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 [Kumo] Clan Katô

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Ookami Gekirin

Ookami Gekirin

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MessageSujet: [Kumo] Clan Katô   [Kumo] Clan Katô EmptyLun 5 Déc - 15:08








      Nom du Clan : Clan Katô
      Chef du Clan : Hireisei Katô
      Son Village Affilié : Kumo
      Son Affinité : Fuuton

      Capacité :c'est une force qui permet de dépasser les limites du corps humains dans tout ces aspects... Les membres du clan sont les seuls à savori de quoi il en retourne, donc le secret reste bien gardé...







    × Légende & Histoire


      Toute histoire commence par un fait et notre histoire ne fait pas exception...

      La fondation de clan, la fondation du clan… vous en avez de bonne, est ce que c’est vraiment le plus important ? Notre clan a toujours été là, quelque part, à se battre en première ligne, chair à canon, voilà ce que nous étions plus ou moins. De la chair à canon, nous étions les premiers à foncer sur l’ennemi et les derniers à se retirer du combat. Et pour cela, nous avons été depuis toujours des mercenaires très appréciés pour notre sauvagerie au combat, des légendes ont couru sur nous autrefois, comme quoi nous aimions nous baigner dans le sang de nos victimes par exemple. Je » vous rassure, il n’en est rien ! Ce sont es âneries sous l’effet de la peur inspirée par nos shinobis. Que voulez-vous de plus ? D’où vient notre force ? Hum…. Je ne sais pas si je serai autorisé à le dire donc vous découvrirez cela en temps voulu.

      Non, le véritable point intéressant remonte à il y a une vingtaine d’années. Nous nous étions cachés dans les montagnes pour reconstruire le clan suite à une saleté de guerre. Mitsuhide, mon propre père, avait perdu l’usage de ses membre suite à un violent combat et nous étions à son chevet, nous ne savions pas pour combien de temps il lui restait à vivre, c’était une question de jours, voire de mois dans le meilleur des cas…je m’en souviens car ce fut l’un des rares moments que mon frère et moi eûmes un moment en harmonie. Le soleil dansait insolemment sur le visage de père, qui dormait près de la mort, dans le chalet provisoire que nous lui avions construit. Cette fois-là, c’était moi qui brillais, à défaut de mon frère, je parlais à père, sans cesse, pour lui rappeler que des gens l’aimaient qu’ils étaient rassemblés autour de moi.

      Lassé par mes paroles incessantes, mon frère était parti, il était allé s’aérer l’esprit dehors quand il revint en courant me chercher, clamant que c’était une urgence, qu’il fallait se dépêcher.de venir. Ce que je fis, bien sur, la stupeur noyant un soupçon de panique de sa voix avait suffi pour me mettre en alerte. Beaucoup de bruit pour rien, ai-je trouvé. Il s’agissait juste d’une étrangère, qui, incroyablement, avait déjoué sans même y penser, tous les systèmes de sécurité que nous avions mis en place, et elle s’était écroulée devant le puits, à bout de force. Ma première réaction fut d’avoir envie de la tuer. On ne pénètre pas ainsi chez les gens sans conséquence. Ce fut mon frère qui me retint, il a toujours eu plus de forces que moi.

      Selon ses ordres, elle fut nourrie, logée et blanchie, et ce pendant presque une semaine. Et ce, peut être, parce qu’elle avait pris pitié de l’état de notre père, ou peut-être parce qu’elle trouvait en cela une juste rétribution, elle nous appris quelque chose de dévastateur. Il s’agissait d’une technique, qui, une fois appliquée, nous fournissait le moyen de ne plus être limités, ou du moins de pouvoir dépasser dans une certaine mesure, les limites de notre corps. Oh bien sur, cela ne fut pas sans palabres, elle était prête à nous offrir ce don et en échange, elle estimait qu’il fallait quelque chose pour compléter, car le gite et le couvert n’étaient clairement pas suffisants. Et avec le recul, je le reconnais.

      Mais mon frère a commencé dès ce moment-là à faire des bêtises, faute de voir notre père se lever pour agir il lui promit tout ce qu’elle désirait avant même de savoir ce qu’elle exigea. Et ce qu’elle obtint grâce à cela fut une partie de notre liberté. Par la faute de mon frère, nous dûmes faire serment de ne protéger qu’un seul pays, le pays de la foudre. Quel imbécile. Il nous fit perdre ce jour-là notre indépendance !

      Enfin bon, grâce à cela, notre père retrouva pendant presque un an la santé avant de décéder mystérieusement, il avait trop outrepassé les limites. Mais depuis, ce don offert par cette inconnue partie aussi vitre qu’elle était venue se transmet à tout le clan nous avons compris pourquoi une telle promesse, mais jamais pourquoi elle nous l’avait fait jurer, quels étaient ses intérêts? Nous ne l’avons jamais revu, aussi, nous ne le savons pas…

      Mémoires de Hireisei Kâto, Juusannin Taisho




      × Hiérarchie



        Taisho : simplement le grade le plus haut du clan, seul le chef peut l'obtenir

        Chùjô : grade de l'héritier du clan

        Bushigi : accordée aux membres respectables de part leurs bravoures et leurs fidélités au clan, concerne uniquement l'élite du clan

        Bushiyu : membres du clan ayant déjà fait leurs preuves au combat, ils doivent le respect et l'obéissance total au Bushigi

        Bushichùgi : jeunes shinobis ayant prété serment envers le clan, ils ont le grade le plus bas dans la hiérarchie du clan.




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