Je traversais les larges et longues rues de mon village. Le quartier d'habitations était très strict, la plupart des gosses étaient déjà au lit. Mon règlement était fait pour que la nuit appartienne aux ninja et non aux civils, c'était vrais quoi, il fallait pas abuser .. Les shinobi travaillaient trop le jour, c'était pour ça que le loisir de la nuit devait appartenir à cette élite. Cependant, les quelques culottes trouvaient sur la route restait dans mon esprit, non ce n'était pas une histoire d'attirance mais plutôt de méfiance. Depuis que j'avais eu cette vision, je me sentais observé et traqué, n'était ce pas étrange ? Mais, vu l'heure je mettais ça sur le compte de la fatigue. Je ne pouvais pas divaguer et perdre mon temps à me prendre la tête avec un adversaire invisible. Tout ça serait une fois de plus une perte de temps. La chose qui était étrange c'est que je commençais à attendre des bruits de jouissance, ils étaient légers mais inquiétants, de plus la voix était un mélange de féminin et de masculin .. Étrange ! Après quelques minutes de marche, j'arrivais enfin dans la dernière ruelle mais lors de ma traversé, une homme fit son apparition et se mettait à dire :

Mmmmm, habituellement je ne viole que les jeunes demoiselles mais toi, tu me donnes de pulsions incontrôlables ! Tu sais ce que je vais faire de toi ? Tu devrais t'en douter hihihi ! Cependant, il ne faut pas avoir peur, tu vas aimer. "

C'était donc un détraqué sexuel qui me suivait, j'avais vraiment pas de chance, je me promenais et il fallait que je tombe sur le plus gros cas social du village. Oui, je connaissais cet homme, ou plutôt ce rien ! C'est une personne qui était naît sans sexe et à cause de cette accident il était du genre à dire qu'il était un violeur. Le pire c'était qu'il simulait toujours des orgasmes, c'était stupide mais je n'aurais jamais pensé qu'il ne me reconnaisse pas. Je passais donc à côté de lui sans rien dire, celui-ci semblait énervé de mon acte, il se mettait donc à me suivre. Très vite, il glissait sa main dans son pantalon tout en glissant quelques phrases obscènes, ce type était vraiment malade. Je m'inquiétais vraiment de son état mentale mais bon, je ne pouvais pas prendre le temps de le ramener à son pensionnat. J'arrivais enfin devant l'usine, c'est à ce moment que le DS (Détraqué Sexuel) se jetait sur moi, bien sûr je l'évitais très facilement et il se rétamait donc au sol.