¤ Mission douleur ¤

C'est généralement lorsque l'on est sur de soi, de ses capacités, que l'on commet des erreurs. De lourde erreur. Cependant, certaine fois, les erreurs que l'on commets vienne d'un manque de confiance en soi. Parfois même elle arrivent même si l'on a rien fait de mal. Et des erreurs, tout le monde en fait. Personne est à l'abri de ça... Personne !

Le Désert était devant moi. Sombre, froid et inhospitalier. Je l'avais souvent vu ainsi. Surtout lors de mes balades nocturne comme celle que je m'apprêtait à faire. En effet, j'aime ce désert et il me le rendait plutôt bien. Il ne m'avait jamais laisser mourir. Ni de faim, ni de soif. Et en cela, je respectais cette immensité désertique.

Je me mis en route. J'avais un long chemin à faire pour arriver jusque à ma destination. Je marchais, tranquillement, sur les Dunes de Sable du Désert du Pays du Vent. Je sentais, sous mes pieds bien reposé, les grains de sable roulé sous mes chaussures déparaillés. A chacun de mes pas, je sentais que mon corps s'enfonçait dans le sable puis en sortais. Cette sensation unique m'était familière. En effet, durant des années, j'avais poursuivie les criminelles de Suna dans ce Déserts. Tous les Renégats, les déserteurs et autre Brigands que l'on m'avais ordonné de tuer. Tous croyaient pouvoir m'échapper seulement je connaissais ce désert comme ma poche. Il était mien et je lui appartenait lorsque je m'aventurais sur ces Terres. Ainsi, lors de chacune de mes traques en ces lieux, j'avais réussi à les rattraper. Et, bien entendu, lorsqu'il ne ce laissait pas faire, j'avais du abreuvé le Sable de Désert assoiffé. Cependant, l'Espion que je poursuivait avait quelques heures d'avance et le Désert n'aurait peu être pas sa ration de Sang.

La nuit était maintenant presque arrivé à son terme. Et j'avais parcourut la quasi totalité de ce désert. Il ne me restai plus que quelques minutes avant d'arriver à la frontière avec le Pays de la Pluie. Ce pays, continuellement plongé sous des trombes d'eau, n'avait jamais ouvert ses frontières aux autres Pays et pour cause, il est en pleine guerre civile. Cependant, aucune autre information n'avait put être filtré. Personne ne savait qui était les bons et qui étaient les gentils. Une seul chose étaient sur. Des Ninjas circulaient de partout dans ce Pays. Mais, il fallait que je le traverse. Afin de rejoindre ce Ninja Espion. En effet, les traces ne semblaient pas s'arrêter dans ce Pays. J'étais maintenant en vue de la frontière. Et également en vu d'un groupe de Ninja. Cecui avait l'air de m'attendre comme si il avait été prévenu par une tierce personne. Peut-être par l'Espion, me dis je. Ainsi arriver devant eux, je les vis dégainer leurs armes Ninjas. Voulaient-ils vraiment ce battre. J'avais peur, pour eux, que oui. Prenant quatre Kunais en main, je me m'y a courir de plus en plus vite vers eux. Je pus ainsi éliminer les deux premiers Ninjas sans trop de difficulté. Cependant, il en restaient deux. Et l'un deux semblaient être le responsable de cette équipe. Je devait donc faire attention à cette homme. Mais, alors que je réfléchissait à une technique à adopter contre eux, je me rendit compte que le plus jeune des Ninjas se m'était a avancer vers moi. Soudain, je vis un faille dans sa garde. Et, presque naturellement, je m'y engouffra afin de lui hôter la vie. Il ne restais donc plus que le chef de cette défainte équipe. Ce dernier ce mis en position. Et avant même que je pus faire quoi que ce soit, se mit à foncer vers moi. Il réagissait comme ses élèves. Avec impulsivité. Activant mon Sharingan, je pus lire ses mouvements et esquiver la totalité de ses attaques. C'est alors que je me mis à contre - attaquer. Ce pendant, toute mes attaques restaient veine. Il possédait une telle maitrise du TaiJutsu que mes coup ne passait pas. Soudain, je me souvint d'une techniques efficace dans ce genre de situation. Composant les signes de cette attaques, je mis a visualiser mon attaque. Ce Trou de verre qui tuait en absorbant les membres des Ninjas que je visait. Ce fut donc ainsi que je tua le Ninja devant moi. Ou presque. En effet il n'eut que bras droit d'arracher. Je dut donc employer de nouveau cette technique pour en venir à bout. Ce fois-ci, ce fut la tête qui fut aspiré. J'entendis ses cris de douleur lorsqu'il compris que ca tête allais être aspiré. Puis, plus rien. Aucun bruit. Le seul bruit était ma respiration haletante. Plus rien ne se dressait entre moi et ma cible. Cette espion allait mourir...