Yami venait de se réveiller sur une table d‘opération, son bras devant ses yeux, il ouvrit les yeux et vit le plafond d’un hôpital, étrange d’après ces souvenirs, il n’a pas été blessé récemment. C’est en se redressant qu’il comprit le pourquoi de la chose, il se souvint que Tama, l’invocation de Nakurama Hyuuga lui avait fait un rapide tour de la ville, après lui avoir montré ou étais sa chambre et la salle inoccupée de l’hôpital dans les sous-sols, il disparut lui disant qu’il avait d’autre priorités. Le marionnettiste avait posé ces affaires dans la chambres que la hokagé lui avait cédé, après de quoi, il étais directement allé dans son nouvel atelier pour y installé son matériel, après quoi, il décidât de dormir ici, rangeant le bras de pantins qui lui servait d’oreiller, il se levât et enfilât son haut après son pantalon, ensuite de quoi, il sortit pour visité ce village, après tout, il allait resté ici pour un moment, alors autant essayer de bien s’entendre avec la populace.

Dans les rue de Konocha, un manchot avec deux pantins dans le dos se promenait, il cherchât un endroit sympathique pour déjeuné, il s’était levé tard à cause de sa nuit et il commençait à avoir faim, après un petit moment, il se souvint que sa nouvelle supérieur provisoire lui avait recommandé un restaurant qui se nommer chez Ichiraku, comme Tama lui avait montré ou se trouvait la petite gargote, il y fit un tour par curiosité. Après s’être installé, le cuisinier l’interpellât:

-bonjour cher client, qu’es que vous prenait?

-votre hokagé m’a recommandé votre restaurant alors…

-et elle à raison, vous ne trouverez pas de meilleur ramen dans tout le pays du feu!

-alors je vais prendre un bol standard pour commencer, histoire de vérifié vos dires et celle de nakurama-sama

-naku…euh ça marche.

Le cuisinier semblait surpris d’entendre une personne appelé leur chef de village par son prénom, peu importe le nombre de fois qu’il voyait leur mine surpris, cela le faisait toujours autant rire, à croire que les kagé étaient des dieux intouchables, alors que se sont justes des humains. Après avoir posé ces deux pantins conre le mur et commencé à attaqué le bol de nouille qu’on lui avait servis, il vit une personne s’asseoir à coté de lui, pris d’un de ces sottes d’humeur habituel, il fut pris d’un tempérament généreux:

-patron, vous servirez tout ce que cette personne veut, c’est moi qui offre.

Après quoi il se tournât vers son nouveau voisin sans même faire attention à qui il s’adressait:

-dites, ca vous dérange qu’on parle pendant qu’on mange, je n’ai pas souvent de la compagnie pendant mes repas.

Voyant qu'il s'adressait à sa nouveau employeur, il reprit:

-oh Nakurama-sama, comment allé vous? Votre compagnons à poil n'est pas la, dommage, je dois dire que j'aime bien cette bête.

Yami n'avait pas vraiment conscience qu'il manquait de respect à l'hokagé en l'appelant par son prénom, même si il utilisé un titre honorifique, il ne cherchait même pas à savoir comment elle allait réagir. Après quoi, il commendat un autre bon de ramen, finalement, il ne se vantait pas, ces nouilles étaient les meilleurs qu’il ait mangé depuis de nombreuses années.

L'hokage était dans une position bien étrange. A 4 pattes sous son bureau, une main désespéré cherchait un objet surement précieux en-dessous d'un petit meuble. Son visage était crispé et tout son corps semblait appelé ce qui était en fait, un simple papier. Lorsqu'enfin elle l'extirpa, tout froissé et tout moche, elle posa ses fesses à terre, soulagée. Elle le parcourut alors des yeux, comme si elle ne pouvait pas attendre de s'être assise normalement sur sa chaise. Au même moment, quelqu'un poussa timidement la porte. Bien sûr, il fallait toujours que quelqu'un vienne dans ce genre de situation ... Mais ce n'était pas un intrus timide, c'était un chat, ou plutôt LE chat qui entrait en bousculant la porte. Il ne fit qu'à peine attention à la jeune femme et fila directement se coucher. Nakurama n'avait qu'une envie c'était de crier : "la porte !", mais elle voulait aussi finir sa lecture ... Elle choisit donc cette seconde option puis finalement lâcha :

<< Bonjour quand même ... Et ferme-moi cette porte, fainéant ! >>

Elle n'eut pour réponse qu'un espèce de soupire fatigué. La jeune femme se leva donc et posa le précieux papier sur la table. Elle regarda ce que fichait ce maudit chat ... et vit que monsieur dormait sur le canapé. Lieu qu'il fréquentait un peu trop ces derniers temps au goût de Nakurama ! Cette dernière s'avança alors jusqu'au félin, puis se plaça à 50 cm de lui, les mains sur les hanches. Finalement, Tama ne put l'ignorer et miaula de sa voix aiguë :

<< Laisses-moi dormir enfin .... Tu me donnes sans arrêt des choses à faire, je suis épuisé moi ! Les chats ont besoin de beaucoup de sommeil. >>

Nakurama ne savait pas s'il se fichait d'elle ou s'il était sérieux. Elle ne l'envoyait jamais dans des missions périlleuses non plus ! Faire visiter la ville à quelqu'un, c'était si fatiguant ? L'Hokage fit une moue mécontente puis rétorqua :

<< Dis tout de suite que je te maltraite ! Humpf ! Allez, viens on va manger à la maison ... je vais te faire du poisson comme tu aimes ! >>

Elle lui gratouilla l'oreille de son chat, lui donnant un peu un air de maman gâteuse mais bon, elle n'était plus à ça prêt. Le chat se laissa un peu dorloté puis, à la grande surprise de la jeune femme, il répondit :

<< Mhh non je n'ai pas faim, mais Yami, l'homme que tu m'as dit de guider, mange à Ichiraku ce midi ... Tu peux aller avec lui si tu veux. Moi je vais faire une sieste. >>

Il était rare que Tama refuse de manger de la sorte, ce qui inquiéta un peu Nakurama ... Peut-être le surmenait-elle vraiment ?! Mais bon, la proposition de manger avec le farousha était intéressante, c'était le moment de faire mieux connaissance ...
L'Hokage prit le temps de se changer et de mettre une robe blanche qui lui tombait jusqu'au genoux. Ses bretelles se rejoignaient au niveau de la nuque, laissant apparaître son dos musclé. Ses cheveux étaient lâchés, simplement. Sa robe était donc presque "de plage", ne laissant pas entendre qu'elle était Hokage. Une fois revêtue de la sorte, la jeune femme quitta le bureau où ronflait déjà le jeune félin. D'un pas aérien, elle se rendit dans son restaurant préféré pour ce genre d'encas, Ichiraku. Lorsqu'elle y arriva, elle reconnus le manchot qui avait déjà son nez dans la soupe. Ne voulant pas le déranger, elle s'assit non loin de lui et commenda un bol de ramen au poulet. Immédiatement, la voix de son voisin s'éleva et Nakurama fut un peu surprise de la générosité de cet homme. Mais plutôt contente, elle lui fit un sourire du genre "merci" même si l'argent ne lui manquait pas pour ça. Il remarqua alors enfin que c'était bien Nakurama qui était là, et lui fit part de son affection envers Tama. Bien que ce dernier n'aurait pas aimé qu'on l'appelle "boule de poil", la jeune femme savait qu'il s'agissait d'un compliment et n'en fut pas moins flatté. C'était étrange, car Tama était plutôt du genre directe, tête de mule et casse pied ... Mais bon, tant mieux si pour une fois, il s'était bien comporté.

<< Bonjour Yami ! Non Tama n'est pas avec moi, il roupille comme un gros sac dans mon bureau ... De vrai flemmard ces chats ! >>

Elle éclata de son faible rire cristallin, puis prit une bouchée de ses nouilles. Elle était contente de voir que le ninja était encore parmi eux, ce qui signifiait probablement qu'il se sentait bien à Konoha. Semée d'un doute, elle demanda alors :

<< Alors, votre première impression sur Konoha est-elle bonne ? J'espère que Tama vous a montrer quelques lieux sympathiques et utile ... Ichiraku était la base, j'espère qu'il vous a également fait découvrir le terrain d'entrainement, notre délicieuse forêt, nos quartiers, l'académie et tout ça ? >>

Tandis qu'elle continuait de piocher dans son bol, elle lui adressa un sourire amical et l'écouta avec attention.

Yami n’avait pas tout de suite compris que cette femme étais la hokagé, il avait crut qu’il l’avait confondue avec Nakurama mais après l’avoir regardé plus en détail, c’étais bien elle, pourtant ces vêtements la changé énormément, cette rode légère et simple lui donné l’air d’une personne qui allait se détendre à la plage. Le jeune homme ne pouvait s’empêché de regardé les courbes de la Hyuuga, une peau qui paraissait être de la soie, de long cheveux qui dansait aux gré de la légère brise qui emplissait les rue par moment, un dos ferme digne d’un combattant, il est incroyable de voir comment un simple bout de tissue peut décuplé le charme d’une fille. Il était difficile de croire qu’elle était à la tête d’une armé de ninjas prêt à tout pour défendre leur volonté du feu, même si Yami n‘avait compris cette état d‘esprit qu‘il jugeait trop étriqué pour être vraiment mis en place. Après que son interlocutrice ait expliqué pourquoi son invocation n’étais pas la, elle émit un joli rire cristallin qui fascinait le marionnettiste, décidément, plus le temps passait, plus il aimait la compagnie de la hyuuga:

-Alors, votre première impression sur Konoha est-elle bonne ? J'espère que Tama vous a montrer quelques lieux sympathiques et utile ... Ichiraku était la base, j'espère qu'il vous a également fait découvrir le terrain d'entrainement, notre délicieuse forêt, nos quartiers, l'académie et tout ça ?

-oui, c’est un village sympa et votre invocation m‘a montré de bon endroits, même si il n‘a pas arrêté de me demandé comment j‘ai perdue mon bras et de mendié que je lui achète du saumon, je dois reconnaitre que j’aime passer du temps avec lui, au moins il ne prend pas de gants avec mon petit handicape. Pour le climat, il est nettement plus accueillant que dans les déserts de Suna, vous ne pouvez pas imaginez comme il est fatiguant d’arpenté un désert presque la moitié de l’année, quand on est gosse, on a envie de voir autre chose que du sable. Heureusement Oji-san m’avait autorisé à donné des spectacles, j’en avais marre de nettoyé les cages du cirque.

Tiens, pourquoi il raconté son passé à une femme qu’il connaissait à peine, Yami n’avait pas l’habitude de s’étendre sur sa vie, près tout ça regarde personne, mais il était vrai qu’il aimait avoir quelqu’un avec qui parlé, sur les routes, il avait rarement un humain avec qui papoté. Malheureusement, se rappelait du quotidien heureux qu’il avait vécu dans cette compagnie d’artiste ambulant fit remonté d’autre brides de mémoires bien moins réjouissant, quand il se rappelât le jour ou il avait perdue son bras gauche, il sentit ce même membre se manifestait de manières douloureuses. Il attrapât instinctivement sa manche vide avec une grimace, un peu inquiet, le chef qui tenait le restaurant de ramen demandât:

-dites, ca va, vous êtes tout pale tout à coup.

-ouais, ouais, vous en faite pas, c’est juste mon bras qui me fait mal, ca arrive quand… quand je pense à certaine choses.

Il faisait tout pour qu’on ne voit pas son visage crispé, il ne voulait pas se rappelé, du moins pas ici, durant un combat, ça l’aidait d’avoir une chose qui le motivait, mais ici, ce n’étais qu’un fardeau. Il crut voir quelque chose dans le regard de Nakurama, bien qu’il ne puisse le décrire.

Spoiler:

Hum, comme à son habitude Tama avait fait de petites "gaffes", mais c'était la compréhension et la non-susceptibilité de Yami qui l'avait sauvé. En essayant de prendre un air un peu honteux, Nakurama espérait excuser l'animal mal élevé. Mais la conversation vira à l'histoire du farousha lui-même, et elle ne semblait pas que être heureuse. Lorsqu'elle lui demanda s'il allait bien, sa réponse fut guerre convaincante.
Syndrome post-traumatique ... Très fréquent chez les gens amputés. La zone du cerveau dirigeant le membre concernée elle, est toujours présente. Ils peuvent ainsi ressentir encore la présence de leur membre. Certain malade ressentent leur dernière douleur à vie, et beaucoup d'étude sont centrés sur ce sujet. Intéressant.
La jeune femme avait soudain envie de savoir, de connaître mieux cet homme. Sans vraiment hésité, de sa franchise habituelle, elle lança :

<< Comment avez-vous perdu votre bras ? >>

Peut-être n'allait-il pas lui dire, mais Nakurama était une femme persuasive et, une fois prise de curiosité, elle allait jusqu'au bout. Elle lui fit un petit sourire encourageant, donnant l'effet d'une main amicale sur l'épaule.

<< Je peux vous aider à vous sentir mieux, Yami. Je suis ninja-médecin ... >>

Mais ça, il devait probablement le savoir. Après tout, Nakurama était connue comme Hyuga médicale très performante. Mais peut-être venait-il vraiment de très loin ? Néanmoins, la jeune femme proposa activement son aide. Cependant, elle savait qu'au fond, c'était plus une histoire de psychologie. Peut-être qu'en connaissant l'origine du mal-être, l'Hokage trouverais une solution ?

Spoiler: