Une nuit noir régnait sur les Plaines de la Foudres. C'était une nuit sans lune. Une nuit sans vent. Une nuit sans Nuage. On ne distinguait que de minuscule point argenté dans le ciel qui, malheureusement, n'éclairait pas assez le ciel. Ainsi, les Plaines de Kumo étaient plongée dans un noir quasi total. Seul quelques insectes luminescent permettait de s’orienter. Seulement, le couple qui marchait dans les plaines de Kumo n'avaient aucun besoin de se repéré. En effet, outre le fait qu'il connaissait les plaines comme leurs poches, l'un des deux possédaient un don particulier. Un don que peut de gens sur cette Terre possédait. En effet, la jeune femme, car il s'agissait d'elle, possédait une Vision Nyctalope. ce qui lui permettait de voir. Même dans l'obscurité la plus total. Et, en cette nuit sans lune, son Don lui était particulièrement utile. Ainsi, elle guidai son aimé vers la destination qu'elle avait choisie afin qu'ils passent une merveilleuse nuit.

Elle venait donc d'entrée, avec l'homme qu'elle aimait, dans la partie de la nuit qui leurs assurait de passé un moment un moment inoubliable. Un moment magique. Tous deux avaient prévu tout ce qu'il fallait pour que rien n'y personne ne puisse s’apercevoir de ce qu'il faisait. Car, oui, c'est deux amants n'avait rien d'un amour légitime. Tout deux avaient été promis à une autre personnage censé l'aimé comme jamais ils ne l'avaient été au par avant. Seulement, ce que toutes les familles ignorait c'était que les deux amants s'aimait & se retrouvaient en cachette. Bien entendu, ils faisaient tout pour ne pas le montré. Exécrable l'un envers l'autre le jour mais tendre envers son aimé la nuit. Et, cette couverture, et parfois même ce double jeu, leurs avait permis d'éviter bon nombre de mésaventure. Et, aujourd'hui encore, tout marchait bien. Seulement, c'était sans aucun doute la dernière fois qu'il se voyait ainsi. Car, le lendemain, la jeune femme épouserai un autre homme. Et, ce dernier était très attaché au tradition. Ainsi, il serai très difficile pour l'homme de cette nuit de la revoir de nouveau. Cette soirée était donc une soirée d'adieu.

Tout deux était allongé par terre. Ils regardaient les étoiles. Sans bruit. Soudain, la femme, plus entreprenante que jamais, se redressa et embrassa le jeune homme. C'était leurs dernière nuit et elle comptaient bien le conclure sur un grand final. Sur une note qui ne leur laisserait aucun arrière. Ou du moins aucun mauvais arrière gout. Ainsi, comprenant ce que sa partenaire essayait de faire, le jeune homme se laissa guidé. Tous deux se mirent à s’embrasser. A s’enivrer. A prendre dus plaisir dans leurs jeu. Leurs deux corps n'était qu'un. Seulement, cela ne dura pas et, dans un long soupir, tous ce termina. Comme tout avait commencer. Dans le silence...

Un terrible hurlement vint déchiré le silence immuable de la nuit. Puis, sans laissé à la pauvre femme qui venait de crier, le temps de reprendre son souffle, une nouvelle contraction vint lui arraché un nouveau cri de douleur. En sueur, la pauvre femme ne cessait d'avoir mal. A chacun de ses cris, la douleur se faisait de plus en plus plus présente, de plus en plus forte. Cependant, à sa grand damne, l'enfant qu'elle avait abrité durant près de neuf mois n'avais toujours pas décider de venir au monde. Et pourtant, elle sentait que c'était aujourd'hui qu'elle allait être mère. Elle sentait, au plus profond d'elle même, que c'était aujourd'hui où le fruit d'un Amour défendu verrait la lumière du jour pour la première fois. Elle sentait également que, enfin, son calvaire serai terminé. En effet, durant sa grossesse, l'homme qu'elle avait épousé n'avait pas arrêter de la questionné sur cette grossesse. Mais, heureusement pour la jeune femme, son amant et son mari se ressemblait énormément du point de vue Physique. Et, cela permettrait à cette enfant qui allait naitre de ne pas être rejeté par le père. Et, cela permettrait à la mère de dissimulé son adultère aux yeux de tous.

Soudain, dans un ultime cri de douleur, la jeune femme réussit enfin à faire sortir, entièrement, le bébé. Elle était enfin libéré de ce fardeau. Elle pouvait enfin se reposé, mais avant cela, elle voulait absolument voir le petit être qui l'avait tans fait souffrir. Ainsi, implorant les personnes qui lui tournaient autour, la jeune femme reçut son enfant. On lui apporta son bébé à côté d'elle afin qu'elle ne le touche pas. Et pour cause, ce petit être étant encore tout ensanglanté. Mais, pour la jeune maman, même ainsi recouvert de Sang et de Placenta, cette petit bout d'homme était la plus belle chose sur cette terre. Après tout, il était le fruit d'un amour. D'un vértable amour. Et, d'un amour défendu qui plus est...

J'étais né d'une union d'amour. Cependant, celui qui était mon géniteur n'était pas mon père. En effet, celui que j’appelais "papa" n'étais celui que ma mère avait aimé lors de ma création. Celui qui était mon père était en réalité un homme que ma mère avait fréquenté durant ses jeunes années. Un homme jamais je n'ai rencontré. Et, heureusement. En effet, ma mère me répétais sans arrêt que je ressemblait trait pour trait à mon père lorsqu'il était jeune. Cependant, plus les années avançait et plus celui que je nommais "Père" était septique sur sa paternité. Et pour cause. Chaque jour, il demandais à mère ce qu'il avait fait au bon dieu pour avoir un enfant si peu doué pour les arts Ninjas. Et, chaque fois, mère lui répondais qu'il fallait qu'un enfant découvre sa propre voix et que, parfois, ce n'était pas celle que lui avait tracer ses parents. Et que, même si les parents était doué pour les arts ninja, l'enfant n'était pas obligatoirement fait pour cela. Cependant, plus ma mère lui répétais cette phrase et plus mon père était septique.

Ainsi, afin d'en avoir le cœur net, il m'amena dans les bois. Et me propulsa contre un arbre. Je ne compris pas tout de suite ce qu'il se passa. En effet, après avoir percuté l'arbre, mon corps se recouvra d’écorce. Puis, après quelques seconde, je ne fit plus qu'un avec l'arbre. J'avais été absorbé par l'arbre. Et, tellement j'avais été absorbé par le conifère, j'arrivais à capté ses besoins. Il était ici, planté depuis des années, à l’abri des rafales et du besoin. Il avait tout ce qu'il voulait à porté de racine. De l'eau, des minéraux et du soleil. Bref, il n'avait besoin de rien. Cependant, il se sentais seul. Et, m'avoir en lui, le réconfortais. Cependant, même si je me plaisait ici, il me fallait m'en aller car, ce n'était pas ma place. Cependant, avant de retourné vers mon père, je pris au jeune arbre que je retournerais le voir