C'était il y a 2 ans, dans un lugubre bureau de Konoha, je me retrouvais seul avec une jeune femme. Je l'avais convoqué comme j'avais pu en convoquer d'autres lors de la semaine. D'après les rumeurs, cette femme et d'autres personnes auraient désertés lors de la Grande Guerre. Laissant ainsi les Mitsuna se débrouiller face aux forces de Konoha. Mes sources étaient fiables, les hommes sous les ordres de Ayane n'avaient pas constaté la présence de la plupart des Ken'Ketsu (dont la « chef »). Je m'exclamais :

- « Les Ken'Ketsu sont accusés de haute trahison. Officiellement, vous êtes Kirijins et pourtant, vous avez désertés lors de la guerre. J'ai pu discuter avec plusieurs d'entre vous, as-tu quelque chose à dire !? Clames-tu ton innocence ? »

Je me fichais des raisons. Ce que je voulais connaître, c'était la vérité. Avoir fait confiance à une vampire, cette idiotie était vraiment impardonnable. J'étais le chef des Mitsuna et mon crime était plus qu'impardonnable. Malheureusement, le passé était le passé et je n'y pouvais rien. Il était bien trop tard pour s'en vouloir. Je gardais donc la tête haute en attendant qu'elle parle. Allait-elle en rajouter ? Plusieurs d'entre eux n'avaient pas été capables de prononcer le moindre mot face à mes accusations. Deux gardes Neptuniens nous observaient, cette femme avait été la tueuse du Hokage, je ne devais me fier à ces handicaps.

Tout était fait pour nous impressionner dans cette salle d'interrogatoire, pour nous faire peur. Finalement, il n'était pas étonnant que des Ken'Ketsu hors d'état de cause se soient accusés à notre place. Sous la menace. Mais ils avaient beau brouiller les pistes avec de stupides aveux, les faits étaient là : Ayane était restée inaperçue sur le champ de bataille alors qu'elle était censée donner des ordres sur le front. Et puisque moi je constituais une menace dans l'opposition au régime, le rapprochement avait été vite fait. Si seulement ils étaient tous morts, torturés par les coups de bâtons de cette bande de bras-cassés konoha-jins. Enfin, ils avaient au moins eu Mesaki ! On ne le regrettera pas.

Le Mizukage conservait un ton très formel, comme s'il était loin, très loin de tout ce qu'il se passait ici. Lassé sans doute, à croire qu'il avait passer au crible la population Ken'Ketsu avant de penser à moi. Pourtant, je restais certaine qu'il me dépréciait particulièrement et qu'il ne lui manquait que quelques prétextes pour décréter qu'il faille me couper la tête. Mais en y réfléchissant deux secondes... Mesaki mort... Kiri n'affichait plus que deux grosses têtes à faire tomber. Tout d'abord lui, le leader des neptuniens. Et enfin, moi, l'un des grands protagonistes du complot pour l'assassinat du Hokage. Finalement, j'avais encore une utilité pour eux, c'est ce qui devait me sauver la peau ! Je me lançais alors dans quelques succintes explications, d'abord dans des termes au moins aussi formels que les siens :

« Ken'Ketsu Ayane a agit dans le seul but de me protéger. La perte récente de mes yeux me conduisait à une mort certaine. J'ai parlé de mes craintes à Ken'Ketsu Ayane, elle s'est laissée envahir par les sentiments, elle a flanché. Je l'ai influencé dans sa décision et je plaide coupable. Nous avons quitté le champ de bataille à deux : uniquement elle et moi. Personne d'autre ne doit être mis en cause ! [...] Vous savez monsieur, la survie d'un homme est la première de ses priorités. Mais peut-être n'êtes vous pas suffisamment humain pour comprendre ceci... » Terminais-je d'un ton évasif.

- « Humain !? Bien évidemment que je n'en suis pas un ! Je n'accepte pas le geste de Ayane ! »

Je violenta le mur le plus proche afin d'évacuer ma colère. Me comparer à un humain était un crime digne d'un monstre. Elle semblait faire sa maline, elle pensait vraiment m'être supérieure ? Je pourrais très bien la tuer sans que personne ne le sache mais, j'avais bien mieux en tête. Elle était aveugle, Ayane était ses yeux. À moi de crever sa dernière possibilité de voir. Je repris la parole :

- « Lors de cette guerre, Ayane aurait très bien pu te laisser à l'arrière au lieu de fuir avec toi. Elle a donc décidée de se cacher au lieu de combattre, telle est la vérité. Tu protèges cette traîtresse car, tu es toi-même une traîtresse ! Admets que Ayane est la seule coupable et que sa vie est de trop dans ce monde ! »

Elle n'allait pas le faire, elle allait le regretter. Je concentrerais ma haine sur elle, je me servirais de cette haine pour la rendre coupable. Nael, tu te crois supérieure ? Tu te trompes vulgaire vampire, tu es inférieure à une humaine. Si tu n'es plus capable de voir, c'est tout simplement que Dieu souhaite aveugle ! Tu détruis cette empire de par ton regard, je te crèverai les yeux ! Un sourire fit son apparition sur mon visage, les gardes toquèrent à la porte afin que les autres se préparent à agir au cas où. D'une terrible voix, je prix de nouveau la parole :

- « Consens-tu à ce que Ayane Ken'ketsu soit.... décapitée en public !? »

Spoiler:

Jusque là, j'étais pourtant restée très calme...
Je claquais mes mains brusquement contre la table.

« Je vais t'buter vermine !!! »

Je renversais la table au milieu de la pièce et les chaises en même temps, mais je n'eu pas le temps de choper cet enfoiré de sardine ; déjà des gardes m'avaient bloquée les bras et éloignée à distance respectable du chef neptunien. Je sentais que je ne controlais plus rien, que le sort d'Ayane ne dépendait plus de moi. Et à m'en rendre compte, je devenais folle de rage. Je remuais les épaules pour essayer de me dégager mais ma tentative fut veine, ces hommes avaient les bras plus costauds que moi. Je crachais au visage du kage, mais il était trop loin. Encore une fois hors d'atteinte... Mes saletés tombèrent sur le sol, comme une goutte de sang dans une mer de requin. La situation devenais risquée, il était temps de prendre ses ciques et ses claques et de s'en aller. Je dégageais un premier bras en faisait comprendre - d'un simple regard - au garde qui le tenait que je n'avais plus dans l'intention de sauter au cou de son boss.

« Maintenant, laissez-moi partir ! Si je n'peux plus voir, c'est que j'entend avec bien plus de raisonnance toute la connerie de votre race. Ahhh. Quel erreur d'avoir offert le privilège exclusif des humains à des animaux ! Le pouvoir de penser... »

- « SAISISSEZ-LA ET FOUTEZ-LA EN CAGE ! »

Le ton était clair et violent, je ne voulais plus d'elle ici. Les Kenketsu n'étaient que de vulgaires traîtres, ils ne méritaient pas la bienveillance du peuple Neptunien. Bien sûr, j'étais énervé mais, à quoi bon ? Le respect n'existait pas chez les traîtres. Je soupirais mélancoliquement, tant pis. Suite à ça, je dis d'une voix claire :

- « Et... Ayane sera tuée et sa tête tranchée. Tu n'y pourras strictement rien petite conne. »

Tel un persécuteur, je riais diaboliquement. Étais-je fou ? Sûrement, c'était normal de perdre le contrôle de son corps lors d'un extase profond et sincère. Enfin, je gagnais aussi contre les Kenketsu, je venais de vaincre les humains et maintenant, les vampires ! Le monde était à moi. Les gardes retirèrent la diablesse et l’emmenèrent dans son nouveau enfer. Deux jours après cette interrogatoire, Ayane fut tuée dans un lieu tenu secret. Son frère, Danno tenta de la venger en s'attaquant le jour-même au Mizukage mais, il fut vaincu et tué.

Flash back j etais dans le bureau d un uzumaki ki me torturais pour avoir des informations sur nos troupes militaires de anbus et etais present et me torturait a coup d epee l un etant kaguya sorti un de ses os et me le planta en plein bras haaaaaaaaa hurla je l un essaya le genjutsu mais n y parvient pas ces a ce moment kun denomee kinroji uzumaki arriva et pris son katana le planta dans mon dos m obligeant a parler tsss je prefere mourrir il m enfonce son katana et je meur surplace baigner dans un bain de sang