Akira arriva alors à l'orée de la forêt, elle resplendissait grâce aux petites gouttes de rosée dû au matin frais, ses couleurs s'épanouissait de l'émeraude à l'orang sanguin et le chant des oiseaux emplissait les oreilles du Yamanaka d'une symphonie merveilleuse.
Il traversa alors un petit bosquet et sui vit un chemin que très peu de gens connaissait, réservé presque exclusivement à son clan, et en tant que dernier survivant à son savoir il se devait de l'entretenir pour que les prochaines générations de Yamanaka puissent y venir révassaient ou écrire des poèmes comme Akira comptait faire, il arriva dans une clairière où un le ronronnement d'un cours d'eau proche tintait dans l'air et il s'assit sur un banc recouvert d'un liege épais.
Après l’Homme, après l’Homme,
Qui dira aux fleurs comment elles se nomment ?
Après l’Homme, après l’Homme,
quand aura passé l’heure de vie du dernier Homme.
Qui dira aux fleurs
combien elles sont belles ?
N’y aura de coeur
à battre pour elles.
Après l’Homme, après l’Homme,
que sera encore le mot “merveilleux” ?
Après l’Homme, après l’Homme,
quand le dernier des hommes aura vidé les lieux.
Qui dira de la Terre
Qu’elle est sans pareille
et que dans l’Univers
elle est fleur de Soleil ?
Après l’Homme, après l’Homme…
Viens-t’en donc pour lors,
viens-t’en donc l’ami,
et chantons encore
le jour d’aujourd’hui.
Se poème était dédié à cette nature qu'Akira considéré comme un être vivant à par entiere, et même plus complet que nous pauvres être humains car elle était fomé non de quelques afflux sanguins mais d'une multitude vie réunis et florissante.