Six ans, c’est un âge magique pour la plupart des enfants, nous n’avons aucun problèmes, les plus gros étant avec qui je vais jouer aujourd’hui, nous nous amusons sans crainte, protégé par nos parant et nos proches, mais malheureusement, certains n’ont pas la chance d’avoir cette, certains sont contraint de vivre dans la peur, la souffrance et l’angoisse, Shihana faisait partie de ceux-là. La petite fille avait une beauté naturel malgré son jeune âge, elle avait de long cheveux d’un gris argenté, de beaux yeux d’un rose profond mais elle avait un regard froid et triste. Elle voyait les autres enfants allé à l’académie ninja tandis que elle, apprenait les matières générales chez elle avec l’aide de sa génitrice, le fait même de pouvoir sortir et rire lui était limité, son père prétextant que une fille comme elle n’avait ne méritait pas des amis.

Les jours s’enchainait et se ressemblé, cependant, de plus en plus fréquemment, le patriarche battait sa fille sans raison apparente, à la moindre incartade, il lui donnait des coups de bâtons ou de n’importe qui lui tombait sous la main, la pauvre enfant ne comprenait pas pourquoi elle devait souffrir et pensait à tort qu’elle faisait une bêtise et méritait ces coups, sa mère quand à elle, avait bien trop peur de perdre son mari pour intervenir. Puis vint l’apothéose, un jour ou il avait passé une mauvaise journée à son travail de commerçant, il décidât de se défoulé sur Shihana, il l’empoignât par la gorge et la plaquât contre un des murs de sa chambre qu’il fermât derrière lui, d’un mouvement brutale, il lui arrachât ces vêtements supérieurs et commençât à « s’amusé ». Lentement, il fit de nombreuses entailles sur le visage de l’enfant, tout en étouffant les cris avec sa main, il continuât son petit manège, après avoir complètement ravagé son visage il dirigeât son arme vers œil droit et lui arrachât le globe oculaire par pur esprit de sadisme. Quand sa mère vit dans quel état elle était, elle l’emmenât à l’hôpital de Suna, là-bas, la petite Kaeldras prétextât qu’un homme inconnue était entré chez elle et l’avait violenté, sa mère quand à elle, baissât les yeux et regardât le carrelage de l’hôpital, elle savait qui était le responsable, mais elle préférât garder le silence, préférant protéger un monstre que sa propre chair.

!atention, certains passages (le second paragraghe) peuvent choqué les plus sensibles pour le theme assez adulte(meme si je suis pas sure que se soit vrai mais bon je préfère prévoir), vous etes avertie!

C’était une journée banale pour la plupart des gens, les rayons du soleil pistèrent à l’horizon, doucement, tout doucement, les bâtiments furent irradié par la lumière de l’astre lumineux, et aux milieu de ces bâtiments couleur sable, vivait la petite shihana, maintenant âgé de huit ans, une enfant qui devait porté un masque pour que les gens arrive à la regardé dans les yeux sans être dégouté. La petite fille pouvait maintenant se promener dans Suna, son père lui avait donné son autorisation car selon ces termes, il ne supportait plus de voir son visage hideux dans la maison, pourtant, c’était lui le fautif, c’était lui qui lui avait retiré sa beauté, mais il lui avait pris bien plus que cela cette nuit, elle lui avait pris une partie de son humanité et surtout, sa joie de vivre et son innocence. L’enfant n’en été plus une désormais, son regard sur le monde était dur et pragmatique, elle portait maintenant un masque qui lui dissimulé son visage en permanence. Les médecins n’avaient pas réussie à retiré les cicatrices qui zébré sa peau et une greffe d’œil était irréalisable à cause de son jeune âge, la ou il avait un magnifique iris de la couleur des cerisiers, se trouvait une cavité vide, rouge et orné de cicatrices blanchies, pour caché ce manque qu’elle jugeait infâme, elle avait un bandeau de cuir noir, au moins, elle pouvait se regardé dans un miroir sans constaté cette perte.

Shihana joué seul la plupart du temps, les rares enfants qui l’approché était la soit pour se moqué de son masque soit pour lui demandé pourquoi elle le portait, les parents quand à eux, eh bien, disons qu’ils préféraient regardait le sol, à croire que le sable qui ornait les routes était plus intéressant qu’une enfant qui était maltraité. Dès qu’elle voyait le soleil se voilait de son manteau orangé, elle se dit à contrecœur qu’il était temps de rentré dans sa « maison », dès qu’elle ouvrit la porte, elle constat avec terreur que sa mère n’était pas la, elle avait encore une fois préférait fuir que de protégé son propre enfant ! Au lieu de cela, la, assis sur une chaise, se trouvait la pire de ces craintes, son père dévisageât Shihana avec un regard lubrique et vicieux, comme si elle n’était rien de plus qu’un morceau de viande appétissante. Mais avant qu’elle ait eut le temps d’atteindre la porte pour fuir, elle fut violemment agrippé par sa longue chevelure et plaquait au sol, puis sans autre cérémonie, l’homme déchirât sa robe et ces sous-vêtements, puis il la violat. La douleur qu’elle ressentie quand il la déflorât était atroce, l’acte ne durât que quelque minutes, sous son masque, des perles de larmes coulât quand le violeur remontât son pantalons, avec un sourire victorieux sur le visage. Une seul pensé traversait l’esprit de la petite Kaeldras quand elle sentait son sang mélanger à d’autre sécrétions coulait de entre ces jambes, elle haïssait cette homme, non, en réalité elle haïssait tout les hommes, aucun ne levait le petit doigt pour elle, alors, elle déduit que toute la gente masculine était pareils, elle voyait les regards que les males jetés aux femmes, ne les voyant que comme des esclaves ou des filles de joie. Jamais, plus jamais elle n’aimera un homme, plus elle ne les laissera la salir. Mais alors, son père sortie un couteau de cuisine dentelé et commençat à charcuté la chair tendre de l'enfant, ce qui eut pour effet de lui arrache des sanglots étouffés, la nuit serat très longue pour la manipulatrice de sable.

Infernale, ce mot était souvent utilisé à la légère par la plupart des gens, pour décrire un surplus de travail ou encore définir un enfant turbulent, Shihana était sans doutes l’une des rares personnes qui pouvait réellement utiliser ce terme. Sa vie était vraiment un enfer quotidien, chaque jours, une nouvelle cicatrice apparaissait sur son corps et chaque jours, elle recevait nombres d’insultes de la part de son père, comme si il voulait la brisé dans tout les sens du terme. La seul chose qui était encore en son pouvoir était de fuir, elle avait fait plusieurs tentatives de vivre dans les rues de Suna, elle savait que se serait dur, mais au moins, elle pourrait passer une nuit sans être déchirait par la douleur de ces ecchymoses. Malheureusement, son géniteur finissait toujours par la retrouvé et la ramener de force chez elle, sans doute qu’il ne voulait pas se débarrassé d’une des rares choses qui l’amusait, ou alors c’était pour autres choses ? Peu importe finalement, le plus important était que à chaque fois qu’il ramenait son gibier, il la ruait de coup encore plus intensément qu’a l’habitué, et même si elle ne le savait pas encore, le calvaire allait bientôt cesse pour Shihana, oui, bientôt, une personne qui était trop effrayé pour réagir va se réveillé et faire ce qu’elle aurait toujours du.

La voila maintenant âgé de dix ans, pourtant, son attitude et sa philologie était celle d’une femme qui était au crépuscule de sa vie et n’avait connue que la souffrance, les sévices qu’elle subissait de façon journalière l’avait brisé, même les blessures physiques ne lui arrachât plus aucunes larmes ou gémissement, ce qui rendait son père encore plus furieux et agressif. Mais un jours, alors qu’il faisait sa bastonnade habituelle, il vit entré sa compagne, pensant qu’elle partir allait comme à son habitude, il continuât ce qu’il avait commencé, mais c’est alors qu’il sentit une vive douleur dans son dos, puis un grand froid pénétrant insidieusement son corps, pensant d’abord à une douleur musculaire, il posât sa main sur l’emplacement de sa douleur, il sentit alors un liquide chaud et carmin, puis constatât avec étonnement qu’il s’agissait de sang, de son sang! La femme au foyer tenait un kunai à la main, les yeux remplie de rage et de larmes contenue, puis elle poignardât à nouveau l’homme qui lui faisait face mais cette fois en plein cœur. Soudain, un corps inerte avec un masque d’étonnement tombât au sol, mais la plus surprise était Shihana, pour la première fois depuis maintenant des années, une émotion agréable l’a traversât, oui voir ce monstre périr lui avait plu, même si elle aurait préféré qu’il agonise pendant des heures. Après cela, l’enfant entendit le kunai tombé au sol puis elle sentit sa mère l’étreindre avec amour, elle susurrât alors à l’oreille de nombreuses demandes d’excuses, puis elle tentât de la rassurait en lui disant que à partir de maintenant, tout changerait. Tout en écoutant les flots de mots arrivant à ces oreilles, elle regardât avec un sourire dissimulé par son masque, le cadavre de son père, comme si le décès de cet être abject avait soigné son esprit et avait récolé les morceaux de son âme, oui maintenant, tout serait différent.

Enfin une existence un temps soit peu tranquille, même si la vie était loin d'être idyllique, au moins cette jeune enfant pouvait se lever et faire ce qu'elle souhaitait, elle pouvait si elle le voulait, resté dans son futon et flemmardé un peu ou se promener dans Suna sans craindre le moment ou elle rentrerait chez elle, son existence de martyr était terminé, enfin. Shihana se réveilla tôt se matin, le soleil pénétra dans sa chambre et la sortit de sa torpeur, doucement elle se frottât son œil unique, ensuite de quoi, comme un automatisme, elle prit son masque qui reposait sur son bureau et le mis, après l'avoir ajusté, elle s'habilla comme à son habitude de vêtements long et sombre, comme ça au moins, elle pouvait avoir une petite part de normalité dans sa vie. Après s'être vêtue, elle descendit dans la cuisine à l'appel de sa mère, après l'avoir poliment salué, elle s'installa à la table et mangeât son petit-déjeuner, pendant qu'elle se sustenter, la petite Kaeldras observait sa génitrice qui lui faisait dos et préparait le reste du repas. La matriarche avait beaucoup changé par depuis ces deux dernières années, maintenant, elle était complétement dévoué à son rôle de mère, elle était là quand elle avait besoin de parler, pour lui préparer de bon repas et lui refaire des vêtements, pourtant cette même femme avait du mal à regarder sa fille adoré, voir cette enfant être obliger de porter un masque avec un vêtement la couvrant entièrement pour ne pas subir le regard mauvais des passant, tout cela lui rappelait que toutes ces meurtrissures sur son corps était en partie de sa faute.

Dès qu'elle eut finit son petit-déjeuner, elle dit au revoir à sa mère et quittât sa petite maison, depuis quelques mois déjà, elle avait intégré l'académie ninja mais elle continuer de s'entrainer à coté pour devenir la plus puissante kunoichi de Suna, mais aujourd'hui n'allait pas être une journée comme les autres, même si la petite Shihana le ne savait pas encore. Pendant qu'elle malaxait son chakra dans le vide afin d'en améliorer sa manipulation, elle aperçut du coin de l’œil que le sable commençât à l'entourait et à danser autour de son corps, un peu effrayé, sa concentration fut perturber et elle stoppa son flux de chakra, le sable retombât alors au sol aussi inerte qu'il l'était précédemment. Après quelques tentatives du même genre, elle comprit qu'elle pouvait contrôler le sable, donc qu'elle avait un kekkei genkai, la scarifier avait donc une arme que les autres n’avait pas, avec un sourire quasi sadique, elle jubilât à cette idée, de victime, elle venait de passer à bourreau potentiel.

C'est dingue comme une simple année puisse changer une personne, pourtant, ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan, ce n'est rien de plus douze moins, environ quarante-huit semaines voir trois-cents soixante cinq jours, et pourtant, ce très court laps de temps, a suffit à changer une simple aspirante ninja en guerrière. Mais n'allez pas croire que c'était un miracle, qu'une lumière divine à percer le ciel et qu'une voix désincarné s'est mise à parler à Shihana avant de lui octroyer force et courage, non, cette métamorphose n'était dû qu'à une chose, un travail dur et acharné. C'est vrai, la petite Kaeldras ne se laisser que de courtes pauses entre ces entrainements, la plupart du temps, elle le faisait seule au milieu d'un terrain d'entrainement obscurci par la nuit, avec pour seule compagne les étoiles et l'astre lunaire, ces instruments n'étaient pas là pour s'amuser, les armes qu'elle utilisait à s'user tellement vite à cause de leur utilisation intense qu'elle devait en changer régulièrement. Les semaines passaient, puis ce fut au tour des mois, mais un jour, la mère de Shihana décida qu'il était temps de révéler pourquoi sa tendre fille avait la capacité se soumette le sable à sa volonté. Un jour où elle était en train de dévorer roulement le petit-déjeuner que sa génitrice lui avait préparé, celle-ci habillé de son habituel tablier bleu marine s'assit en face de Shihana et la regarda droite dans les orbites de son masque, cette action fut suffisamment choquante pour l'enfant pour lui couper l'appétit, sa mère n'avait pas osé la regarder dans les yeux depuis maintenant plus de trois ans. L'ainé du duo, prit les mains gantées de sa fille dans les siennes, puis avec toute la tendresse qu'elle puisse rassembler, elle prit la parole:

-ma fille, je dois te parler de quelque chose d'assez important, attendait le bon moment pour te l'annoncer, je volais que tu sois suffisamment mature pour comprendre la situation et les mots que je vais te dire maintenant.

-je t'écoute mère, pour que tu daignes me parler dans les yeux, cela doit être important.

-*regard triste et coupable* oui Shihana, je sais que j'ai été une mauvaise mère et je ne peux t'en vouloir de me détester, mais voila ce que je voulais te dire. Je ne suis pas une simple civile comme le penser ton père quand il m'a épousé, en réalité, je suis issue d'une lignée de shinobis qui possédaient un kekkei Genkai, le nom de ce clan et Kaeldras, pour finir ton père lui avait une capacité héréditaire que lui octroyer une espérance de vie plus longue que la moyenne. Et toi mon enfant, tu as hérité de ces deux traits.

-hmmm, je vois maintenant d'où me vient cette capacité, mais je suis surpris que mon fumier de géniteur m'est daigné offrir une chose utilise dans sa vie. Mère, je te suis reconnaissante de m'avoir dit cela, mais je m'en doutais déjà, mais puisque tu as fait l'effort de me le dire, je vais aussi faire un effort et tenter de ne plus te détester, je te le promets.

Avec une attitude froide, elle enlaçât sa mère, le visage de celle-ci se décrispât pour finir finalement en larmes, qui sait, c'était le début d'une nouvelle relation.

Quinze ans, cela faisait maintenant quinze ans que Shihana avait vu le jour et cinq ans maintenant que Shihana avait enfin une vie à peu près paisible, pourtant chaque nuit, quand la lune se montrait et
enveloppait les habitants de Suna dans un voile étoilé pour les bercer dans leur sommeil, les songes de la fleur de sang étaient sombres, cruels et ténébreux, telle une forêt de cauchemar dont la fin aurait
été oublié. L'adolescente se retrouvait au même endroit chaque nuit, elle était au centre d'une grande salle noire remplie de masques japonais, certains étaient la représentation d'un hannya, d'autres encore
représentait un renard, un chien ou un oiseau, dès qu'elle commençait à bouger, les masques la suivaient de leurs yeux lumineux, comme des animaux affamés ou des regards moqueurs d'une foule de villageois qui prenait plaisir au malheur des autres. Après qu'elle eut traversés la foule de regards insistants, elle arriva devant un miroir brisé d'une taille colossal, le plus inquiétant était l'absence totale de
reflet, rien n'apparaissait, ni Shihana, ni les masques qui continué d'observer silencieusement la scène, puis insidieusement, une ombre fluette prirent doucement forme devant l'enfant, pour finalement prendre la forme d'un homme d'une trentaine d'années, il avait une barbe e quelques jours, le regard mauvais et était vêtue d'un kimono sale et usage, cet homme abject, n'était rien de plus que le père de là
petite Kaeldras, bien que son visage était complètement lisse et vierge:

-alors sale petite truie, tu ne sembles pas contente de me revoir, je suis pourtant ton père, en tant que tel, en tant qu'homme, ta seule valeur était de me servir de défouloir, tu n'es bonne à rien d'autre
de toute façon!

-la ferme sale porc, mais bon sang ferme là! Tu n'es qu'un, qu'un sale...

Mais sa phrase fut perdue en même temps que son réveil, elle entendit dehors les cris d'une jeune fille, grâce à un rapide coup d'oeil par la fenêtre, elle vit une adolescente se faire agresser par trois villageois apparemment bien éméchés, après avoir rapidement mis son masque et son long manteau, elle allat à la rescousse de l'infortuné, les images de son viol, de son long calvaire la hantait, jamais elle ne laissera une femme subir les mêmes sévices. avant même que les agresseurs ne savent ce qui se passait, tout était à terre, le visage crispé par la douleur, ils avaient un kunai pile dans l'entre-jambe, une zone pour le moins sensible, quand elle se tourna vers la personne qu'elle avait sauvée, elle entendit:

-oh merci jeune homme, je ne sais ce qui se serait passé si vous n'étiez pas là.

-hum, ce n'est rien mademoiselle, que diriez vous que vous m’accordiez un rendez-vous pour me récompenser?

-pourquoi pas, je vous dois bien ça, après ce que vous avez fait.

Cette dernière phrase avait été dites pour imiter un garçon, mais la manieuse de sable ne pouvait nier que cette jeune fille l'attirait, c'est alors qu'elle comprit, les hommes n'étaient que des animaux, il valait mieux être loin d'eux, mais les femmes étaient différentes, avec elles, elle se sentait bien, rassuré et non jugé.

Génin, c'était le plus bas de l'échelle des ninjas, la plupart de ceux qui était de cette catégorie avaient rarement plus de quinze ans, alors quand Shihane Kaeldras obtint enfin son hitai-ate de Suna à l'âge de dix-huit ans, elle faisait relativement tache dans la cohue de marmots qui se faisait féliciter par leu parent, ce spectacle était plutôt lamentable de son point de vue, ils étaient heureux d'être de futur assassin, voleuse et autre ignominie du même gabarit, ninja était loin d'être aussi merveilleux qu'ils le croyaient. Si la fleur de sang avait choisi la voie du shinobi, c'était avant tout parce qu'elle avait été charmé par les promesses de pouvoir, avec cette force, elle pourrait enfin se défendre par elle-même, plus jamais elle n'aurait à dépendre de quelqu'un et plus jamais elle ne saurait une pauvre victime sans défense. Le temps passait mais Shihane n'avait été affecté à aucune équipe, et donc par extension elle n'avait effectué aucune mission, pas même une petite de rang D, mais pendant qu'elle était dans cette réflexion, elle vit alors une annoncée écrite sur les présentoirs du village, quand elle s’approchât pour lire, elle fut pour le moins choquée, il était écrit qu'Hiroe Kaeldras, nouveau kazekage recherché tout membre potentiel d'un clan, et qu'il voulait voir tous ceux qui pouvaient l'être, sans hésité, elle se dirigeât vers le bureau du maitre du village.

Le trajet était plutôt tranquille, les seules nuisances dont elle pouvait se plaindre étaient les murmures incessants de ces péquenots de villageois, comme quoi le nouveau de kage de Suna était un ancien criminel, qu'il avait été battue par le shodai kazekage, franchement même si c'était vrai, ce n'était pas très important, le plus important était si oui ou non, il était digne de diriger le village maintenant, le passé n'est pas à prendre en compte, enfin c'était le point de vue de la petite Kaeldras. Cependant, elle ne s'attendait pas à cela, elle qui croyait voir un vieux à l'air respectable, elle se trouvât devant un homme des environs la trentaine avec une cicatrice sur le visage, bref une vraie tête de mafieux, mais ce qu'elle ne savait pas encore, c'est que ce sale mafieux qui est en plus en homme allait lui donner ce qui lui faisait défaut depuis sa naissance, une famille, du pouvoir et de la reconnaissance.

C'était incroyable, le nidaime était un type incroyable, il se dégageait de lui une confiance absolue, comme s'il pouvait prendre à lui tout seul les villages ninjas et gagné, je ne sois stupide, je savais que ce ne fût pas possible mais quand même, ce Hiroe Kaeldras était quelqu'un d'intéressant, enfin pour un homme, après que je me sois présenté comme une potentiel Kaeldras, il me demandât de nombreuses choses, comme le nom de ma mère, d’où je venais, ce genre de choses habituelles quoi, bref, il soit prudent et ne voulait pas prendre de lavettes sous son aile, chose compréhensive quand on connaît le nombre de parasites qui vivait dans Suna. Il m'a fallu attendre un bon moment, pas loin d'une demi-heure avant que je me fasse ausculté par un médecin, il me prit une petite quantité de sang pour voir si je n'étais pas malade selon lui, vérifiât l’affinité de mon chakra, quand elle vit que je ne mentais pas, il sourit et dit de me rendre à une adresse, il ne voulait rien me dire, disant que c'était une surprise, merde! J'avais envie de l'enfoncer dans le mur, ce gros débile! Son satané sourire me donnait des frissons pas sain, enfin bon, vu que je n'avais rien de mieux à faire, je me diriger vers l'adresse, quand j'ai vu où mes m'ai mené, j'ai été assez surpris, c'étaient les demeures des Kaeldras, il y avait une immense baraque avec des terres de sable autour, c'était impressionnant, pour moi, vu que j'ai toujours vécu dans trois pièce toute pourrie.

Quand je tapasse à la porte, je fus accueilli par une servante qui me demandait ce que je faisais ici, quand je lui ai montré le papelard que le docteur m'avait donné, elle fut un moment surprise avant de me sourire sincèrement et de me faire entrer avec un grand respect, comme si j'étais sa maitresse, je ne comprenais pas vraiment, mais c'était agréable d’avoir un regard autre que de la suspicion sur soi, me voilà donc dans l’une des plus grosses demeure de Suna, entouré d'un des plus anciens clans du village, autant dire que j'en ramenais pas large, mais ma surprise n'allait pas s’arrêtait là, même si pour l'instant, je n'en savais absolument rien. Après que l'on met mis dans une sorte de pièce joliment décorée, on m’amenât une tasse de thé en m'appelant Kaeldras-sama, ben ça c'était du lourd, ma mère ne m'avait raconté des histoires, mais pourtant, je n'étais pas né avec eux, donc pourquoi me respecter? Peut-être que le bonhomme qui fit coulissait le port pourrait me répondre.

Je me réveillai dans mon futon, le soleil qui traversait les vitres de ma fenêtre avait trouvé amusant de m’éblouir, *long soupir*, en temps normal, je serais aussi furieuse que Godzilla avec la gueule de bois, mais bizarrement, je m'en fichais ce matin, je regardais mon réveil, sept heures trente, déjà? Bon, pour une fois que je fais la grasse matinée, on ne va pas me le reprocher, surtout, que ce futon était merveilleux, je ne sais pas vraiment avec quel matériau il avait été tissé, mais bon sang, j'avais l'impression de flotter sur un nuage de coton, je savais que les Kaeldras étaient riches, mais à ce point, et tout ça, grâce au nidaime-sama.

Quelques jours en arrière.

Quand la porte coulissante s'ouvrit, je vis deux personnes âgées entrées, ils étaient habillé de kimonos couleur sable, avec un hobi couleur sang, ces vêtements avaient l'air très coûteux, je souvent avoir pensé que si j’avais pu les foutres à poil et les revendre, j’aurais pu vivre tranquille pendant un bon moment, mais c'était assez malhonnête de penser comme ça alors qui ont été si accueillants avec moi, j'avais beau être pauvre, je n'étais sans éducation pour autant, quand ma mère va voir ça, elle ne va pas en revenir! Après les avoir salués avec le plus de politesse que je pouvais rassembler, ils retournèrent mes voeux et s'assirent en face de moi, vu leurs vêtements, ils devaient être important les vioques, je me demandais bien ce qu'ils voulaient à une pauvre gamine comme, après un moment, ils furent à leur tour servi, après que le vieil homme ait une gorgé du liquide brulant, il me regardât et dit d'une voix calme et douce:

-bonjour mon enfant, je me nomme Mayu Kaeldras, je suis le plus vieux membre masculin du clan à l'heure actuelle, et voici ma femme, Terumi, vous devez vous demander ce que nous vous voulons n'est ce pas? Et bien pour être direct, le médecin qui vous a ausculté était un membre de notre clan, sous ordre du nidaime, il devait rediriger toute personne qui réussies le test ici, pour l'instant, vous êtes la première à venir.

Je fus inquiète, ces gens savaient que j’étais, une femme, que voulaient-ils de moi, me faire chanter ? Ce foutre de moi ? J'allais les menacer de les envoyer dormir sous terre avant l'heure quand la femme prit la parole:

-ne vous inquiétez pas, jeune fille, nous ne voulons pas vous nuire, au contraire, vous voyez, les Kaeldras se font de plus en plus rare, pour les choses durement, notre clan s'éteint, voila pourquoi nous voulons vous proposer, à vous et votre parent porteur du gène, une place officielle dans notre clan, vous aurez alors une vraie famille, qui saura vous écouter et vous considérez à votre juste place.

Je n’osais y croire, j'allais avoir une vraie famille, des gens qui seront là pour moi en cas de coup dur, je sentais les larmes monter puis s'écouler sur mon visage, les perles humides finirent par passer sous mon masque, j'allais accepter et plutôt deux fois qu'une!

retour dans à l'époque actuel.

Quelques heures plus tard, nous avons été installé dans l'immense demeure de ma nouvelle famille, ma mère et moi, pour la première fois de ma vie, je me sentais enfin sereine.