Ce RP est un Flash Back, il se situe après que Yonbi ait été scellé
en Akarin et avant la rencontre avec Kaishyko. Ce RP doit
contenir 100 lignes et plus pour activer et signer le pacte des Oiseaux.

Voici maintenant quelques jours que ce monstre est enfermé à l'intérieur de ma personne. Pour être honnête, je ne saurais dire si sa me dérange ou non. Pourquoi ? Car dans un sens, oui, je suis dérangé car je n'arrive presque plus à dormir la nuit. Ce monstre me hante, il me parle, me déteste même ! Il tente toujours de m'effrayer et sans vouloir vous mentir, il réussit. Je rêve que je suis avec ma famille, dans notre maison à Konoha, tous ce qu'il y a de plus paisible. Et puis, quelques instants après, de gros bruits terrifiants ce font entendre. La terre tremble, tous comme le reste de la maison et du village. Nous tombons de nos chaises et puis un effroyable cri viens tous nous rendre sourds. Un cri que je ne pourrais qualifier de quel animal il provient, car c'est du jamais vu ou du jamais entendu vu la situation. C'est alors que nous l'apercevons, que nous apercevons elle, cette bête, ce gorille à quatre queues ! Il ouvre la gueule et après avoir poussé un autre cri démesuré, il crache de la lave sur tous Konoha. Nous sommes en pleure, ma petite sœur cri comme elle ne l'a jamais fait et j'aperçois ma mère comme je ne l'ai jamais vu. Elle qui est une femme de caractère, est complètement figée sur place, pétrifiée par la peur. Je tente tant bien que mal de les faire bouger, mais rien à faire ! La lave s'étend sur notre maison et c'est à ce moment que je me réveille en sursaut, le corps en sueur et la respiration accéléré. Et à chaque fois, j'ai ce rire en tête. Non, mais vous ne comprenez pas .. Vous ne comprenez rien ! Ce rire ! Ce rire démoniaque et effrayant est dans ma tête dès que je me réveille suite à ce rêve, il prend contrôle de moi. Il se fout de ma gueule et je ne peux rien faire. Mais d'un autre côté, j'accepte sa présence car depuis qu'il est à l'intérieur de ma personne, je ressens une puissance que je n'ai jamais soupçonné d'existé.

À CONTINUER