de truc qui m'atteins. Où est-elle ?
- Toujours aussi impatient. Haaaaaaa... on ne change pas en aussi peu de temps.
La voix vient de mon dos. Je baisse les yeux sur le corps inerte que je tiens entre les mains et me retourne face, cette fois-ci, à Shin.
- Tu préfères cette apparence ? Ou celle-là ? Ou celle-ci ?
À chaque fois qu'il parle, il change d'apparence, prenant tour à tour, l'apparence d'une personne que j'ai connue durant mon enfance. Parents, proche, même les ninjas qui m'ont séquestré y passe. Ce petit jeu commence à m'énerver. Il le sent, bien que je n'ouvre pas la bouche une seule fois, essayant de me calmer en me disant que de toute façon, je ne pourrais jamais l'atteindre. Mauvaise idée. Ça m'énerve encore plus.
- Bon d'accord, j'arrête. Apparemment, tu es aussi instable mentalement que ce que tu prétends.
- Je ne prétends rien.
- Bon, alors que ce que tu laisses paraitre. Sauf que tu as une faiblesse. Et c'est à cause d'elle que tu es ici. C'est comme une drogue, hein, pour toi. Ça m'a bien diverti de te voir dans cet état. Quel potentiel ! Quelle... originalité ! Tu dépasses mes espérances. Mais ne parlons pas de ça. Parlons de ce que tu es venu chercher. Ton petit caprice t'as amené là où tu serais allé dans pas longtemps. Tu étais donc si pressé?
- Comme tu dis, c'est comme une drogue...
- Bien répondu. Sache toutefois, que c'est ma dernière visite.
- Quoi ? Tu ne m'apporteras plus rien ?
Je m'énerve en entendant ses mots. J'en veux plus ! Pourquoi il part ? En fait, je sais même pas qui il est, d'où il vient, ce qu'il fait là et pourquoi, comme il le dit si bien, c'est moi qu'il a choisi. Je sais que ce n'est pas la peine de lui poser les questions, qu'il va décider lui-même de me donner les réponses. C'est seulement la deuxième fois qu'on se voit, et je le connais presque comme si j'avais passé une bonne partie de ma vie avec lui. Ce qui est bizarre, c'est que... sa présence ne me gène pas. Il n'est pas comme toutes ces personnes, que je croise dans la rue. Nan. Il est... différent.
- Et non, triste vérité, mais c'est maintenant à toi de libérer ton propre potentiel. Je n'ai plus rien à te donner en fait. Et comme c'est la dernière fois que nous nous voyons, je vais répondre à quelques-unes de tes questions. Tu devineras les autres par toi-même.
Il arbore un malin sourire et prend l'apparence... de moi. Mon apparence, tel que je suis là devant lui. Je commence à cerner quelques trucs, mais j'attends qu'il parle. Son jeu de devinette commence vraiment à me taper sur le système.
- Alors, où est le commencement ? Je pense que tu le sais déjà mais... je suis toi. Je suis une part de ta force, enfoui sous toute ta colère. Si tu veux, le raiten ne te vient pas de toi directement, mais... de tes ancêtres. Je ne souhaite pas t'en révéler plus que ça, à toi de voir si tu veux vraiment savoir toutes les raisons de ton existence. Tu...
- T'avais tort. Quand tu disais que si je voyais mes parents, l'autre fois, je les aurais buté. Moi, ce que je pense, c'est que je les aurais plutôt remerciés. Bon d'accord, après je les aurais buté. Mais c'est grâce et à cause d'eux que je ne suis pas un de ses gamins à la con, que je peux voir simplement en regardant par-dessus la fenêtre de ma maison. Tu sais quoi ? J'en ai rien à faire de ce que tu es. Rien à battre que ce soit à cause de ça que j'ai été torturé. Tout ce que je veux, c'est ce que toi tu peux me passer. Le reste en m'intéresse pas.
Une phrase cool, mais qui représente tout ce que j'avais à dire. Pas plus pas moins. Non je ne vais pas me mettre à remercier mes parents en souriant bêtement alors que je lève la tête vers les nuages, en croyant qu'ils sont au paradis. Ça marche pas comme ça. Ils sont comme tous les autres, bêtes et inutiles. Si je suis devenu ce que je suis actuellement, c'est que ça ne devait pas se passer autrement. Je crois pas particulièrement au destin, mais je me fais la promesse que le mien va être exceptionnellement sanglant et à la hauteur de mes attentes. Je vais me porter tout seul là où j'ai envie d'aller. Et pas plus tard que bientôt. L'autre sourit, me fait un dernier signe de la main et je me retrouve à l'endroit exact où je m'étais évanoui. Je sens la puissance qu'il m'a donné repousser les limites de ma force, je sens de nouvelles possibilités, de nouveaux horizon se profiler là où il y avait avant un mur infranchissable.
- Aller, montre moi...
Mon chakra explose, devient éclair autour de moi. Je sens mes cheveux pousser dans mon dos (c'est quoi ce délire...), je me sens plus léger. Comme si je flottais à la surface de la terre plutôt que je marchais. J'ai même plus envie de le tester... tellement je sais que ça va être bien. Je retrouve mon état normal, un sourire flottant sur mes lèvres. Maintenant, c'est à moi de jouer...
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