La dalle n'était même pas encore scellée pour annoncer la fin de la cérémonie que le jeune homme qui n'avait même pas la trentaine, le sieur Hireisei Katô, quittait le cimetière de son village natal, enfoui dans les montagnes, inaccessibles en hiver, et difficile d'accès en été. C'était croire que la mort de son frère, quelques années à peine après celles de leur père ne lui faisait ni chaud ni froid. Et au fond, c'était un peu le cas. Il avait délaissé le premier rang, y laissant sa mère et son...neveu...ce terme, rien que pensé, lui arrachait la gorge, non ce n'était pas son neveu, ce n'était qu'un batard immonde et difforme qui n'avait pas sa place au sein du clan !

Il était parti, il n'était pas son frère, il n'était pas larmoyant au possible, aussi émotif que cette lavette et aussi paresseux que lui, non, il avait enfin le poste tant convoité, un poste prestigieux et avec une responsabilité importante. Il n'était pas là pour chômer, il le savait.

La seule chose qu'il avait fait avant de partir était d'embrasser sa femme et sa fille, encore sans doute trop petite pour comprendre vraiment ce qui se passait ici, Hireisei l'avait toujours tenue éloignée de l'autre irresponsable. Pas une parole, pas un geste en faveur du jeune Arekushi, rien. Il avait juste quitté l'endroit le moins discrètement possible, écartant les gens sur son passage, et s'était dirigé vers le bureau de feu son frère et y avait mis dans un carton puis à l'entrée tous les objets inutiles, tous les effets personnels de son frère.

Puis, il avait commencé à changer la disposition, pour ddavantage de lumière pour travailler, en se mettant dos à la fenêtre plein ouest, pour travailler plus tard le soir. Face au sud, il consommerait trop de bougie et autres chandellesle soir. Ensuite, il vira les cadres du mur du fond, pour mettre sa bibliothèque, il voulait ses ouvrages à disposition si besoin est.

Et alors que la cloche du village annonçait la fin de la cérémonie, il s'avéra qu'il était en train de déménager ses livres, au passage, il avait posé les effets personnels de son frère devant sa demeure. Mais il y avait une personne ici, devant le bureau, choquée sans doute. Il s'agissait de l'autre abomination, le petit Arekushi.

« Ecarte toi s'il te plait, Arekushi, tu bouches le passage et tu m'empêche de faire ce que je dois. »

Il avait dit ça d'une voix froide, mortellement froide.

Arekushi se trouvait là, devant le bureau de son père, le regard vide, la tête vide, il ne réalisait pas encore que celui qui lui avait tant appris, la seule personne qui l'aimait, la personne qui l'avait élevé, ce père si fort et responsable quoi que pouvait en penser certains.... Il avait été tué... il était pourtant entrainé... il ne savait pas vraiment ce qui c'était passé mais il s'en moquait pour le moment.

Il regardait le frère de son père, cet oncle... Il savait très bien qu'il le détestait et c'était le cas d'Arekushi aussi. Mais ce qui le choquait le plus, c'était de voir son oncle qui avait dejà débarassé les affaires de son père pour s'y installer...

Arekushi se savait trop jeune pour succèder à son père, c'était donc dans la logique que son oncle devenait le chef du clan... mais tel un vautour il s'accaparait de cette proie, une proie qu'était le clan à ces yeux... Les yeux d'Arekushi fixait ceux de son oncle, la queue battant lourdement sur le sol en vieux bois du bureau de son père... il serrait les poings, il voulait littéralement exploser...

«Que fais tu au bureau de mon père !!!!»

Le ton était grave, légèrement tremblant, il se souvenait que son père lui disait toujours de ne jamais montrer une quelconque faiblesse... mais là il n'arrivait pas à faire autrement en voyant le spectacle qui se déroulait face à lui... Il était envahi d'une haine profonde, de rage, de tristesse, d'envie, de vengeance... tout se mélangeait dans sa tête...

«Va t'en! Va t'en de là, tu n'as rien a faire dans le bureau de mon père!!!!»

Il devenait de plus en plus nerveux, il pouvait exploser à tout moment...

　

　

« Que fais tu au bureau de mon père !!!!»

Et voilà, il fallait que sans doute le seul ado du village qu'il déteste lui mette des bâtons dans les roues. Dommage qu'il soit né celui là, enfin, cela ne changeait pas grand chose à la situation, de toute manière, il s'assurerait que jamais ce singe ne pose son sale derrrière que sa mère n'avait jamais du torcher sur le fauteuil du chef de clan....

Mais quel était ce regard ? Etait-ce de la colère ? Oui, un peu, mai en même temps, il était persuadé que ce morveux était perdu un peu, il venait de predre le dernier membre de sa famille. Oui, Hireisei ne considérait pas être de la même famille que cette chose à peine humaine. Encore un gosse et déjà une taille adulte, pas de quoi être fier. Père avait du s'en mordre les doigts en voyant cela, et toutes les générations passées de Katô aussi.

«Va t'en! Va t'en de là, tu n'as rien a faire dans le bureau de mon père!!!!»

Hireisei sourit avant de dire, d'un ton calme, posé, mais toujours glacial.

« Ce n'est plus chez ton père ici, il est mort et désormais c'est mon bureau, la seule demeure de ton père, désormais, c'est la terre dans laquelle il a été mis. Tu auras beau crier, menacer, tempêter, tu ne changeras rien au fait qu'il est mort et que ce n'est plus chez lui ci. »

Il avança d'un pas vers lui, les yeux braqué dans les siens. Il le forcerait à reculer jusqu'à ce qu'il lui cède la place. C'était ainsi que cela fonctionnerait, et si besoin est, il appelerait quelqu'un pour s'en occuper.

« Ton père est mort et si tu as encore une chambre dans cette maison, c'est parce que je ne veux pas faire jaser en me montrant aussi peu compatissant avec mon neveu. Alors montre le respect qui est du aux autres, tu ne mérite pas d'être plus qu'un vulgaire bushichugi, et c'est ainsi que tu finiras sois en sur, tu as été la tache sur l'honneur de ton grand père, et peut être un peu sur celui de ton père. Écarte toi et n'aggrave pas ton cas ! »

Son bureau... cet être n'avait rien d'un chef, il n'avait pas le charisme de mon père, encore moins sa force et ni sa détermination. Tout ce qu'il était, un opportuniste près à tout pour avoir un soupçon de pouvoir...

Que cet homme n'est aucun respect pour moi, Il s'en moquait, mais il n'avait aucun respect pour son propre frère, qui était il vraiment? Qui était le monstre entre lui et moi? Arekushi ne voyait en lui qu'une bête cruel, il ne vallait pas mieux qu'un chacal attendant une proie affaiblit pour être sur de la tuer... Non, cet homme ne pouvait pas diriger un clan.

La colère montait de plus en plus en Arekushi, cette colère, cette force... il se rappellait les mots de son père comme quoi il devrait s'en servir pour ce surpasser... mais était ce le moment opportun? Il y avait dèjà eu assez de peine pour aujourd'hui et pourtant... il voudrait briser chaque os de cet homme, frère de sang de mon père !

Arekushi fermait les yeux et d'un ton calme... répondit..

　

«Je suis calme...»

Pas un mot de plus, il voulait montrer par là qu'il pouvait être plus intélligent et plus froid malgrès son jeune âge, mais il n'avait pas vu venir la suite... quand son oncle se mit à le rabaisser plus bas que terre, Arekushi qui est pourtant l'héritier légitime du clan! Il voulait donc me restreindre à ce titre de batardise... mon père à peine mort devait se retourner dans sa tombe... et s'en était de trop...

Arekushi se laissait envahir par sa rage... chacun de ses muscles semblait se contracter... ce durcir... et ces yeux, ces yeux qui percait ceux d'Hireisei... avait changer, un teint rouge se manifestait autour... oui... il avait déclencher son pouvoir hériditaire... force égal à celle du clan Katô sans utiliser ce vulgaire sceau pour autant.

Arekushi avancait alors d'un pas... pour se retrouver face à face, a quelques centimètres de son oncle...

　

«Je ne bougerai pas d'ici avant d'avoir débarasser le reste du bureau de mon père... et j'entend bien par la ramener tout ce qu'il y a ici, meuble ou autre... tu ne toucheras a rien de tes mains de laches et je arrete de cracher ton venin!»

Il savait que là, il allait trop loin, qu'il risquait gros, mais il ne supportait pas cette situation... il s'énervait de plus en plus et à tout moment il pouvait exploser si il n'avait pas ce qu'il demandait !

Hireisei sourit, allez, qu'il s'énerve qu'il tente de lui en mettre une, il lui montrerait la réalité de la différence de puissance, il aurait une excuse pour mlui mettre une bonne raclée, celle que son imbécile de frère n'avait jamais eu le cran de lui mettre, après tout, il n'était pas humain, il pouvait bien prendre des baffes sans que cela soit gênant....

«Je suis calme...»

Ben Voyons, et lui, il était le Daimyo de la foudre. Quoiqu'Hireisei, Daimyo de la foudre, cela sonnait plutôt bien.... Il avaiit un petit sourire en coin, un sourire qui n'en était pas un, un sourire qui ne présageait rien de bon. Si il était si calme, pourquoi être aussi tendu ? Cool, qu'il se détende.

«Je ne bougerai pas d'ici avant d'avoir débarasser le reste du bureau de mon père... et j'entend bien par la ramener tout ce qu'il y a ici, meuble ou autre... tu ne toucheras a rien de tes mains de laches et je arrete de cracher ton venin!»

Il sourit encore plus, comme un enfant, jusqu'à avoir une très désagréable impression. Il n'en laissa rien paraître. De l'émission de chakra ? Il comptait vraiment frapper ? Qu'il frappe alors et il finirait pendu jusqu'à nce que mort s'en suive ! 'était là tout l'intérêt dudit venin qu'il déversait. Mais LÀ, il avait une envie fille de partir en courant ou d'appeler quelqu'un pour le faire bouger.

« Allons, ne te trahit pas, tu parles de calme, mais tu fais mumuse avec ton chakra, ne me prend pas pour plus bête que je ne le suis je te prie, mon neveu – ce mot semblait complètementr innapproprié dans sa bouche. - Après, je ne pense pas que tu puisses comprendre quoique ce soit à ce qui se passe, écoute, je vais te donner un peu d'argent, et tu vas allaer manger un bol de nouille pour te calmer le plus loin possible des affaires du chef du clan, comme ça tu ne dérangeras personne, c'est d'accord ? »

Le ton avait changé, désomais on auraitpû croire qu'il s'adressait à un enfant, un petit gamin d'une dizaine d'année grand maximum. Encore de quoi l'énerver....l'apannage des faibles n'était-elle pas la violence ? Il se targuait de la prédominence des mots sur les poings.

« Oui mon petit, ce sont des meubles liés à la fonction et non à l'hérédité, et quand bien même, on ne donne pas de la confiture aux cochons, cela fait plus de trente ans que cette pièce a ces meubles, on ne change pas une équipe qui gagne, le pouvoir change de main, mais les instruments restent, alors arrête de te prendre la tête pour rien, j'ai mis toutes les affaires personnelle de ton père dans un carton, puis, dans son ancienne chambre. Tu trouveras tout ça là bas. Allez, va jouer avec ceux de ton âge et maisse mon passer, j'ai du travail, du travail que ton père a négligé pendant trop longtemps pour s'occuper de toi ! »

Il était ravi comme un gamin à Noël. Mais cette impression étrange, liée au scau il en était sur, mais sans qu'il y ait droit. Cela l'énervait un peu, bien profondément sous la glace, boarf, il l'enverrait aux médecins, quitte à en faire un cobaye ! Et là, il saurait !

L'arrogance de son oncle ne le surprenait pas, d'habitude Arekushi n'y prêtait guère attention mais cette fois ci, ces attaques et le fait qu'on avait enterré son père aujourd'hui le mettait hors de lui... Son regarde s'asombrissait de plus en plus, il ne voulait qu'une seule et unique chose, planter son poing dans la face de ce type qui était mon oncle... comment pouvait il avoir le même sang que mon père et être aussi différent, froid et totalement abjecte... Il ne comprenait pas.

Sans même trop s'en rendre compte, tout son chakra se répandait à traves de son corps, ces muscles semblaient gonfler sous cet effet... il était arrivé au seuil critique... mais alors qu'il semblait vouloir lever la main... une voix, une voix chaleureuse en lui fit étincelle... celle de son père oui... il se rappelait lui avoir raconter quelques fourberie de son frère... et qu'il fallait mieux l'ignorer et ne pas entrer dans son jeu car ca ne ferai que le rendre encore plus heureux de ces paroles...

Arekushi se rappelait de tout ca... il posa sa main sur l'épaule de son oncle et d'un geste ferme, il le repoussait pour entrer dans le bureau... Il ne pouvait donc pas vider les meubles, donc personnes n'auraient ces meubles...

Avant même que son oncle ne puisse réagir... Arekushi explosa tout les meubles avec la dernière technique que son père lui avait... il ne restait plus rien sauf un amas de poussière et de déchet de bois dans le bureau... il se tournait de nouveau vers son oncle et s'arrêtait à son hauteur...

«Le gamin a fait sa crise... mais au moins tu ne souilleras pas les objets que mon père utilisait...»

Arekushi quittait alors le bureau et prit le carton de son père... Il avait toujours cet haine, mais il savait que si il faisait un acte irréfléchi maintenant, il signerait une bonne occassion pour son oncle de le bannir du clan...

«Dire que mon père t'aimait...ca je ne le comprendrai jamais !»

Sur ces mots, Arekushi quittait totalement ce lieu... il n'avait plus rien a faire la et en mémoire de son père, il allait a nouveau se receuillir...

Il n'eut pas le temps de réagir que déjà, Arekushi s'attaquait à l'intérieur, le saccageant complètement, réduisant le bureau, du chêne massif, en miettes, Hireisei enrageait. Comment osait-il ? Il serra les dents et les poings et souffla un grand coup. Ce meuble était dans la famille depuis plusieurs générations.

«Le gamin a fait sa crise... mais au moins tu ne souilleras pas les objets que mon père utilisait...»

Non, pas le gamin, le monstre, et ce n'était pas une crise qu'il faisait, non, c'était juste un accès violent et temporaire dû à son sang, c'est tout, ce monstre n'vait pas sa place dans un lieu comme celui ci. Hireisei retint pendant un moment des mots blessants, il les gardait pour un meilleur moment.

« Dire que mon père t'aimait...ca je ne le comprendrai jamais !»

Il commença à tourner le dos, mais ce fut trop pour notre nouveau chef de clan qui lui dit, sourire aux lèvres.

« C'est fou comme ta réaction primaire, hérotée sans doute de ta mère puisque cela ne pouvait venir de ton père, te donne l'impression d'être puissant, mais en fait ta mère était aussi monstrueuse que ton père était fénéant. Donc au final, tu ne vaux rien, absolument rien ! Ton père était un imbécile, un abruti fini, et ce qu'il t'a appris, il te l'a appris en négligeant le clan, il t'a montré ce que voulait dire le respect, ou du moins ce qu'il tendait par respect, c'est à dire rien, il t'a appris le contrôle de soi, il t'a appris plein de chose, et tu vois, tu montres enfin clairement ton visage. Rien qu'à ta façon d'agir il y a peu tu m'as prouvé quelque chose : ton père devait avoir honte de toi. Ton près tenait à ce bureau comme mon père avant lui et son père avant lui, et toi, tu as réduit tout le travail d'une vie, ce que contenait les tiroirs du bureau, à néant, le travail de ton père et de ton grand père. Bravo, je suis fier de toi ! D'autant qu'au final, tu agis sans réfléchir, chose hors de ta portée, petite chose ! »

Il éclata de rire et lui dit sur un ton toujours aussi posé :

« Le plus amusant dans l'histoire c'est qu'en attaquant cet endroit, c'est comme si tu t'en était pris à moi directement, et sache que je ne tolèrerai pas cela, je réunis le conseil dès cce soir et je demanderai ton bannisement, puis j'irai rappeler au clan en entier qui a déshonnoré son père en oubliant ce qu'il lui avait appris.

Ah, et pendant que j'y pense, merci, car si dès demain tu ne seras sans doute plus jamais dans mes pattes, aussi j'apprécie cet acte, nous verrons ce qui, de ta parole ou de la mienne vaut le plus, Bushichugi ! »

Oh, le titre de Chujo lui était toujours attribué, amsi il allait faire tout ce qu'il pouvait pour qu'eil en soit démis !

Arekushi s'arrêtait net, il écoutait les paroles insultantes de son oncle envers lui et envers son père... Quel amertume, on peut y déceler une certaine joie dans ce qu'il dit, comme si il voulait se défouler à travers moi... Arekushi était sans doute tout ce que pouvait détester hireisei en ce monde, mais si il répondait à cela, il ne lui rendrait service et il ne le voulait pas... Il se savait trop jeune et encore trop immature pour diriger le clan, c'était uniquement pour cela que mon oncle avait été choisi directement à la mort de mon père... Il en avait surement les compétences politique mais nullement guerrière!.

«Je suis le Chujo, chose que tu n'as jamais été, tu n'es que le remplacant provisoire...»

Arekushi reprenait son souffle et se calmait un peu... Son oncle le menaçait sur ces actes, il ne savait faire que ca, ce plaindre à autrui et ne pas agir lui même... quel lacheté pour ce régent... oui un régent il n'était rien d'autre, on l'avait mis la en attendant. Arekushi savait bien qu'il y avait des amis de son père dans le conseil et quoi qu'il puisse arriver, il s'en défendrait car ce n'était qu'une gaminerie, il allait pleurer à plus haut pour tenter une manoeure désespéré...

Arekushi tiquait ensuite sur les paroles d'Hireisei concernant son père... on pouvait y ressentir la une forte jalousie, surement du au fait que lui même n'a jamais été prioritaire envers son père et cela le rendait plus qu'amère...

«Mon père a fait avec moi, ce que son père a fait avec lui... Serais tu jaloux? Il est vrai que tu as toujours été le rejeté de la famille, même plus que moi, le batard comme tu m'appelles? Et pourtant je te surpasse dans l'ordre de succession. Tu as vu que j'ai été aimé par mon père, chose que tu n'as jamais connu car tu es et resteras le faible de ce clan... Tu peux aller pleurer au conseil, je n'en ai que faire, mon acte était justifié et ta parole ne pèse pas plus que la mienne vu ta quasi inexistance jusqu'à aujourd'hui!»

Il s'attaquait peut être a plus malin que lui, mais il savait bien que le conseil ne lui retirerait pas son titre de Chujo, quoi qu'il arrive les lois de nos clans étaient des plus clair... quand je serais en âge et désignait apte par le conseil je prendrai la place de mon oncle...