La faire repeindre une partie des murs avec un ... petit pinceau ? C'était une blague ! Son ardeur et son entousiasme retombèrent d'un coup. Cependant, elle ne laissa rien paraitre, Ryusuke devait guetter une réaction, et elle n'allait pas lui laisser le plaisir de la voir ainsi déçue. Mais, il devait bien avoir une raison à cela, non ? Sayuri se fit une raison, et son entrain revint un peu. Après tout, la jeune femme adorait progresser petit à petit.

La jeune femme suivit Ryusuke lorsqu'il arrivèrent de nouveau à la Cité Inter-Clanique, et la porte métallique se referma sans bruit derrière eux. Le Shodaime Kazekage venait de lui poser une curieuse question, et elle ne savait que répondre. Ainsi, elle le regardait étrangement ? Peut-être, elle ne s'en rendait pas vraiment compte. Mais il fallait lui fournir une réponse, bien qu'elle ne savait pas quoi. Sayuri respectait cet homme et l'admirait. Son parcours était bien rempli déjà, et tout les Shinobis de ce monde connaissait son nom ! Oui, son évolution et sa montée en puissance au cours des six dernières années avaient été parfaitement remarquable. A cet instant, la jeune femme se souvint de la promesse que Ryusuke lui avait faite lors de leur première rencontre, six ans auparavant, et, il l'avait presque accomplie en définitive. De plus, il avait un petit "truc", quelque chose que les autres Shinobis qu'elle avait pu rencontrer n'avait pas.
Ils arrivèrent dans une salle assez spacieuse. Sayuri ne regarda pas où ils se trouvèrent, elle réfléchissait toujours. D'une voix assez calme, Sayuri s'exprima tranquillement, optant pour la sincérité :

" Il ne me semble pas t'avoir déjà regarder de façon bizarre. "

Une réponse évasive certes, mais véridique. Une tout autre réponse aurait été mensonge.

" Et maintenant ? "

Peindre. Ou plutôt, repeindre. Telle était sa mission aujourd'hui.
Sayuri s'était levée à une heure normale, c'est à dire très tôt pour elle, et après s'être habillée, la jeune femme était partie pour l'endroit que lui avait indiquer Ryusuke.

C'était sa première mission ici, depuis qu'elle était arrivée à la Cité Inter-Clanique, et celle-ci lui semblait bien ingrate, car en arrivant au lieu où elle devait aller, ce qu'elle remarqua en tout premier lieu, ce fût le mur, qui était dans un sale état pour être honnête. Des bandes entières de peinture jonchait le sol, et les seuls endroit où il en restait étaient écaillés et sales. Ce qu'elle remarqua ensuite, c'était Ryusuke, qui l'attendait apparemment. Elle fit abstraction de ses yeux qui lui semblaient légèrement moqueurs, et le salua d'un sourire ravageur, décidée à ne pas se démonter.

Sayuri se debarassa de la lourde cape qui lui couvrait habituellement le dos pour ne pas l'abimer. Ses yeux n'était ni bleus, ni gris, mais un curieux mélange des deux. La jeune femme se rapprocha de nouveau de Ryusuke et lui demanda d'une voix calme :

" Où pourrais-je trouver de quoi ... repeindre ce mur ?"

<< Une mission ridicule ::

- " Tu dois apprendre à observer, regarde à tes pieds jeune femme... Ce pinceau semble petit et pourtant il est ton ustensile ... "



C'était sévère mais réel, je devais lui montrer le fait qu'elle n'était rien et qu'elle ne pouvait rien contre les plus forts. Le seul moyen de pouvoir était de prendre du pouvoir mais.. à tout moment, le puissant pourrait s'en rendre compte et tuer le faible. Il fallait donc agir tel un serpent, être silencieux et approcher telle une vipère pour tuer le puissant lors d'un moment de faiblesse. Oui, suivre ce nindo revenait à dire que vous étiez lâche mais, était-ce une chose terrible ? Non, le regard des autres était secondaire, le plus important était d'augmenter ses capacités. Au fil des années, des mois ou même des jours, j'étais devenu un être puissant et important ! Comment ? En suivant cette façon de faire. J'avais laissé de côté mes buts afin de devenir suffisamment fort pour les accomplir.

Je regardais la demoiselle avec un air moqueur. Non loin d'ici, il y avait des gros pinceaux q'elle avait sûrement croisée mais, elle n'avait pas le droit de les utiliser. Bien que cette vue était importante, Yami était plus apte que moi à s'occuper de jeunes en apprentissage. J'allais donc me retirer afin de peaufiner les derniers préparatifs. Ichibi, Nibi et Sanbi, vous êtes les trois premiers mais sûrement pas les deniers ! Ainsi, je devais revoir mes plans afin de m'adapter à cette situation. Je n'avais pas suffisamment prévus et j'en étais handicapé. D'une voix assez calme je me mis à dire :


- " Sayu, c'est Yami qui va t'aider à partir de maintenant, j'ai décidé d'accomplir ton opération dans la soirée donc veille à effectuer cette mission avant ça. Ah.. Il faut penser à dormir aussi car tu dois être en forme pour l'opération. Tu as le temps de faire tout ça je pense.. "



Très lentement je partis de ce lieu afin de rejoindre l'armurerie. Sur place, je me mis à dresser l'inventaire afin de l'afficher. C'était important car si quelqu'un avait besoin d'une arme, je serais là pour lui donner.




[Hin Hin, Hum, tu ne peux accomplir qu'une mission par jour, donc dès que tu auras un peu RP avec Yami, rejoins-moi.]

Cela faisait tellement de temps que je n'avais pas eu d'élève, j'en avais eu un il y a quelque temps mais il avait vite disparu. La plupart des jeunes ninjas étaient plein d'espoir et de rêves mais dès qu'ils croisaient la dure réalité il fuyait ce monde. La réalité était dure sertes mais elle pouvait contrairement a l'idéal être modifié. Un ninja pouvait dès sa naissance voire la réalité, voire qu'elle est dure, mais avec de l'entrainement et de la conviction, l'on pouvait changé cet réalité. L'on pouvait devenir fort et changé le monde. C'est ce que Ryusuke voulait faire. L'on était certes une équipe assez petite, l'on était que trois, il y avait mon Maitre Ryusuke mais aussi une jeune femme de Kiri se nommant Sayuri. Ma "mission" était de l'entrainé pour que cet jeune femme devienne assez forte. Je voulais l'entrainer pour qu'elle plaise a Ryusuke, pour que Ryusuke soit fier d'elle mais aussi de moi. La fierté était quelque chose de très important. Je me levais comme d'habitude assez tôt pour manger, j'avais souvent faim, ma bouche n'en était pas mécontente. Après ce bon repas que j'avais fait moi même, en effet depuis que j'étais devenu le majordome de Ryusuke je m'étais amélioré en cuisine et dans diverses tache de la vie courante, je me dépêchais de me rendre a l'endroit ou Sayuri devait effectuer sa mission. J'étais vêtu de l'habit que je portais lorsque je travaillais a Suna. Je le gardais en souvenir, je ne devais jamais oublié qu'avant je n'étais pas plus fort que Sayuri par exemple. J'arrivais dans une salle assez spacieuse mais qui n'avait pas su résister a la pire chose qui existe, le temps. La peinture était tout écaillé, le seul moyen pour lui redonner sa beauté d'avant était de la repeindre. Cet mission était bien sur pour Sayuri, j'observais et je voyais qu'elle avait comme seul atout un petit pinceau. Ryusuke était ingénieux, il voulait lui montrer que avec la plus petite arme, si on a la volonté, on pourra tout faire avec. Je m'approchais doucement de la jeune femme et je déposais ma main sur son épaule puis je me mettais a son niveau. Après tout l'on avait surement le même age, elle était peut être même plus vielle que moi, je n'avais que 14 ans après tout:
"Tu sais, Ryusuke t'a donné un si petit pinceau pour t'apprendre la plus grande leçon qu'il existe, un ninja doit savoir se servir de tout ce qu'il a, même avec la plus petite arme au monde, un ninja avec de la conviction et de l'envie pourra faire des ravages. Ce pinceau est certes petit, mais tu peux si tu en a envie, peindre tout la pièce. Néanmoins il y a aussi un autre moyen, depuis notre début dans ce monde l'on est dans l'ombre de quelqu'un de plus puissant. Comme le poisson connu sous le nom de Shaameda qui a l'habitude de parasiter un poisson pour se nourrir en même temps que lui. Il faut être lâche dans la vie, c'est le seul moyen de survivre. Tu a le choix, soit être un gentil soit être un méchant. Beaucoup de personne disent que l'on peut être au milieu mais c'est faux. Je vais t'aider, mais avant j'aimerais en savoir plus sur toi."

Sayuri observa calmement Yami, qui se trouvait devant elle. Les paroles qui venait de prononcer étaient pleines de sagesse, et la Konoichi avait été loin de penser que Yami, le jeune homme qu'elle cotoyait depuis à présent trois mois et avec qui elle n'avait jamais eu de véritable conversation, puisse en faire autant preuve. Si elle avait bien compris, il avait été (L'était-il toujours ?) le majordome de Ryusuke. Il devait donc le connaitre depuis des années ... Plongeant un instant ses grands yeux gris perle dans ceux de Yami, Sayuri prit la parole :

" Comme tu le sais, je m'appelle Sayuri, Sayuri Ishikura. Je viens du village de Kiri, où j'ai vécu durant six années. J'ai rencontrer Ryusuke il y a six ans, j'avais 12 ans à l'époque. A cette époque, je m'étais enfuie de ma famille adoptive, à Konoha. Je suis tombée sur Ryusuke, qui m'as sauvée de ceux qui me traquaient et à éliminer ceux qui le poursuivait également. Blessé, je l'ai soigné, et nous nous sommes retrouvés il y a trois mois, où je lui ai demander de rejoindre son organisation. "

Tout en parlant, la jeune femme, déterminée, avait pris en main son minuscule pinceau, bien décidée à accomplir sa mission, aussi ingrate qu'elle soit. Tout en ouvrant un pot de peinture, Sayuri attendait une réaction de Yami. La jeune femme avait fait un bref résumé, mais il allait à l'essentiel. En effet, Sayuri avait horreur des paroles superflues, préférant les phrases franches et directes.

Jetant un coup d'œil au mur qu'elle devait repreindre, la jeune femme réalisa qu'elle ne pouvait attaquer directement avec la peinture. Il était indispensable de tirer la peinture écaillée ! Avec un léger soupir, la Kunoichi prit une espèce de feuille rapeuse posée sur le sol, et commença par la gauche. Avec des gestes rapides et précis, Sayuri commença à faire tomber les restes de peinture sale sur le sol, attendant que Yami prenne la parole.

Je regardais la femme en souriant, j'étais donc le plus jeune membre de la cité. Je n'étais qu'un gamin comparé a eux, certes j'avais le corps d'un enfant de 14 ans mais j'étais aussi sage qu'un vielle-homme. Elle connaissait donc Ryusuke depuis longtemps, Ryusuke l'avait aussi sauvé d'une mort certaine, comme pour moi. L'on pouvait dire ce que l'on voulait a propos de Ryusuke mais il était quelqu'un qui sauvait les autres, il ne voulait pas le montrer mais au fond de lui c'était quelqu'un de bon. La jeune femme attendait surement une réponse de ma part, je souriais doucement et commençais a conté mon histoire:
"Je m'appelle Yami Funchiku, j'ai 14 ans. Mon nom m'a été donné par Ryusuke, je l'ai rencontré il y a quelque année alors que j'étais déjà un meurtrier, je n'avais rien a mangé et je mangeais donc des êtres humains. Je sais c'est horrible, mais la faim était forte. Il m'a recueillis, ma nourris et m'a ensuite nommé en tant que son majordome. J'ai donc décidé en remerciement de le suivre dans toute ses aventures, c'est la seule chose que je puisse faire pour l'aider. J'ai fait de nombreuses gaffe dans ma vie mais j'ai toujours su me rattraper. Je voue une haine certaine envers la Hokage. J'ai aussi quelque chose en plus, je vous montrerez une autre fois. Maintenant commençons."
Je regardais la jeune femme et je commençais a mon tour à enlever la peinture écaillé, je l'enlevais doucement, il fallait prendre son temps et faire attention a tout. Après avoir fait ça, je prenais le petit pinceau et je commençais a peindre en compagnie de la jeune femme.Elle était assez belle.

Ainsi, Yami était sensé l'aider dans sa tâche ... Bizarrement, Sayuri, n'avait pas tellement envie qu'il le fasse ! Pourquoi ? Parce que n'aurait pas l'impression de la réussir dans son ensemble ... enfin bref, il était là, il l'aidait, et ils finiront plus vite par la même occasion.

Le jeune Yami avait un passé plutôt intéressant, quoique un peu triste. Manger des êtres humains pour apaiser sa faim, c'était bouleversant ... Mais la jeune femme n'en montra rien, préférant se concentrer sur la "mission" qu'ils devaient accomplir. Chose plutôt surprenante, Sayuri reprit la parole pour essayer de meubler la conversation :

" Ainsi, tu hais la Hokage ... Pourquoi ? "

La haine est un sentiment engendré par un autre : honte, souffrance ... Que la Hokage avait-elle fait pour que Yami la déteste à ce point ?
Soudain, elle se rappela sa conversation avec Ryusuke la veille, et la proposition qu'il lui avait fait. Si elle n'avait pas accepter de se faire greffer les Byakugans, ils auraient été à Yami. Le jour où il serais mis en courant (il finirais bien par le voir, ou le savoir ...), lui en voudrais-t'il ?

Le mur était enfin propre. Plus aucune trace de l'ancienne peinture ne subsistait, et il n'attendais qu'à en recevoir une nouvelle fois. Sayuri ouvrit deux pots de peinture et en donna un à son coéquipier, accompagné d'un semblant de sourire. Elle se demanda un instant pourquoi lui aussi devait le faire avec un petit pinceau, mais elle chassa vite cette pensée. La Kunoichi plongea son minuscule pinceau dans le pot, et commença, déterminée, à essayer de recouvrir le mur vierge.

Elle me demandait la raison de ma haine, peu de personne savait que je voulais tuer l'hokage, elle était vu par beaucoup de monde comme une femme douce et aimante. Une belle femme que tout les hommes voulaient avoir dans leurs lit, ou même pour quelque temps dans leur bras. Pourtant, je la détestais. Je regardais Sayuri et je serrais mon pinceau tout en continuant de peindre. Je sentais le bois du pinceau se cassait doucement, je sentais les échardes entrait dans ma main, je sentais le sang couler doucement sur mon bras:
"Elle m'a traiter de monstre, je ne suis pas un monstre. Je ne suis surtout pas un monstre! Elle m'a ridiculisé devant Maitre mais elle a aussi eu l'outrecuidance de m'apposer un sceau pour m'empêcher de divulguer des informations sur le village caché de la feuille. Je ne peux lui pardonner ce qu'elle a fait, elle me considère comme un monstre, mais elle ne vaut pas mieux que moi. Elle se sert de ses attributs féminin pour distraire les autres hommes, c'est une façon horrible. Ce n'est qu'une catin. Je veux me venger d'elle, la tuer, lui montrer que je ne suis pas un monstre! JE NE SUIS PAS UN PUTAIN DE MONSTRE!"
Mon visage s'était crispée dans une mimique assez effrayante, je ne rigolais pas lorsque l'on m'insultait de monstre, surtout pas. Je transformais cet mimique en un doux sourire, je préférais montrer un sourire qu'un visage effrayant. Il fallait mieux portait dans ce monde un masque que de montrer ses réelles intention. Je continuais mon travail, nous aurions a ce rythme, bientôt terminer. Ce n'étais qu'une mission banale pour moi mais elle serait utile pour Sayuri. Bientôt elle serait assez forte pour faire de vrai mission avec moi.

La Hokage, Nakurama Hyuga, l'avait traité de monstre ? Sayuri ne comprenait absolument pas. Yami, au contraire, lui paressait ... tellement humain.
A présent, la Kunoichi le comprenait, elle ressentait sa peine. Non, le jeune Yami n'était pas un monstre, elle le savait. Et d'après ce qu'elle avait compris sur son passé, il ne méritait vraiment pas cela.

Plongée dans ses réflexions, Sayuri continuait de peindre le mur en face d'elle. C'était une tâche longue et fastidieuse, mais la jeune femme essayait de s'appliquer. Ses coups de pinceaux étaient rapides et précis. C'était une des qualités de Sayuri : elle était méticuleuse, à la limite de perfectionniste, car elle aimait lorsque les choses étaient bien faites et bien finies.

Bien que la petitesse du pinceau qu'elle tenait l'agacait et poussait sa patience à son extrême limite, la jeune femme continuait de repeindre sans broncher. Elle voulait montrer que malgré son caractère et sa façon d'être, elle savait tout de même se plier aux ordres et aux tâches qu'on pouvait lui demander. Soudain, elle comprit le véritable but de cette mission : elle servait principalement à lui inculquer la discipline ! ...... Paraissait-elle si difficile que cela ?

Une heure, puis deux heures passèrent, et Sayuri procédait méthodiquement et rapidement, tout comme Yami. Le silence s'étirait depuis la dernière intervention de Yami, mais cela ne dérangeait aucunement Sayuri, qui préférait le calme du silence aux blablateries inutiles. De plus, cela lui permettait un peu de réfléchir à ses derniers mois.

A un moment, le pinceau de Yami et celui de Sayuri se rejoignirent. La jeune femme releva la tête, puis étira son épaule endolorie. Ils avaient finis ! Leur mission leur avait pris environ trois heures, ce qui était tout à fait raisonnable quand on remarquait la taille du mur.
Histoire de bien finir, la jeune femme tira les derniers morceaux de peinture séchée sur le sol, puis, elle s'autorisa un petit sourire.

L'on finissait assez rapidement le travail, peu a peu le mur se couvrait d'une belle teinte blanche. Un blanc immaculée, pure comme un enfant qui née. Le blanc représentait dans la culture populaire la pureté, en effet les enfants lors de leur naissance étaient entouré d'un vêtement blanc, même au mariage les femmes vierges étaient habillé d'une robe blanche. Ce mur était d'une pureté éblouissante. Je regardais le mur doucement et je souriais. Ce mur était pure. L'on avait finit notre travail après trois heure de boulot, j'étais assez heureux d'avoir finis, j'étais sur que Sayuri avait compris la leçon d'aujourd'hui. Bien sur cela avait pris trois heure mais elle avait surement compris le principal de la leçon. Je la regardais doucement et je déposais délicatement mon pinceau sur le sol:
"C'est bien, tu as fait du bon travail, je pense que tu a compris la leçon d'aujourd'hui, chaque mission que tu fera t'apprendra une certaine morale, tout ce que tu fera influera sur ton futur. Il n'y a pas de destin, tout peu changer d'un claquement de main, le plus puissant peut se retrouver au 36ème dessous tandis que le plus faible peu avec de l'entrainement devenir puissant. Il faut juste de la détermination et de l'envie. Aurvoir Sayuri"
Je devais m'en aller pour m'entrainer. Je souriais doucement a la jeune femme et je m'en allais. Je devais devenir plus fort, être plus puissant, montrer a Nakurama que je n'étais pas un monstre, un monstre n'était pas conscient de ce qu'il faisait, j'étais conscient de ce que je faisais, j'allais tuer la Hokage. Je jetais un dernier regard a Sayuri et je lui lançais un sourire.