J'était chez moi, devant mon bureau entrain de lire un livre que j'avait sans doute déja lu. Je ne faisait que sa depuis un long moment. Enfaite, depuis que le village était lancé et tout, je n'avait RIEN fait. C'était sa le plus choquant je crois; moi qui avait été l'un des premier d emon clan à m'investir dans ce village. Je ne faisait plus rien. Quelque toute mission de temps en temps et c'est tout. Je ne 'mintéréssais même pas à la vie interne du village. A croire que je me me renfermais et que je devenais un ermite au sein d'un village. SI c'était pas ridicule. Ridicule et humilliant qui plus est. Si mon pére était toujour vivant, il serait vraiment déçus de ce que je faisait. Lui qui me prenait pour un prodige. Il devait ce retournait dans sa tombe et...


Je ferma le livre et me leva brutalement de ma chaise. Je me demandais ce qui me prenait de penser à ce type. Je me dégoutait moi même. Mais ce que j'en avait déduis n'était pas faux. Il était temps que je me bouge les fesse et pas qu'un peu. C'était comme si le monde avait évoluer sans moi et il était temps que je me bouge aussi. Le reste du monde n'allait pas m'attende et j'ai du prendre un sacré gros retard.

Rapidement vétue, je m'appreter à sortir à la recherche d'une mission quand je me rendis compte que j'allais faire quelque chose de totalement absurde. Après tout le temps que j'ai passer à tirer au flan, comme aurais dis mon pére, il y avait peu de chance que l'on me donne quelque chose n'y que l'on me fasse confiance. Quelqu'un qui s'isole de jour au lendemain, c'est un peu louche. Même pour moi. Nan il faut que je montre que je veuille m'appliquer au sein du village. Pas comme je l'avait fait au début nan. Sérieusement, même si il fallait que je renonçe à ce que je suis et que je me comporte comme un"petit chien obeissant". Cela me répugnait mais je prenais sur moi. C'était un sacrifice néccessaire.


Je soupira à cette réflexion avant de m'aventurer dehors. Le ciel était plutôt nuageux et me donnait envie de rentre immédiatement mais il était trop tard pour un retour en arriére à ne rien faire. J'essayer de m'en persuader.

Marchant dans la rue, je me demandais ce que j'allais bien pouvoir faire. Je savait déja que je pouvais pas aller chercher une mission comme sa. J'était sans aucun doute au bas de l'organisation millitaire du village et il me faut avant tout que je montre de quoi je suis capable pour ésperer monter en grade. La solution était donc de faire parler de moi mais c'était un peu difficile sans faire de mission plutôt dangereuse. Dans mon cas, c'était mission impossible. nan il vallait mieu prendre une valeur sur. Il me faudrait un coup de pouce et je supposais connaitre une personne qui pourrait m'aider. L'oyabun. Bon, c'était sans doute mal placé de ma part de me présenter à lui après mettre isoler et n'avoir même pas dénier participer à l'investiture de la nouvelle Saiki-komon malgré l'invitation que j'avais reçu. Eh puis zut, je n'avait rien à perdre de toute façon sauf, avec une très faible probabilité, d'y laisser des plumes si je puis dire.

C'est donc ainsi que d'un pas assuré, mais néanmoin légérement hésitant, je l'était fait annoncer à la demeur de l'Oyabun de clan Kishin.

Spoiler:

Reido attendait dans le hall de la maison familiale de l'Oyabun. Plutôt grande, la maison était néanmoins sobre et dénuée de meubles superflues. Un portrait de la défunte fille de Sasori trônait sur l'un des murs, mais cela était bien tout.
Au bout de plusieurs minutes d'attente seul dans la pièce, Sasori pénétra dans la pièce. Il arborait une serviette nouée à la taille et se séchait les cheveux avec une autre. Son torse, relativement musclé, était couvert de quelques cicatrices et surtout de très nombreux tatouages représentant divers symboles du clan, ainsi qu'une scène représentant un scorpion rampant dans un champ de cerisier...
Comme à son habitude, l'Oyabun semble de bonne humeur, et un sourire barre son visage mal rasé alors qu'il salue chaleureusement le membre de son clan.

Reido, vieille crapule, qu'est ce que tu viens faire chez moi ? ça f'sait une paye qu'on t'avait plus vu, qu'est ce que tu foutais ? Tu jouais les ermites ?

S'en suivit une tape amicale dans le dos du jeune ninja pour l'inviter à s'assoir à une table où se trouvait un service à thé. Sasori se servit une tasse, ainsi qu'à Reido, avant de s'installer face à lui.

Tiens prends un thé mon ami. On a parlé de toi y'a pas longtemps, avec Yushimo. Tu sais, cette mission qu'on avait fait quand t'étais gamin, pendant la guerre des clans. T'avais assuré ce jour là ! J'ai tout de suite su que t'étais destiné à dev'nir un sacré ninja. Alors, bon, qu'est ce qui t'amène chez moi, mon ami ?

Le ton était résolument cordial. Reido savait, pour bien connaître l'Oyabun, qu'il était un homme réellement sympathique et soucieux du bien-être de son clan. Mais il savait également qu'il pouvait être un adversaire impitoyable, et que ceux qui s'étaient opposés à lui n'en était que rarement sorti indemne...