≈ Le soleil se lève, une triste journée commence aujourd'hui pour moi, qui est orphelin depuis hier soir. Bien que j'aie 27 ans, le fait de perdre mes parents est une chose tragique, surtout par rapport à la manière dont ils ont été tué. Hier, dans la nuit, des bandits ce sont infiltré dans notre paisible village et ont mit le feu à nos fermes, pillant tout sur leurs passages, volant notre argent, nos récoltes et en violant nos femmes. Étant d'un naturel combattif, j'ai alors pris une fourche et j'ai accourus à la rescousse de notre pauvre village qui tombait en ruine, mais mon père m'en empêcha, m'expliquant la triste situation qui m'attendait si je franchissais la porte de la maison. J'ai donc serré les dents, frustré par la situation, pourquoi étions-nous si faible .. Je m'en voulais surtout car je me sentais comme l'homme du village, moi qui a toujours été reconnu pour mon physique durement développé aux fils des années à travailler sur la ferme de mes parents. De plus, comme j'étais considéré comme un être plus fort que les autres physiquement, je me sentais obligé d'intervenir. J'entendais des villageois crier mon nom, malgré que je ne sois personne, ils m'appelaient car j'étais leur seul et unique chance de survie. Suite à ces cris, je serrais de plus en plus le bâton de ma fourche, la rage montait à l'intérieur de moi. Décidé à ne pas rester là sans rien faire pendant que nos femmes se font violés et nos fermes volés, j'ai empoignés la poignée de porte et lorsque j'allais l'ouvrir pour accourir à la rescousses de mes voisins, je sentis un coup à l'arrière de ma tête, un violent coup. Ce dernier m'avait mit K.O, je m'étais étalé de tout mon long sur le plancher de ma petite maison de pierre dont le toit est recouvert de paille qui brûlait à cause des bandits. Mon père m'avait assommé pour ma protection, selon lui, je devais survivre, ce n'était même pas une question à se poser.

≈ Je suppose qu'il m'a transporté jusqu'à l'extérieur de la maison car je me suis réveillé dans notre charrette, recouvert de foin et une lettre m'expliquant la situation dans la poche de ma chemise de fermier. Je me suis donc pressé de retourné à mon village et j'ai constaté l'ampleur des dégâts et j'ai aperçus les cadavres de mes parents, qui avait perdu la vie comme tout le reste du village surement. Plus rien de notre paisible village n'existait. Frustré, j'en avais presque les larmes aux yeux. Dans la lettre que mon père m'a laissé, je retiens un passage plutôt intéressant où il me parle d'une rencontre avec mon oncle que je n'ai pas vu depuis mes cinq ans environs, pour développé un certain pouvoir que j'aurais à l'intérieur de moi, un pouvoir dont je ne connaissais pas l'existence encore mais qui s'avèrerait très utile dans ce monde. La lettre se termine sur une demande de mon père, qui me supplie d'utiliser ce pouvoir pour faire le bien autour de moi et contenir la paix pour que cesse des événements comme ce soir. Je suis donc rembarqué dans la charrette qui était tout ce qui me restait de mon ancienne vie et je me suis dirigé en direction de l'endroit indiqué par mon père dans la lettre, la maison de mon oncle. J'ai posé les yeux une dernière fois sur les décombres de mon ancien village, de mon ancienne vie, puis j'ai continué mon chemin vers une nouvelle vie, vers une quête de puissance sans fin pour ne pas que la mort de mes parents soit inutile.

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