Invité
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| Sujet: Le jumelage des jumelés. Dim 4 Sep - 20:06 | |
| Je venais toute juste de recevoir une lettre, malheureusement, elle ne contenait pas de bonnes nouvelles. D'après les dirigeants du village, je n'étais pas suffisamment actif en tant que Juunin. Effectivement, j'avais décidé d'être Juunin et ANBU, le soucis était que cela prenait bien trop de temps. De plus, si je partais en mission et qu'à chaque fois le chef ANBU devenait inactif, j'allais très rapidement être soupçonné. Donc, j'avais décidé d'offrir cette place à une autre personne lors de mes absences. Oyd ? Non, il était bien trop actif, je devais choisir une personne plus discrète. Bien évidemment, j'avais une idée en tête et j'allais de suite la concrétiser. Lentement mais sûrement je me dirigea vers la chambre de Tamaki. Je toqua à la porte et j'ouvris très brusquement la porte. Par chance, la femme était habillée et rêvassait sur son lit. Je m'approcha d'elle pour ensuite lui dire très doucement : | « Bonjour Tamaki, j'ai besoin de toi. Je t'ai parlé de ma place de chef de l'ANBU, tu es la seule à être au courant avec Oyd, ainsi je t'ai demandée d'être discrète. Mais, dorénavant, j'ai une nouvelle requête.. Tu ne le sais peut-être pas mais un Juunin se doit de réaliser des missions mensuelles ! Je vais devoir le faire et si le chef n'est plus là à ce moment, je serais soupçonné... » |
| « Donc.. Tu me demandes de prendre ta place lors de ton absence, c'est ça ? C'est pourquoi tu m'as posée le sceau de la voix.. De plus, nos tailles sont quasi-identiques. » |
| « Oui.. Voilà. Bien sûr, tu as le droit de refuser, je peux trouver une autre personne.. » |
| « Je veux me rendre utile ! J'accepte avec plaisir, mais, il serait plus prudent de ne pas prévenir Oyd.. » |
| « Oui, tu as raison. J'ai bien peur qu'il prenne mal le fait d'être contrôlé par une femme... » |
Après un bref sourire je sortis de la salle, j'avais des papiers à remplir.. Cette vie était stressante mais, c'était pour le bien du village ! J'avais sauvé le clan Uchiha et je ne voulais pas avouer mon meurtre, c'était mon fardeau.
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