× Resté coincé ...

Alors que, au dessus la Bulle Protectrice de Kiri, le soleil commençait lentement à ce lever, j'étais déjà debout. Je m'étais levé tôt aujourd'hui parce que Kiri s'en allait en guerre. En effet, quelques jours auparavant, Mesaki et son groupe étaient revenus de Konoha avec un cadeau pour le MizuKage. Enfermé dans un sac en toile, il lui avait rapporté la tête du Leader de Konoha. Un type, disait-on, avec un regard encore expressif malgré sa mort. Mais, cette action avait été vécu comme une déclaration de guerre par Konoha et le MizuKage, dans son extrême intelligence, avait ordonné une attaque contre ce peuple d'humain qu'il jugeait affaiblit et trop primitif pour pouvoir se réorganiser sans chef. Ainsi, il avait demandé à tous les guerres de Kiri qui ne faisait pas parti de son armé de se réunir aux premières lueurs du jours. Et, rentrant totalement dans la catégorie, je dépêchais de finir de me préparer. Après tout, c'était enfin le moment pour moi de sortir de l'ombre et de révéler au grand jour mes capacités. Ainsi, une fois prêt, je me mis en route vers le Palais du MizuKage puisque c'était-là bas que je devais retrouvé le reste des hommes-poissons et autres Ken'Ketsu afin d'intégrer la nouvelle armé de conquête du nouveau Royaume de l'eau. L'empire de l'Eau était en marche.

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« Je serais bientôt un super combattant de ce village, sans age, alors vas-t-en Sinon tu vas morfler et saigner sous mes nombreux coups de pieds... »

J'étais enfin arrivé aux pieds du Palais. De nombreux Kiri-jin étaient présent et rassemblé. Et, tel du sang coagulé, il n'osait bouger de peur de se faire jeté. Heureusement pour eux, le MizuKage avait besoin de monde. Et, tout ceux en ce lieux rassemblé, furent désigné comme étant les Gardiens de Kiri. Et, la mission était simple. Nous devions attendre le retour du MizuKage et défendre Kiri en sont absence. Cette tâche n'était pas des plus compliqués mais, était la moins stimulante. En effet, nombres de mes compagnons d'infortune voulaient, au même titre de moi, aller combattre les humains de la surface. Mais, après s'être éclaircit la voix sur la foule, le MizuKage nous fis bien comprendre qu'il était impossible pour les nouveaux de partir en guerre maintenant. Et, il nous expliqua que si tout le monde partait vers la surface alors il serai aisé de prendre le Village. Ainsi, il nous confiait une tache tout de même importante. Déçu, je me mis à dire:

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« Combattre à vos côté, aurais été un honneur. Mais simplement, la porte, gardé, c'est vraiment l'horreur.. »

Cette petite réplique fut très peu apprécier puisque les gardes du MizuKage m'envoyèrent loin du palais. Ainsi, même ceux de ma propre race commençait à me rejeter. Moi et mon Art. J'étais vraiment mal né...

× Resté coincé ...

Alors que j'avais été refoulé par les gardes du MizuKage pour, ce qu'ils avaient appelés, un grave affront envers le MizuKage, je me retrouvais à présent dans les quartier bourgeois du district des Hommes-Poissons. Je n'avais pas l'habitude de me retrouver dans de tel quartier puisque mon Art y était mal vue. Il trouvais que mes chansons étaient trop rude pour leurs oreilles délicates. Cependant, je ne disais que la vérité dans mes textes. Sans détour. Sans emballage. Il n'y avait que la vérité. Et rien que ça. Mais, les autres hommes-poissons ne supportaient pas d'être jugé et critiqué par l'un des leurs. Surtout dans les quartiers riches. Alors, partout ou j'exprimait mon Art, je ne trouvais que bien peu de soutient.

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« Mon Art et ces textes me libères. Je me sent libre comme l'air, Après m'être exprimé en chanson, Que cela n'en déplaise au plus con. »

J'avais beau exprimé ma déception dans ces textes, je ne pouvais la contenir plus longtemps. J'avais envie de crier ma rage et mon amertume devant tout le monde. Mais, personne ne m'écouterais. Pire encore, on me ferais enfermé pour avoir tenu des propos infâmes et calomnieux envers le MizuKage, l'homme le plus respecter et le plus crains de Kiri. Ainsi, une nouvelle fois, je pris le chemin de ma maison avec des paroles inchantables plein la tête qui, une fois arrivé chez moi, je pourrons être couché sur la papier de peur, qu'un jour, quelqu'un me dénonce pour avoir proféré de tel dire sur notre Seigneur et Maître. Cependant, ce n'était pas le moment critiquer notre Kage. Il avaient prévu de se rendre à Konoha pour affronter les humains. Il fallait plus l'encourager que l'enfoncer. Soudain, frapper par l'inspiration, je me mis à courir jusqu'à chez moi. J'avais de quoi écrire

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« Ils marchaient, dos à la Mer, Ils avançaient, tel des bulldozer. Tuant & Massacrant tout les Passants Laissant derrière eux une mare de sang. Face aux autres guerriers, pourtant bien armé, Ils ne laissèrent que des tas de chaire ensanglanté Ils avançaient et tuaient à l'unisson, Nos camardes Hommes-Poissons »

Je fus alors interrompe par des cris dans la rue. Curieux de savoir ce qui regroupaient tans de monde, je me mis à ma fenêtre. Et, de ma position, je vis une drôle de scène. L'Armée de Kiri avançait, lentement, dans les rues. Acclamer par la population. Par toute la population. Vampire et Hommes-poissons criaient à l'unissons des encouragement pour leurs troupes. Pour que tous reviennes en vie. Mais, au fond d'eux tous savaient que beaucoup ne reviendraient pas...

× Resté coincé ...

Durant plusieurs minutes, ce fut le défilé. Tout les membres de cette expédition vers Konoha avait le droit à sa seconde de gloire. J'avais l'impression que tout le village c'était donné le mot et qu'il acclamait leurs nouveaux héros éphémère. Cependant, je ne me joignais pas à leurs applaudissement. Après tout, ils étaient en train d’applaudir de futur mort. De futur tombe. Ils applaudissaient leurs futur larmes. Et, bien malgré moi, de nouvelle rimes à ma chansons vinrent s'ajouter. Et, ce ne fut non pas en émotion que je me mis à écrire ces quelques vers.

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« Cependant au loin derrière eux, dans leurs doux et paisible Village natal, Nombres d'habitantes étaient bien malheureux Elle c'était séparer de ce qui leurs était vital. Pleurant les rivières et des océans Elle attendait, impatiente, le retour de leurs enfants Vivant, c'est ce qu'elle souhaitait mais Mort bientot ils seraient... »

Lorsque les cris et les applaudissements cessèrent, je compris que le Kage et ses guerriers étaient désormais parti et mis en route pour Konoha. Bientôt, mes écris seraient vrais et bientôt, je serais montré du doigt comme un chanteur annonçant le malheur. Et personne me soutiendra puisque je n'ai jamais été bien considéré. Mourir pour avoir dit la vérité. Voila qui semblait comique.

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« Partir ou Mourir. Il me faudra choisir. »

Je n'avais aucune envie de mourir. Surtout pas maintenant. Je n'étais même pas connu de mon village... Un chanteur mort sans avoir connu le succès... Une honte.