C’était lui ou les gosses de Konoha tiraient tous la tronche? Sans doute que c’étais la deuxième option, la guerre avait frappé il y à peu et la plupart des enfants et jeunes adultes avait perdue un proche, un ami, un fils ou un parent, Yami savait que la folie des hommes pouvait être sans limites par moment, certain n’hésitaient pas à attaqué de pauvres artistes sans défense pour le seul objectif de les dépouillé du peu qu’ils avaient amassé dans leur vie. Ne supportant plus de resté la à ne rien faire, le marionnettiste décidât de faire quelque chose, voir ces visages déconfits le replongé dans son enfance le jour ou il avait perdue son sensei, il arborait alors la même expression, sortant un rouleau d’invocation de son manteau, il le déroulât sur le sol et fit sortir de nulle une scène de théâtre miniature de deux mètre de haut pour trois de large. Au milieu se trouvait cinq petits pantins que Yami commençât à faire bouger avec son kugetsu no jutsu:

-venez mesdames et messieurs, petit et grand, grand seigneurs ou humble roturiers, approchez et découvrais le spectacle de marionnette de votre modeste serviteur yami!

Ainsi, pendant un instant, il redevint le marionnettiste qui amusait la populace, utilisant son art à autre chose que la guerre, son corps dissimuler par un rideau noir étais derrière la scène, remuant ses doigts à travers une petite fenêtre dans le tissue. Les petits acteurs de bois commencèrent à conter un récit fabuleux, samouraïs, princesses et noble orchestrés en cœurs sur les planches, combats et humour se mélanger, faisant rires les enfants qui s’étais arrêté pour regardé se spectacle improvisé. Quand se fut fini, la scène disparut dans un nuage de fumée, le manchot vit alors que même quelques ninjas, debout derrières les enfants accroupis avait regardé le numéro, le furousha s’inclinât à la manière d’un comédien et dit qu’il refera un autre spectacle. La masse de gens partis, Yami sourit en voyant que la mine des enfants étais plus rayonnant que précédemment, au moins, pour un court instant, il avait oublié à quelle point se monde étais injuste.

Le lendemain de son petit spectacle improvisé, Yami avait reçus quelques encouragement venant de la plupart des enfants, la plupart ignorer qu’il étais shinobi errant et le prenait pour un saltimbanque de passage, si ils savaient que le kugetsu no jutu avait été mis au point pour le combat et non pour amuser les passant. Se promenant au hasard dans la ville, il finit par se retrouvé au même endroit qu’il avait joué son numéro, la se tenait une petite fille en kimono de soie sans doute très couteux, sa longue chevelure de la couleur de la foret verdoyante étais pour le moins voyante, elle semblait attendre quelque chose, un peu intrigué de voir une enfant seul en pleine ville il décidât de l’abordé:

-eh, petite, tu devrais pas resté la, tes parent vont s’inquiété tu sais, nom mais sérieux, ils pourrait faire gaffes à leur mômes, ces ninjas de konoha je vous jure!

-Mes parents ne sont pas des shinobis, ils sont des nobles, donc modère tes propos roturier! Sinon, j’ai entendue parlé d’un marionnettiste qui avait fait un spectacle ici, dis moi ou il est.

-*une noble hein? Bon sang que je déteste ces arrogants snobinards, allez sois diplomate Yami* je te le dirais si tu me dis ce que tu lui veux, peut-être.


-tss, bien, je suis venu voir son spectacle, et si il me plait, je le mettrai à mon service, c’est un grand honneur que je lui fait.

-(dépité)han han, bon, je m’appelle Yami, et je suis celui que tu cherche, comment tu t’appelle?

-je me nomme Ame, de la famille fusaku, fais moi voir ton talent, bouffon.

-eh je suis pas un bouffon, je suis un furousha, Konoha m’a engagé et même si j’étais libre, je travaillerais pas pour une pisseuse comme toi.

-Co…comment ose tu me parler de la sorte, tu seras à moi, peu importe le temps qu’il me faudra. Revient ici demain, je dois partir maintenant, mais je te conviendrait je te le garantie!

Sur ces mots, la petite Ame disparut dans une ruelle en courant, Yami étais resté la, après un moment, il s’assit sur un banc et réfléchit un moment, après quoi, il fut d’u violent fou rien en repensant à sa jeune interlocutrice, malgré son jeune, elle ne manquait pas d’aplomb ni d’arrogance, osé parlé de la sorte à un ninja expérimenté qui pourrait la tuer sans difficulté étais la preuve d’un grand courage ou d’une grande stupidité. Sa curiosité piquer à vif, il voulait découvrir la vrai personne qui se cachait derrière se masque hautain, si les années et les voyages lui avait appris une chose, c’étais que la première impression étais souvent la fausse, se relevant d’une pulsion, il se dirigeât vers sa chambre, demain serait surement plus amusant qu’il ne le pensait.

-*Je me demande si elle serrât la, cette m***euse, elle à dit qu’elle viendrait mais peut-être que ces parents l’empêcheront de venir, bah, de toute j’ai rien de mieux à faire aujourd’hui, j’ai révisé mes pantins, je n’ai pas de mission ni d’entrainement prévue. Alors en route*

C’étais la première pensé que Yami avait après s’être réveillé dans son atelier situé dans l’hôpital et bu une tasse de thé tout juste sortie du réchaud acheté la veille, après être partie à la recherche de ses vêtements qui étaient rependue dans toutes la pièce et les avoir enfilés, il mit ces deux marionnettes dans le dos en position fœtale nappée dans leur cape immaculé et sortit, direction le centre-ville de Konoha.

Comme à l’accoutumé, le village de ninja étais très actif à cette heure de la journée, les villageois allait et venaient au gré de leur envie et de leur besoins. Les marchand déballé leur produit et satisfaisaient leur clientèles, cette activité intense étais encore quelque chose de nouveau pour notre voyageur, lui qui avait l’habitude de la solitude de la route le voila du jour au lendemain, en pleine foule, mais cela lui rappelait l’époque du cirque, un souvenir agréable et chaleureux malgré comment il à terminé. L’enfant qu’il avait rencontré l’intrigué mais surtout, l’amuser beaucoup, c’étais un très génétique pour que tout les nobles soit aussi imbu d’eux même, comme quoi l’environnement influe sur les gens, mais le voila arrivé à son point de rendez-vous. Après avoir attenue une bonne demi-heure, la petite noble arrivât enfin, son kimono à lui seul devait valoir un an de salaire pour un ninja supérieur, sans parlé des nombreux ornements qu’elle trimballait sur elle, c’étais un véritable appelle au larcin. Un peu soucieux de la sécurité de cette enfant, Yami l’interpellât:

-dis, tu pourrais te promener sans ton barda, tu cherche à te faire volé?

-tiens le bouffon, que faite vous la?

-je ne suis pas un bouffon, et je suis la parce que tu as dis que tu viendrais aujourd’hui. Bon viens, j’ai ait marre d’être debout, je t‘invite prendre un thé.

Le couple entrât alors dans un salon de thé non loin de la, après avoir commandé plusieurs dango et du thé, le manchot commençât parlé à à la jeune Ame de la famille Fusaku

(à suivre)

-alors, pour commencé en douceur, je voudrais savoir pourquoi tu veux m’engagé, je me doute que ce n’est pas pour te servir de moi comme d’un vulgaire saltimbanque. Donc je pourrais savoir pourquoi une aussi éminente et prestigieuse noble comme toi aurait besoin d’un humble furousha?

Le ton qu’il utilisait été clairement sarcastique, quand Yami voyait la mine renfrogné et colérique de sa jeune partenaire de discutions, il ne pouvait s’empêché de pouffé, vraiment les enfants peuvent être surprenant à un point inimaginable. Dans le petit salon de thé, la serveuse allait et venait avec les commandes, nombreuses des clients, malgré le beau temps dehors, le magasin été modérément remplie, beaucoup de table étais encore libre, les clients présent parlé de tout et de rien, la plupart étais des shinobis qui venait ici chercher un peu de réconfort. La dernière guerre avec Kiri avait eut pour conséquence d’affaiblir Konoha, et ceux sur tout les aspects, le morale étais bas, la finance également et de nombreux guerriers avait donné leur pour leur patrie, donné leur vie pour la patrie? Quelle blague! La quasi-totalité des soldats du pays du feu n’avait pas choisie cette voie, soit ils étaient enrôlé de force, soit ils entrés si jeune dans l’académie ninja qu’ils n’avaient pas d’autre choix que d’obtempéré et d‘embrassé l‘idéologie débile et les codes du shinobis, Yami étais presque sur que tout ces confrères ne considéré pas Konoha comme leur pays mais comme leur employeurs, franchement, l’idéologie des villages caché étais assez dégoutante. On force les gens à obéir à des ordres qu’ils désapprouvent et ensuite on pourchasse les rares déserteurs qui ont le courage de se rebellé, autant dire les choses telle que voyait le manchot, c’étais du despotisme! Et ce qui énervé encore plus le manieur de pantin étais qu’il était obligé de l’accepté car il ne pouvait faire autrement, de toute façon, demain sa façon de pensé aura changé, alors bon…:

-dites Yami, vous m’écoutez?

-hein, oh pardon, j’étais ailleurs, tu disais?

-grr, je disais donc que je voulais que (marmonnement incompréhensibles).

À cause de sa fierté, elle n’osait pas demandé quoi que soit à personne, elle exigeait, mais cette fois, elle voyait qu’elle n’aurait jamais ce qu’elle veut de cette façon:

-tu peux répéter, en parlant de façon claire et intelligible?

-je disais je voudrais que tu m’apprennes, (inspire) que tu m’apprennes comment manié des pantins!

-quoi, tu veux que moi, je t’apprenne à toi comment contrôlé une marionnette, pourquoi?

-b…ben, en fait, j’adore les pantins et les cirques, et je voudrais devenir une marionnettiste pour un cirque, mais comme mes parents ne veulent pas en entendre parler, je n’ai guère d’autre choix que de me tourné vers un roturier.

-je te préviens, artiste de cirque n’est pas une sinécure, tu es tout le temps sur les routes, la cadence est très soutenue et on ne vient pas te réveillé avec le petit-déjeuner.

-je sais tout ça, et je m’en moque, je sais que je devrais m’adapté mais cela ne m’effarait guère.

-(long soupir)*bon, elle ne me lâchera pas tant que je n’aurais pas accepté* très bien, je vais te montré comment on fait, mais seulement si tu me jures deux choses. La première, tu ne devras révéler ce jutsu à personne, sauf à un disciple si tu en prends un dans le futur, la seconde, que tu dises tout à tes parent quand l’entrainement serrât fini. C’est ça ou rien.

-très bien, j’accepte, je vous vois donc demain à midi à l’entré du village. Eh eum, Mer…merci Yami-sensei.

Disait t’elle avant de partir comme une démente, ainsi, il aurait une élève à partir de demain, après tout, pourquoi pas, cela pourrait être plus amusant qu’il ne le croyait, qui vivra verrat.