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 La cruauté...

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Asahi Denki

Asahi Denki

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MessageSujet: La cruauté...   La cruauté... EmptyDim 7 Aoû - 15:46

Description : Bien que le conseil fait en sorte d'amplifier les liens entre ninja, le Kazekage souhaite lui augmenter la cruauté. La mort est une chose banale dans la vie d'un ninja et il faut l'apprendre aux Genin. Votre mission est d’exécuter un homme condamné à mort, ses crimes ? Ils ne seront pas révélés..
Lieu : Désert du village

Je ne savais pas si la mission d'hier leur avait rentrer du plomb dans la tête, je n'avais pas pris le temps de leur parler ni même de leur dire aurvoir, j'étais triste. Notre team ressemblait tellement à mon ancienne team, j'avais tellement peur qu'il y ai une trahison dans notre équipe. Je ne voulais pas que l'un deux devienne un traitre ou un mort... Il fallait qu'ils restent sur le bon chemin sinon, je serais obligé de sévir. La mission d'aujourd'hui allait faire apprendre à Misa et Manzu ce qu'était la cruauté humaine, ce qu'était la mort et le sort que l'on donnait au traitre. Ce n'était pas moi qui avait eu l'idée de ce genre de mission, c'était Hiroe, il avait décidé de faire ça pour faire mieux comprendre aux ninjas de Suna le sort que l'on réservait aux prisonniers. La journée après notre deuxième mission avait été longue, très longue. J'étais resté toute la journée chez moi essayant de penser au bon vieux temps, lorsque j'étais encore un gamin, ou je n'avais à me soucier de rien. Ou la mort de mon père et de mon meilleur ami avaient été les plus grands drame de ma courte vie. J'avais pris du temps pour préparé cette mission, j'avais demandé aux gardes de ne pas être présent lors de la mission, j'avais aussi demandé d'être seul avec mes élèves parmi les prisonniers. Je voulais leur montrer. J'étais arrivé très tôt le matin, j'avais choisis moi même la lame qui allait servir à la mort du prisonnier. Je l'avais longuement regardé, la lame devait être pure et stable.... Alors que mes élèves arrivaient j'avais décide de ne rien leur dire à propos de la mission, la mort ne nous laissait pas nous préparer!
" Bonjour... Aujourd'hui, nous allons aussi faire une mission spéciale, vous ne connaissez pas la mort, vous ne savez pas ce que c'est de voir les autres souffrir sans pouvoir rien faire... Tout ça... C'est à cause de la haine, la haine est une bête minuscule qui vous bouffe de l'intérieur, qui vous enlève l'envie de vivre! Ceux ayant la haine serait prêt à tuer leur mère juste pour réaliser leur vengeance! Aujourd'hui, je vais vous montrer les conséquences de la haine!"

J'allais dans l'aile la plus dangereuse de toute la prison, c'était une sorte de carré, il y avait à l'intérieur quatre cellules, une pour chacun de mes élèves.. J'avais pris par conviction les criminels ayant fait les pires crimes. Je voulais montrer à mes élèves ce que faisait d'être un criminel, la mort serait leur seule liberté!

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Gaikotsu Nanami

Gaikotsu Nanami

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MessageSujet: Re: La cruauté...   La cruauté... EmptyDim 7 Aoû - 20:14

Lorsque le kazekage avait décidé de nous envoyer à la prison du village, je m'étais imaginée surveiller les cellules le temps d'une journée, ou encourager les prisonniers aux travaux forcés. Les deux pieds dans le carré avec entrée placée sous haute surveillance, je compris que nous allions assister à une exécution. Je restais assez silencieuse, ce n'était pas rien de tuer un homme, peu importe ses actes... Enfin, le kage prit la parole, mais j'étais ailleurs, je ne comprenais pas vraiment ce qu'il entendait. La haine, ce que ça évoquait pour moi? Si peu de choses à vrai dire... Je n'avais aucune raison de détester qui que ce soit, et encore moins au point d'en décider la mort. Il fallait du cran pour tuer un homme, ça c'était sûre. Et comment s'épargner des regrets? Etait-ce même possible? Je me crispais. Je devinais que cette journée me marquerait, qu'on tuerait un homme à peine jugé. Les autorités ne se posaient pas trop de questions, et un homme se trouvant au mauvais endroit au mauvais moment pouvait se retrouver accusé des pires crimes. Je restais solennelle et attendais une nouvelle annonce du kage, ce n'était pas l'heure de courir dans tous les sens et de dire des idioties...

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Itami Josho

Itami Josho

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MessageSujet: Re: La cruauté...   La cruauté... EmptyLun 8 Aoû - 14:14

Ce que j'avais fait ce jour n'était pas vraiment digne d'un ninja de Suna, juste à cause de ma stupide peur, j'avais purement et simplement séché une mission, je ne sais même plus quel était l'objectif ni même son rang (surement un de niveau D, vu que je suis une genin), tout ce dont je me souviens était le lieu de ladite mission, le cimetière du village, dès que j'ai lu l'ordre, je me suis figée sur place, mes yeux s'étaient creusé de peur, non pas que les morts m'effrayer, c'était plutôt qu'elle m'indifférer complètement, mais c'était le lieu ou avait été enterré mon bienfaiteur et ancien kazekagé, Hiroe Keldras. Je n’osais plus aller au mausolée en son honneur, plus par honte que par peur, je n’osais pas le regarder en face, pour la bonne et simple raison que je me suis mise à douter de lui, les paroles que le sandaimé avait proféré le jour de sa mise au pouvoir me taraudait l'esprit, je n’arrêtais pas de retourner ça dans ma tête dans tous les sens, ça me dépassait, toutes ces paroles avaient du sens, elle répondait à chaque interrogation qui concernait Kaeldras-sama, pourquoi il avait pris le pouvoir, pourquoi il avait fait fuir le daimyo du pays du vent (qui au passage, n'était pas une très grosse perte, cette andouille ventripotente), et surtout, pourquoi sa haine envers les Tanaka était si forte, bon tout les Kaeldras ou presque détestait les maitres du Kinton, mais le ressentiment d'Hiroe à leur encontre atteignait des niveaux inégalés. J'étais sur mon futon, dans ma chambre qui se trouvait dans l'aile est du manoir, l'aile réservé aux shinobis actifs, et je me repasser en boucle ce moment, je me vois arriver devant l'entrée du cimeterre, entré la peur au ventre, regardé à travers les verres de mon masque mon sensei et Kazekage, l'entendre dire son petit discours, puis dès qu'il n'était dans mon champs de vision, tourné les talons et partir comme si de rien n'était, franchement, ce n'était pas digne d'une Kaeldras, bordel! Je ne suis pas une lâche, ouais,je vais me lever, laisser les servantes coiffées mes tresses, me sortir de mon yukata couleur sable, mettre mes habits et mon masque puis aller à ma prochaine mission, vous allez voir un peu de quel sable je me chauffe!

Encore une mission de rang D, mais vu comment j'avais accompli la dernière, j’étaie mal placé pour critiquer les choix de mon sensei, aussi naïf soit il, il disait sans cesse que les ninjas ne sont pas des machines mais des humains avec un cœur et des émotions,très joli discours, franchement, il avait la conviction, les gestes, tout était au poil, mais ces mots sonnait creux pour moi, si je n'avait pas fermé les portes de mon esprits aux émotions pendant que j’étaie enfant, je serait devenue folle depuis bien longtemps, et on m'aurait trouvé dans la rue avec une hache dans la main et j’aurai zigouiller tout ce qui tombait près de ma lame. Quoi qu'il en soit, cette mission serait beaucoup plus intéressante que de livrer de l'eau à des péquenots qui ne disait même pas merci, le kazekage ne voulait rien nous dire, mais plusieurs détail m'indiquait à peu près ce qu'il avait prévue pour nous, déjà on se diriger vers la prison, pas un lieu de villégiature à mon avis, puis il n'était accompagné de gardes, choses troublante pour un dirigent de village, enfin les quelques gardes qui faisaient leur rondes nous lancer des regards compatissants, comme si on devait tuer quelqu'un ou un truc dans le genre, bref on était là pour apprendre à se salir les mains, c'était une des idées de Kaeldras-sama, au moins, son successeur et meurtrier était asse intelligent pour ne pas enlever cette mission:

-Bonjour... Aujourd'hui, nous allons aussi faire une mission spéciale, vous ne connaissez pas la mort, vous ne savez pas ce que c'est de voir les autres souffrir sans pouvoir rien faire... Tout ça... C'est à cause de la haine, la haine est une bête minuscule qui vous bouffe de l'intérieur, qui vous enlève l'envie de vivre! Ceux ayant la haine serait prêt à tuer leur mère juste pour réaliser leur vengeance! Aujourd'hui, je vais vous montrer les conséquences de la haine!

Ce type ne comprenait vraiment rien, la haine, un shinobi se baigne dedans pendant toute sa vie, on est haïe quand on prend une vie, quand on vole quelque chose de précieux ou quand on trompe quelqu'un, puis on hait à son tour, quand un adversaire tue un de vos amis, vous trompe à son tour où vous vole lui aussi, au lieu de la fuir, le plus prudent était de l'accepter, voire de s'en servir, c'était plus sur pour garder uns semblant de santé mentale dans cette vie de dingue. La bleu qui nous accompagnait, Manzu je crois qu'elle s’appelait, semblait fébrile, au moins, quand se sera fini, je pourrais commencer à lui parlait, car elle sera enfin une vraie Kunoichi, elle avait l'air plutôt futée car elle semblait comprendre ce qu'on était venue faire ici, la chimère par contre, était illisible, avec sa tête de rongeur, ce n'était pas facile de deviner ce qu'elle ressentait. Après un chemin interminable, on arrivât dans l'aile la plus dangereuse du pénitencier, moi et mes coéquipiers on ne savait pas ce dont notre future victime était inculpé, mais vus l'endroit, je doute qu'il ait était pris en train de voler une orange à un marchand du coin, bref, avant que Taruko ne lance encore un débat existentiel interminable, je m’avança vers l'entrée de la première cellule et dis de ma voix déformée mais avec un étrange mélange de neutralité et de joie:

-bon, je passe en premier, je suppose qu'il n'y a pas d'objection, non? Bon alors au boulot, plus vite on finit, plus vite on sort, j'ai sauté le petit-déjeuner et je meurs de faim, quand vous aurez fini les filles et vous sensei-sama, je vous invite tous manger des dangos et boire un bon thé, histoire de fêter votre première fois! Garder votre canif, sensei-sama, j'ai tout ce dont j'ai besoin sur moi *tapote, la jarre de sable dans son dos*

J'étais de bonne humeur tout à coup, à cause de ma bipolarité, j’avais tendance à changer d'humeur de façon soudaine, autant en profiter alors, de plus, j’étaie contente parce que enfin dans quelques minutes, j’allai avoir de vrais coéquipiers, des guerriers, des vraies! Quand j’entrai, dans la pièce, une forte odeur d'urine me prit au nez, ils avaient des toilettes dans les cellules, ça devait vouloir dire qu'il s'était fait dessus ce gros dégueulasse! j’avais déjà vu ça sur le champ de bataille, les génins inexpérimentés avaient tellement peur qu'ils se pisser dessus en plein combat, ceux-là, je les tuaient au kunais, pas envie que mon sable sente le bouc fermenté. Quel ne fut pas surprise quand je vis que ce n'était pas un homme, mais une femme, et une très belle en plus, elle devait avoir vingt ans tout au plus, et elle un corps de succube, quel gâchis, abimer une si jolie fille, elle était musclé et bien galbé, elle était sans doute une ninja, avant que je ne commence ma besogne, elle approchât de moi les yeux pleins de larmes:

-je vous en supplie, je n'avais pas le choix, je devais donner ces informations, la vie de mon fiancé était en jeu, je veux pas mourir! J'ai ma fille qui attend sa mère!

Kami, que de bruit! Qu'elle était bruyante! On devait l'entendre depuis l'extérieur de la cellule voir de la prison, je répondis avec une voix aussi froide que le néant, vide de toutes émotions:

- je suis très heureux d'apprendre que vous avez un enfant, sur ce...

Le sable dans ma jarre commençât à faire son chemin jusqu'à elle puis à l'étreindre doucement, pour finir par l'envelopper entièrement, puis soudain, je fermât ma main tendue vers le cocon de sable, on entendit un bruit d'implosion, puis d'immenses gerbes de sang fusassent dans tous les sens, les murs, mon manteau et mon masque furent maculés du liquide rouge qui suintait à travers le cocon de sable, une immense marre d’hémoglobine se rependait sur le sol, atteignant l'entrée de la cellule, quand je sortis, on entendait mes bruits de pas qui marchaient dans la flaque de liquide. Je crus voir des expressions de dégout et d'horreur sur le visage de mes équipiers, quoi? C'était à cause du sang? C'est vrai que je devais ressemblait à un tueur fou sorti d'un film d’horreur avec tout ce sang sur mes vêtements, mais on avait jamais précisé que la mise à mort devait être propre, après avoir essuyé mes sandales sur le mur, laissant des marques carmin, je me tournis et dis calmement, comme si je venait d'écraser un cafard:

-Bon, c'est qui la ou le suivant?

J'avais l'impression que mon sensei me regardait d'un drôle d'air, peut-être pensait-il que j’étaie un monstre, que la guerre m'avait transformé, il avait tort, j'étaie comme ça depuis bien plus longtemps, depuis qu'un certain adulte s'amuse à me charcuter et à me violer quand je n'étaie qu'une gosse!

Spoiler:

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Misa Izumi

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MessageSujet: Re: La cruauté...   La cruauté... EmptyMar 9 Aoû - 20:39

La cruauté humaine, aujourd’hui, une mission pour la team G-1, celle d’exécuter un criminel condamné à mort. Le kazekage voulait leur montrer la cruauté humaine à travers cette mission. Quelle blague. Misa la connait très bien, abandonné, maltraitée et ayant servi de jouet à un scientifique fou qui l’avait transformé en créature bizarre qui fait peur aux gens. La cruauté, elle ne la connait pas seulement, elle l’a vécu. Le criminel qui devait être exécuté n’était pas connu, et on refusait de leur dire de quels crimes il était responsable. Très tôt le matin les trois élèves s’étaient rendu à la prison ou aura lieu l’exécution et comme à son habitude, le sensei était déjà arrivé et les attendait. Cette fois ci Misa arriva la dernière. Une fois tout le team réuni, Taruko leur expliqua comme d’habitude, ce qu’ils devaient faire et pourquoi avoir choisis cette mission. La haine ? Un sentiment ? Une autre chose inconnu pour Misa, ou plutôt qu’elle ne comprend pas l’utilité ou la signification, si elle en avait une. La haine est un peu comme un monstre à l’intérieur de chaque être humain, soit il vous guide, soit vous l’ignorez.

L’exécution devait bientôt avoir lieu. Misa n’était pas vraiment pressé, contrairement à


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Asahi Denki

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MessageSujet: Re: La cruauté...   La cruauté... EmptyMar 9 Aoû - 21:10

Ils étaient tous là, c'était tellement triste, ils allaient apprendre de leur propre main ce qu'était la mort... C'était des gens tout à fait normaux qu'ils allaient tué, ils avaient juste été jugé avant que je sois Kazekage, le moindre crime était puni avant. L'on ne pouvait rien faire contre la justice... Shihana avait décidé de venir, je m'en foutais, il était là? Tant mieux pour lui, la meilleure façon de faire comprendre la vie à quelqu'un lorsqu'il faisait des conneries était surement de l'ignorer. Il s'amusait à m'énerver, il voulait me faire rager, il voulait tester mes nerfs! Il prenait la mort comme si ce n'était rien, comme si ce n'était qu'une simple étape dans la vie! J'avais envie de le claquer dans le mur tellement il m'énervait! Il se foutait de tout, la seule chose qui comptait pour lui était le sang, ce gamin avait été violé dans son enfance ou il était juste en pleine crise d'adolescence? Cette femme avait un enfant et elle n'essayait même pas de preuve de compassion? Il n'était qu'un monstre! Néanmoins, je ne pouvais rien faire, j'avais fait en sorte que la personne qui était chargé de la personne ne puisse sortir avant que la personne soit mort. Que j'avais été con sur ce coup là! La scène qui se déroulait devant mes yeux était horrible, Shihana tuait sans une once de pitié la pauvre femme, je l'entendais crie, pleurer et gemir... Le sable l’étreignait comme lorsque l'on serre de toute nos forces un ballon remplis d'eau! Il ne restait de la femme qu'un amas de chair sanguinolent, la cellule n'était plus que rouge, toute la cellule puait le sang. Mes élèves avaient l'air terrifié, elle faisait comme si elle avait juste écraser un insecte! Il sortait d'un air fier de sa cellule, je m'approchais de lui et je donnais une énorme claque, je ne souriais pas, cela faisait longtemps que je n'avais pas été comme ça!
"PETIT IDIOT! LA MORT N'EST PAS UNE SALE BESOGNE! TU TE PRENDS POUR QUI A PRENDRE TON PIED EN TUANT QUELQU'UN?!! Tu mériterais le même sort qu'eux!! Tu ne l'as même pas écouté!!! Même moi quand j'ai tué ton enfoiré de maitre, je l'ai écouté!! Toi tu prend la personne que tu as tué comme un chien! Ton maitre, Hiroe, cet enfoiré qui prenait le village comme des esclaves, je l'ai néanmoins tué dans l'honneur! Je l'ai laissé aller au cimetière moi! TU ES COMME LUI SALE PETIT IDIOT!!! Dégage, tu ne reviendra pas tant que tu n'auras pas fait tes excuses à la famille du défunt! Si tu ne le fais pas avant demain, je te montrerais ce qu'est d'être un ninja! DANS UN COMBAT UN CONTRE UN!"

Des perles de sueurs coulaient le long de mon front, mon souffle était lourd et cadencée, j'étais tellement énervé! Je regardais mes élèves, je ne savais que dire, je m'asseyais sur une chaise et j'essayais de reprendre mon calme, je soufflais doucement, j'essayais d'oublier l'énervement que j'avais... Je ne savais pas ce que j'allais faire avec! Peu à peu je recommençais à être calme, néanmoins la chose qu'on du voire Manzu et Misa était assez éprouvante, ce n'était pas la peine qu'ils tuent encore... Ils étaient assez choqué pour moi...:
"Désolé pour ce que je vous ai montré... je m'excuse, mais la mort n'est pas comme elle a montré! La mort doit se faire dans la pitié de l'être qui est en train de mourir! Je m'excuse de la baffe que je lui ai mise, mais c'en était trop, un ninja doit être amicaux avec les autres et non vouloir ne voir que le sang couler! Je considère que la mission d'aujourd'hui est terminé... vous direz à Shihana que vous avez tué... enfin... désolé..."

Je les regardais, je me mordais la lèvre, est-ce que j'avais été trop dur? Je regardais mes élèves et esquissait un sourire tout en signalant au gardes que trois prisonniers avaient eu la vie sauve. Est-ce que j'étais un bon sensei?

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