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 La descendante de Narcisse.

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Juka Kiyomizu

Juka Kiyomizu

Rang D




Féminin
Nombre de messages : 1
Date d'inscription : 17/12/2011


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MessageSujet: La descendante de Narcisse.   La descendante de Narcisse. EmptyDim 18 Déc - 17:21

LE JOUEUR : Anastassia


Votre sexe : Féminin.
Votre âge : 19
Vos hobbies : RP, ma moitié, dessin, chant, culture japonaise ( Histoire, culture, musique (Visual Kei et Enka) ) ...
Avez-vous une suggestion ? Mmmh ?
Souhaitez-vous êtes parrainé(e)* : Non.


LE PERSO : Juka Kiyomizu


Son prénom : Juka
Son nom : Kiyomizu
Son âge : 18
Votre type : Foudre
/ : Femme

Un résumé de son histoire : [Vous pouvez le faire sous forme de points importants]
Permettez-moi de vous résumer tout d’abord la naissance de son clan, les Kiyomizu, ainsi que la progression, afin de mieux pouvoir cerner le personnage.

I. Narcisse, un homme aimé, un homme haï.

- Les Kiyomizu sont des descendants direct du fameux Narcisse, un homme qui s’aimait profondément et méprisait le reste du monde, vivant à Konoha, il y a fort longtemps, lorsque le village était encore jeune. Cet homme possédait un succès irrésistible chez les femmes, craigné par la gente masculine. Il était magnifique, une perfection incarnée touchant les plus insensibles, mais avait un caractère invivable. Ce fut un homme très arrogant, hautain, méprisable. Il possédait plusieurs amantes dans le village afin de soulager ses ‘’ pulsions ‘’, et rien d’autre.

- Keiko, la plus belle geisha du village, était une de ses nombreuses amantes. Elle lui avoua ses sentiments, qu’elle l’aimait de tout son coeur, qu’elle mourrait pour lui. Narcisse, en guise de réponse, rit au nez de son amante, lui disant qu’il n’en avait rien à faire d’elle, le seul être qui comptait à son égard n’était que lui-même. La jeune femme, le coeur brisé, tomba à genoux, effondrée, avant de lui crier qu’il regrettera de lui avoir fait subir une telle humiliation. Narcisse n’en fit rien et sortit de la maison de thé.

- Keiko, le coeur criant la vengeance, ivre de chagrin et de colère, attendit un soir de pleine Lune afin d’invoquer les esprits, pour atteindre son but, qui fut influencé par sa folie désormais incontrôlée – maudir Narcisse. ''Qu'il meurt de manière atroce, lui et son amour propre ! Je veux qu'il ressente ce que je ressens, mais mille fois plus fort ! Cette malédiction te détruira avec ton plus gros défaut. Dès la prochaine pleine Lune, lorsque Narcisse verra son reflet, il en tombera amoureux qu'il en mourra de chagrin ! Et sa mort déclenchera une terrible malédiction sur sa descendance ! Ils ne pourront aimer qu'eux-mêmes, leur beauté sera leur lourd fardeau et porteront cette malédiction jusqu'à leur mort, ainsi soit-il.''. Ses prières furent entendues, les démons furent séduits par la douleur qu’éprouvait cette malheureuse geisha, et exaucèrent son voeu qui venait du fond de son être.

- Deux jours plus tard, Narcisse vint dans la maison de Keiko afin d’assouvir sa soif sexuelle. La femme, ayant bien une idée derrière la tête, accepta et firent ce qu’ils ont prévu de faire. Dans un dernier soupir de l’homme, relâchant ses muscles après cet effort, la geisha le regarda tendrement, ne cachant pas un sourire malsain se dessinant sur son minois, avant de le regarder se relever afin de s’habiller et repartir comme si ne rien était.

- Plusieurs jours plus tard. Narcisse partit se promener dans la forêt près de son village, afin de se détendre, s’asseoir et penser à maintes sujets philosophiques. En s'allongeant dans l'herbe, il eut soif et se pencha vers le lac. Mais en effectuant ce geste, il vit ... Son reflet, et la malédiction fit son effet. Narcisse a eu le coup de foudre pour lui-même. Ne voulant pas s'éloigner une seule seconde de l'objet de ses désirs, il fixa son reflet en lui disant des mots tendres, sentant son coeur crier l’amour absolu et magnifique. Plus le temps passait, plus sa peine s'agrandissait, car son être si désiré était si près, mais Narcisse ne pouvait pas le toucher. Lorsqu'il essayait de frôler la joue de son bien aimé, l'eau se mettait à onduler, ce qui faisait paniquer le jeune homme, fou d'amour, croyant que son reflet allait disparaître pour de bon. Lorsqu'il essayait de l'embrasser, c'était le même problème. Vous l’avez compris, il avait complètement perdu ses esprits.
Alors il restait allongé, fixant celui qu'il désire, pleurant cet amour impossible de toutes les larmes de son corps. Il ne se nourrissait plus, ne se lavait plus, et continuer d'admirer sa raison de vivre. Et au final, Narcisse mourut de chagrin, allongé dans l'herbe. Lorsque les villageois ont retrouvé le corps du Kiyomizu, des fleurs ont poussé autour de lui. Des fleurs qui étaient jusqu'à ce jour inconnues. Elles ont été baptisées à la suite Narcisses, symboles de l'amour propre, et également le symbole de son clan maudit.

-Keiko tomba enceinte, son plan était parfait, mais malgré que sa vengeance était accomplie, son chagrin était vaste, elle aimait profondément cet homme. Le seul but de sa grossesse était pour que Narcisse puisse punir toute sa descendance du sort qu’elle lui a fait subir ...

- L’enfant nâquit, et la geisha sentit qu’elle pouvait enfin jouir de sa salvation. Son devoir fut accompli, elle avait complètement perdu ses esprits. C’est ainsi, qu’après avoir mis son fils dans son berceau, qu’elle se retourna afin de mettre fin à ses jours en silence. A présent, les descendants allaient souffrir tous les jours de leur vie et subir les conséquences du narcissisme de cet homme tant aimé, comme haï.

II. Le clan Kiyomizu.

- La malédiction a fait son effet. L’enfant, lorsqu’il a atteint l’âge de la raison, était aussi parfait physiquement que son paternel, cependant il ne comprenait pas pourquoi les autres le repoussaient tant, pourquoi il ne pouvait pas aimer les autres villageois comme il s’aime lui-même. Mais une autre chose le différait des êtres qui partageaient sa vie de tous les jours - Les enfants du même sexe que lui le méprisaient, mais il attirait le sexe opposé. Comme s’il dégageait une aura particulière, s’en était troublant pour ce jeune garçon.

- Un jour, lorsque sa vie était en jeu et que des adversaires, affectés par lui, l'humiliaient autant qu'ils pouvaient, l'enfant a été pris dans une horrible frénésie et son aura si dangereuse s’intensifia qu’il fit figer sur place ses tortionnaires. Les jeunes hommes furent comme pris d’une grande frayeur, l’un d’eux se blessa même à la main afin de sortir de cette horreur. Cela les repoussa et les fit partir en courant, comme après avoir vu la mort elle-même.

- Suite à cet incident, le jeune garçon se remettait en question, et décida de s’analyser lui-même. Cela l’intriguait du plus haut point. Au fil des années, en s’entraînant, et en s’observant, il devint un shinobi vaillant, l’élite du village de Konoha, mais il se cherchait, encore et toujours. Si cela portait ses fruits ? Certainement. Et d’avantage lorsqu’il a pu, par la suite, observer ses propres enfants. Les êtres partageant son sang possédaient un pouvoir bien particulier … Il comprit enfin pourquoi il était entouré de femmes, pourquoi les hommes ressentaient tant d’hostilité à son égard. Ce sont ses phéromones. Cela éveillait une attirance irrésistible au sexe opposé comme repoussait ou effrayait les hommes. Certains fuyaient, d’autres répondaient à ces particules menaçantes à leur égard, réveillant une rage venant de nulle part, ou une peur incomprise. Le corps des descendants de Narcisse ont la capacité de secréter une quantité importante de phéromones, plus que la normale, à un tel point qu’ils se ressentent facilement.

- Cela passionait le fils de Narcisse. Il sentait une énorme estime monter en lui. De la fierté. Il voulait que cela soit préservé ! Les Kiyomizu … Sont des êtres respirant la perfection, à son humble avis. Leur sang est magnifique, noble, pur … Il en était persuadé. Leurs gênes préservaient leur perfection, ils vieillissaient mais ne laidissaient point, lorsqu’ils se font blesser physiquement, c’est une telle humiliation qu’avec tant de volonté et d’entraînement, ils réussissent à masquer la blessure. De plus, la blessure en question, lorsqu’elle se cicatrisait, aucune balâfre n’était présente, la peau restait aussi lisse et magnifique, comme si ne rien n’était. Ce n’est qu’un aspect extérieur. Les gênes doivent préserver la perfection. Un atout venant d’une malédiction très, très lourde … L’homme ne pouvait laisser ainsi mourir son savoir si précieux … Il devait le préserver. Tel devint son nindô.

- Il offrait une éducation des plus strictes à ses descendants, tout en continuant ses recherches, et apprit à maîtriser ses phéromones à l’aide du chakra. Quelque chose de magnifique ! Il a même réussi à les intensifier à un tel point qu’ils deviennent voyants, et les modeler à sa guise ! Il ne perdait pas de temps, et apprenait à ses enfants, tout, absolument tout. Il n’aimait pas ses progénitures, cependant il était fièr d’eux, fièr car ils étaient l’élite … Oui, l’élite ! Ils devinrent un clan redoutable, créant des guerriers puissants, fiers et narcissiques, forts et craignés. Le nom Kiyomizu résonnait dans tout Konoha, qui attirait des messes basses comme l’envie et l’admiration. C’était un clan d’élite, un clan noble, malgré sa réputation douteuse, tout le monde savait que chaque être possédant ce nom était quelqu’un de respecté, aimé comme haï, mais surtout forts.

- Le fils de Narcisse découvrit, avec l’expérience, que leurs atouts uniques était en vérité une terrible malédiction qui pesait sur leurs épaules … En effet, ce genre de pouvoirs pourrait faire envier beaucoup de personnes ... Mais il y a un sens caché dans cette malédiction : le Kiyomizu attirera toujours le sexe opposé, tout le monde le désirera. Mais en contrepartie, il n'aimera que lui, tout comme son descendant Narcisse. Le vrai sens de cette malédiction est que quoi qu'il arrivera, même si il aura toutes les chances de partager un bel amour, il ne pourra pas. Et si par malheur un Kiyomizu aimera quelqu'un d'autre que lui-même, c'est l'élu qui en subira les conséquences (jalousie maladive voire quasi meurtrière des concurrent(e)s, etc.) … Mais qu’importe pour lui, qu’importe pour ses descendants ! Les seules choses qui comptaient pour eux, était leur reflet, le clan, et Konoha, dont ils sont si fidèles, car ce village abrite tout de même un sang si prestigieux.

- L’homme mourrut à son tour, jeune, de presque la même manière que son paternel. Le savant, il avait une intelligence sacrément développée, et était acharné concernant son sang. Il se regardait dans le reflet, pensant encore quelle merveille pourrait-il trouver dans son clan … Mais ne put plus jamais se détacher de son miroir, plus jamais.

III. L’histoire de Juka.

- Maintes années sont passés, environ cinq cent ans, depuis Narcisse. Le clan a tout préservé. Les Kiyomizu sont un des clans d’élite de Konoha, non seulement connus par ce pouvoir si loufoque, mais également pour leur puissance. Car oui, leur fierté et leur amour propre ne leur permettait pas de s’arrêter au minimum. Ils s’entraînaient d’arrache pied ! Pour briller de leur perfection, non seulement physique, mais dans leur talent en tant que ninjas !

- Juka naquit le vingt troisième jour de juin. Fille de Sono, le descendant de Narcisse, un homme connu dans le monde des ninjas et redoutable pour son absence totale de pitié et son talent incroyable au combat, et d’une de ses amantes, Aiyami. Un enfant magnifique. Et, allez savoir pourquoi, le jeune homme, après avoir posé ses yeux sur son enfant pour la première fois, ressentit un amour profond pour quelqu’un d’autre que son reflet. C’était sa fille, son amour … Son trésor. Il devait rester avec elle ! C’est pour cette raison qu’il décida d’épouser son amante, afin de pouvoir donner à sa tendre progéniture un épanouissement total.

- Malgré que le fait de naître de sexe féminin dans ce clan était mauvais signe, car les filles ne supportaient pas les phéromones à leur puberté et se donnaient la mort, Sono acceptait son enfant. Il l’aimait tant ! Il donna tout son amour à sa fille, au moins autant qu’il donnait lorsqu’il minaudait devant son reflet, et repoussait le reste du monde. Pour Sono, il n’y avait plus que Juka et lui, face au reste du monde. Cependant, plus l’enfant grandissait, plus la mère repoussait son enfant, d’une à cause de ses phéromones –elle ne possède pas le sang des Kiyomizu donc elle n’est pas immunisée-. Elle ne comprenait pas comment on pouvait ressentir autant d’attendrissement face à cette chose. D’autre part, sa jalousie montait. Elle aimait profondément son mari, mais ce dernier ne portait aucune attention envers elle et fut bouleversée de voir qu’il était tendre envers leur fille … Un comble !

- Juka possédait dans sa vie les deux extrémités – le bonheur et le cauchemar. Le bonheur est l’amour que son père lui offrait, tout ce temps qu’il passait avec elle, et il l’entraîne intensément également, afin qu’elle devienne une Kiyomizu forte et la plus redoutable, afin qu’elle survive à cette puberté, qui était encore lointaine. La petite, recevant tant d’amour durant son innocence, ressentait également un sentiment fort pour son paternel. Un comble, également, pour une Kiyomizu ! Mais ce qui la différenciait de ses ascendants était qu’elle est la seule qui reçut de l’amour de son parent. Elle devint une fille magnifique, douce et attendrissante, malgré que les traits de son clan étaient indéniables – Ce petit sourire en coin, ce regard perçant de ses yeux verts. Elle possédait la même malédiction, comme ses semblables – elle s’aimait profondément et était très hautaine, car elle savait qu’elle n’était pas n’importe qui. Son cauchemar ? C’était sa mère … Et l’école des kunoïchis. Elle était une élève brillante, dépassant ceux de son âge, mais était malmenée, que ce soit par les petites filles ou même par les institutrices.

- ‘’ Je t’aime ‘’. Qui aurait cru que cette phrase aurait engendré une telle conséquence ? Serait-ce la malédiction qui se mettait en avant ? Fort probablement. Pour la première fois de sa vie, Juka dit à son père, lorsqu’elle avait sept ans, qu’elle l’aimait. Sono, touché et choqué, eurent les larmes aux yeux, était sans voix. Une chose qu’ils ont oublié – Aiyami … La mère était dans la pièce d’à côté et a tout entendu. Ces femmes qui couraient après son mari … Cette peste qui aspirait tout son amour … Elle ne pouvait plus le supporter. Et voir les yeux larmoyants d’émotion de son bien aimé … S’en était de trop. Les phéromones de ces deux êtres, sous le même toit, supporter ce pouvoir, tous les jours, a dû la rendre complètement folle, oui. Tandis que Sono s’apprêtait à se pencher, voulant prendre son amour dans ses bras, sous les yeux horrifiés de Juka il eut un regard vide et un soupir se fit … Aiyami était derrière lui. Une lame sortait de sa cage thoracique. Sa femme lui a transpercé le coeur, devant leur enfant. Le corps de cette perfection s’effondra au sol, devant la petite, qui fut bouleversée par ceci … Elle essaya de s’approcher, prendre son père dans ses bras, mais sa mère l’en empêcha. ‘’ Ainsi, il m’appartiens, à jamais ! ‘’ S’écria la folle, avant de s’avancer vers sa progéniture, prête à la punir de lui avoir volé son amour, sa raison de vivre, prête à la tuer. Juka, effrayée, tomba en arrière et, réveillant son instinct, ne contrôlant pas ses pouvoirs, les phéromones s’intensifièrent d’une manière effrayante, enivrant Aiyami, ce qui freina immédiatement son geste, sentant une peur effroyable. Ne pouvant supporter cette sensation qui était que trop forte pour un esprit aussi fragile que le sien, elle porta la lame à son cou et se trancha la gorge, avant de s’effondrer à côté de son enfant. Depuis ce jour, Juka se persuada que ‘’ je t’aime ‘’, sortant de sa bouche, n’était qu’une condamnation à mort. Depuis ce jour, elle n’a plus dormi, et ce, encore maintenant, onze ans après. Plus jamais. Une paranoïa maladive la guettait. Depuis ce jour … Elle fut détruite, effondrée. Elle se sentait coupable, et disait que la seule meurtrière de ses parents, n’était personne d’autre qu’elle.

- Des mois passèrent, et comme cela ne suffisait pas, il fallait que dans sa dépression profonde s’ajoute le cauchemar qu’elle subissait à l’école des kunoïchis. Jeune orpheline, la petite Juka vivait seule et se débrouillait comme elle pouvait afin de survivre. Mais survivre à quoi … ? Elle n’était qu’un cerceuil sur pattes, elle n’avait plus de volonté, plus de forces … Ses parents sont morts, elle porte un fardeau énorme et une lourde malédiction sur ses épaules, qui a tué celui qu’elle aimait. ‘’ Je comprends pourquoi ta mère voulait te tuer, la pauvre ! ‘’, ‘’ Tu lui as aspiré toute sa vie, ainsi que son amour, tu n’as pas honte ? ‘’, ‘’ Et si tu termines ce que ta mère s’apprêtait à te faire ? Cela serait sans doute mieux pour toute l’humanité ! ‘’, ‘’ Meurtrière … ‘’. Comme vous l’avez compris, les bruits courent très vite, surtout dans un village comme Konoha. La mort de Sono fut un choc pour tous, se demandant … Comment ?! Comment un homme aussi puissant, redoutable, a pu se faire tuer de manière aussi puérile ?! La faiblesse de l’amour, l’innatention, tout simplement … La jeune fille de sept ans se faisait traîner plus bas que terre, humilier, insulter, frapper par ces femmes … Dieu que la Kiyomizu haïssait la gente féminine, qu’elle les méprisait ! Même ses institutrices lui lançaient des piques concernant cette tragédie … Mais la patience ne peut être éternelle. Les éducatrices, ne supportant plus la présence de cet élément perturbateur, les mettant à nerfs, allèrent voir le Hokage de l’époque, afin de demander main forte. ‘’ Faites quelque chose ! ‘’ ‘’ On ne peut pas travailler avec une peste pareille dans notre école ! ‘’, ‘’ Noyez-la, exilez-la, personne ne la supporte ! N’importe quoi, mais agissez, bon sang ! ‘’. Le chef du village ouït ces jacassements et soupira profondément. Il connaissait, évidemment, les Kiyomizu. Comme tout le monde dans ce village. Et a été le premier au courant de ce drame. L’homme, compatissant envers la petite, hocha la tête et promit d’effectuer un geste qui arrangera tout le monde …

- La promesse du Hokage est d’or. Il connaissait Juka, comme il connaissait chacun des villageois de ce jardin d’Eden. Il la savait tendre, il savait qu’elle était étrangement gentille, comparé à ses descendants. Elle ne devait pas supporter cette horreur plus longtemps. Alors il fit une exception. La seule de toute l’histoire de Konoha. Il a transféré la petite dans l’école pour garçons. Il savait ce qu’il faisait, il connaissait ces pouvoirs. Les enfants ne ressentent pas de désir avant la puberté, mais les phéromones donnent un sentiment positif aux garçons, une aura attirante et bienveillante … Il savait qu’elle serait tranquille là-bas, il savait qu’elle aura des bras qui la relèveront. La décision fut prise, le transfert fut effectué. Juka était la seule fille dans cette grande école de ninjas pour hommes.

- Le changement était remarquable dès son premier jour. La petite Juka, malgré son manque d’assurance et sa peur face au reste du monde, fut tout de suite intégrée par les élèves, ainsi que les professeurs. Intimidée d’abord, elle se rendit compte que les enfants l’adoraient, elle devint une véritable coqueluche. Elle fut toujours entourée, toujours complimentée, on la tirait de tous les côtés afin d’attirer son attention de n’importe quelle manière. Pour la première fois, Juka put goûter à la signification du mot ‘’ amitié ‘’. Elle était une véritable princesse dans cette école. Au fur et à mesure, l’enfant prit de plus en plus d’assurance, de confiance en soi, et grâce à toutes ces attentions, sa dépression disparut, malgré que cela pesait, cette culpabilité, cet amour perdu, et sûrement jusqu’à la fin de sa vie.

- Juka put s’exprimer pleinement et mettre en avant son talent en tant que ninja. Une élève formidable, brillante, digne d’une Kiyomizu ! Bougrement intelligente, maline, et physiquement très endurante, développant son style de combat au fil des années, un style ressemblant à du taekwondo acrobatique, comme elle développa l’art manipulé par son père – le bôjutsu. Sa motivation ? L’amitié, la mémoire de Sono. La première descendante à se faire des amis. Elle ressentait des sentiments positifs envers les garçons, serait-ce dû à l’influence de son père ? En tout cas, malgré tout, malgré qu’en grandissant, elle devint si tendre, elle devint incroyablement tactile envers ceux qu’elle apprécie et également devint une fille incroyablement attachante, elle gardait des traits évidents des Kiyomizu. Son Narcissisme. Ses cheveux de couleur chocolat. Ses yeux d’un vert vif. Les traits physiques qui ne peuvent être confondus. La petite s’épanouissait pleinement et s’entraînait durement, car elle ne voulait pas que l’éducation de son paternel, tout ce temps qu’ils passèrent ensemble, soit vaine. Elle avait un rêve – surpasser son être aimé. Et elle persévérait très bien !

- La jeune Juka passa son examen avec brio et grande facilité, obtenant ainsi son bandeau frontal, qu’elle portait fièrement sur sa cuisse. A onze ans, la Kiyomizu devint Genin. Toujours aussi épanouie, elle était toujours entourée, et fut affectée dans une équipe, avec un senseï. Son savoir était grand, sa fierté et sa volonté la poussait à progresser de manière frappante, elle était considérée presque comme une génie. Peut-être pas à ce point, mais une surdouée, en tout cas. Elle portait bien son nom ! Les senseïs enviaient le tuteur de Juka, sachant qu’elle allait porter le titre des ninjas d’élite, fort probablement, un jour.

- La progression ne s’arrêtait pas, et Juka était admirée par ses camarades genins, devint une véritable fierté pour son senseï. Un an passa et, afin de mettre en oeuvre la fierté que possédait à l’égard de ses élèves, le Juunin les inscrit à l’examen Chuunin, ne se doutant pas de leurs compétences, voulant se vanter pleinement devant tout le monde et mettre en avant la fierté de leur village. L’équipe, malgré certaines difficultés, était tout de même des plus soudée, formant un trio infaillible comme un sentiment de rivalité entre les deux garçons qui accompagnaient Juka. Des petites bagarres, des disputes entre eux, mais ils s’adoraient malgré tout. Finalement, ils passèrent l’examen sans aucun problème, impressionnant tout le monde. Au combat individuel, Juka laissa sans voix le public, de par son talent, mais également de par son élégance, de sa grâce innée sortant de son style de combat. Non seulement elle était efficace et écrasante, mais savait comment faire ressortir la beauté. C’est ainsi chez les Kiyomizu. Leurs entraînements se font sur un style de combat redoutable, tout en gardant une grâce touchante. C’est ainsi que son combat contre une jeune kunoïchi ressembla à un spectacle, de par ses mouvements et les garçons, non seulement son équipe mais les autres genins, qui l’encourageaient jusqu’au bout. L’équipe passa en tant que Chuunin sans aucun problèmes, avec de chaudes recommandations.

- Plusieurs années passèrent, cinq ans plus précisément. Juka devint une jeune femme de dix sept ans des plus magnifiques, arborant une perfection troublante. Elle a beaucoup changé physiquement ! Elle décolora ses cheveux, qui sont à l’origine d’un brun chocolaté, en un blanc neige, et plusieurs piercings arboraient son corps. Elle avait un look plutôt extravagant mais restait tout de même sublime. Sa poitrine est toujours bandée au maximum, imitant un torse d’homme, car sa grosse poitrine la gênait. Peut-être que d’un côté, elle rejetait une certaine part de sa féminité ? Chose compréhensible, après ce qu’elle a subi avec les femmes … Elle devint une femme très misogyne. Le mépris féminin la suivait toujours autant, mais la Kiyomizu avait endurci son caractère au fil des années, chose normale. C’est devant ces êtres qu’elle méprisait qu’on pouvait retrouver toute l’arrogance des Kiyomizu et son côté hautain, mais ses traits s’adoucissaient à la vue de ses amis. Elle ne se laissait plus faire ! Parlons des hommes, d’ailleurs. Comme vous vous en doutez, elle devint une femme qui attirait tout désir masculin, ou amour. Toujours aussi entourée également. Mais, ayant grandi entourée de garçons, elle développa un côté de caractère très troublant. Malgré son côté irrésistible, elle était la tentation incarnée ! Cependant, elle possédait une innocence des plus enfantines, et était complètement sans gêne avec ses amis. Elle ne remarque jamais lorsqu’on homme lui fait la cour, pensant que c’est une simple marque d’affection. Un surplus de naïveté en elle, sauf si, bien sûr, le prétendant s’exprime de manière plus … Directe. Chose qu’elle repoussait la plupart du temps. Mais comme toute femme de son âge, il y a cette période de séduction, et Juka alors ne s’en prive pas, si l’homme en question lui plaît. Elle peut être un enfant comme devenant soudainement une véritable femme fatale ! Dans son clan, on apprend également l’art de la séduction, un savoir développé depuis maintes années, afin de savoir comment faire perdre la tête de chaque être. Cependant, contrairement aux attentes, cela n’allait pas plus loin, du moins pas encore … Elle n’a jamais eu une quelleconque relation, ne dépassant pas l’amitié ou le jeu de séduction. Jamais. Juka avait peur, vraiment peur de faire souffrir quelqu’un, de refaire la même erreur que son père.
Outre ce côté-là, elle devint une guerrière, comme tout le monde s’y attendait, des plus redoutables. Une femme puissante et imbattable, du moins pour le moment. Les missions ont toujours été un succès avec elle, et elle n’a jamais perdu un seul combat. Elle continuait ses entraînements, car elle avait tant de raisons de vivre, eh oui ! Son clan, son père, ses amis … Et Konoha. Sa patrie, le village qu’elle aime tant sans honte. De plus en plus, la Kiyomizu se forgeait une sacrée réputation dans son métier, à Konoha. Et progressait, encore, ne voyant jamais le bout.

- Son ancien senseï la conseilla de passer l’examen Juunin. D’après lui, elle était prête comme jamais. Juka venait fraîchement d’avoir ses dix huit ans, et ne s’arrêtait pas dans son prestige. Le Juunin qui s’occupait d’elle, enfant, le savait très bien. Malgré que l’équipe fut séparée, ils ne perdirent pas contact, et l’homme continuait à entraîner la femme dans le ninjutsu et le bôjutsu, l’aidant à progresser, malgré qu’elle était contre au début, par fierté. Mais, après tout, sans instructeur, sans son père, elle n’irait pas bien loin, elle avait les mains liées. Il était déjà très difficile pour elle de progresser dans son art de manipulation des phéromones, mais elle y arrivait ! Malgré que ce n’est pas parfait … Eh oui, lorsqu’elle ressent une émotion forte, que ce soit une grande joie ou une grande peur, elle laisse sortir ses phéromones d’une quantité plus importante. Un point handicapant pour elle, vous l’imaginez bien. A part ce petit ‘’ détail ‘’, elle maîtrisait bien son pouvoir, sachant maintes jutsus de son clan. Juka accepta la proposition de son senseï, qui voulait l’accompagner jusqu’au bout. Evidemment, l’examen Juunun n’est pas de tout repos, encore moins que l’examen Chuunin. Juka a eu certaines difficultés mais impressionna quand même le public, les examinateurs. Elle réussit tout de même haut la main, obtenant le grade, et revint vers son senseï, souriante, comme d’habitude, exprimant sa joie de vivre, fière. Après être sortis, l’homme s’arrêta afin de l’observer. Etrange … Il sentait une odeur de sang venant de Juka mais ne voyait rien. C’est qu’après un moment, en l’analysant dans les détails, qu’il s’énerva contre son élève. Il a compris son petit manège et ayant depuis toutes ces années cerné certains jutsus des Kiyomizu, comprit ce qui clochait, il était loin d’être dupe. Elle était blessée, mais le camouflait avec sa capacité de son clan, qui était une conséquence de leur fierté. Le camouflage … Cacher les blessures, rendant la peau lisse comme si ne rien était. Un jutsu complètement inutile mais qui était une conséquence. Il se disait bien que c’était bizarre que cette femme n’avait jamais une seule égratinure après un combat ! Elle les cachait ! Malgré les protestations de Juka, il l’envoya à l’hôpital, et constata que la blessure était en réalité assez profonde, mais pas grave pour autant. Cependant, elle aurait pu l’être si elle ne l’aurait pas soigné … La jeune femme était énervée contre son senseï, son ego saignait. Il a percé un de ses secrets.

- Du haut de ses dix huit ans, Juka est toujours à Konoha, respectée, aimée comme haïe. C’est devenu une jeune femme épanouie malgré que son traumatisme d’enfance s’exprimait dans sa paranoïa, elle ne dormait toujours pas. Mais elle est une femme exprimant sa joie de vivre, détestant montrer ses faiblesses, alors elle sourit, elle reste toujours aussi tendre envers ses amis. Elle est une jeune femme profondément narcissique, mais douce et amicale, et est également une shinobi redoutable, désireuse de préserver sa magnifique patrie.

Le caractère du personnage en quelques mots : Juka est une jeune femme très narcissique, ignorant pas sa perfection, mais la mettant en avant. Lorsqu’elle méprise certaines personnes, cela est bien pour une raison, ou bien parce que c’est une femme, et c’est à ces instants qu’on découvre son caractère typique d’une Kiyomizu. Hautaine, narquoise, méprisante, sarcastique. Une parfaite descendante de Narcisse ! Cependant, contrairement à ce qu’on pourrait penser, c’est une jeune femme très tendre, souriante, agréable. Polie, serviable, attachante, et très tactile. Uniquement avec ceux qu’elle apprécie. Mais elle semble au premier abord tout de même très sociable et adorable.
En fait, la Kiyomizu a, pour beaucoup de ses traits, l’opposé parfait, qui s’expriment au dépend de son humeur ou de la personne présente. Elle peut être candide et innocente comme jouer le rôle d’une femme fatale et séductrice. Elle est élégante, a un langage raffiné, a de la grâce dans chacune de ses gestuelles, comme elle pourrait soudainement parler de manière grossière comme un homme.
C’est également une femme très vantarde et très fière. Elle adore se faire flatter et être entourée, déteste la solitude, sauf dans certains cas où elle souhaite s’isoler la nuit. Juka a également un ego surdimmensionné et a horreur de montrer ses faiblesses, chose qu’elle évite un maximum. Personne ne l’a vu pleurer, personne ne l’a vu s’affaiblir, car elle préfère serrer les dents de toutes ses forces et faire croire qu’elle est imbattable, souhaitant de tout son être briller de sa victoire jusqu’au bout, quitte à en souffrir par la suite, elle a un sens d’honneur très prononcé.
Egalement, c’est une femme très patriote, et loyale envers ceux qui le méritent à son égard. Sinon elle est tout de même un peu étourdie et a un sens d’orientation pitoyable.
Elle est fêtarde comme elle peut être sérieuse. Malgré son air attendri, lorsqu’elle s’y met, que ce soit par la colère ou le fait de prendre son air autoritaire, sa voix s’aggrave d’avantage et fait sortir un chi intimidant.
On pourrait tant dire sur cette femme, comme on peut la découvrir tous les jours, tant elle est spéciale ...
Son aspect physique :
Spoiler:
Ses yeux qui sont verts, deviennent argentés lorsqu'elle est envahie par un sentiment négatif.

Son village : Konoha.
Le statut de votre personnage : Très endurant.



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MessageSujet: Re: La descendante de Narcisse.   La descendante de Narcisse. EmptyDim 18 Déc - 18:08

Citation :
- Les Kiyomizu sont des descendants direct du fameux Narcisse, un homme qui s’aimait profondément et méprisait le reste du monde, vivant à Konoha, il y a fort longtemps, lorsque le village était encore jeune.

Les villages militarisés viennent tout juste d'être formés donc, ton histoire n'est pas correcte. Pour ce qui est du reste... Je ne vais pas te dire que c'est mauvais, au contraire ! Je me fiche de l'orthographe donc je ne vais pas vanter ton mérite en la matière, je vais juste dire que l'histoire est originale !

CEPENDANT, je pense qu'il est réellement possible d'en faire une présentation BIEN PLUS courte. Ce n'est pas contre toi, bien au contraire mais, cette fiche de présentation doit être consultable facilement (Tu pourras développer ton histoire dans ta Relation Ship ou dans des Flash Back). Je vais prendre un point au pif et résumer :

Spoiler:

- Juka, Juunin de Konoha !
D'après l'ancien senseï de Juka, la femme était prête pour devenir Juunin. Cette idée saugrenue hantait l'esprit de la demoiselle /// (Je vais pas tout écrire, je risque de mal interpréter).


De plus, je crois que ton histoire est à revoir intégralement... Le fait de parler des grades est une erreur sachant que les villages militarisés n'existaient pas ! Je ne te demande pas de changer de personnage, je pense que nous pouvons l'adapter mais pour ça, j'ai besoin d'un simple de la vie de ton personnage (Faire un résumé de son oeuvre c'est savoir l'occulté sans soucis)..

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La descendante de Narcisse.

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