L’action se passe dans un petit village, le pays avait disparue depuis longtemps et ces terres avait été absorbé par Konoha, à cette époque vivait un petit garçon de sept ans habillé d‘un kimono beige crasseux. Le jouvenceau se promenait dans sur le chemin de terre, cerné par de nombreuses maisons de bois, du bétail se promenait ici et la, les enfants quand à eux, heureux dans leur ignorances, jouait tranquillement, sans connaitre la sournoiserie et la bêtise des hommes. Doku jetât un air triste et perdue sur la population qui le fixait, il put voir dans leur yeux toutes les émotions négatives qu’un humain pouvait avoir dans son cœur, haine mépris, incompréhension, dédain, peur et colère, pas un une fois dans son enfance ces semblables avait essayer de le comprendre ou de l’accepté, pas une fois il n’avait vue de la tristesse ou de la pitié. L’enfant à la chevelure de jais entrât dans une petite bâtisse délabré, poussiéreuse et humide, cet endroit qui n’avait de maison que le nom était le seul endroit où il avait le droit de dormir. Si jamais il tentait de rapproché d’une maison voisine pour mendié un peu de nourriture, il recevait injures et lynchage, comme si il n’était qu’un monstre ou un chien galleux indésirable, il n’eut d’autre choix que de fouillé dans les poubelles ou cherché des victuailles dans le foret qui entourait le hameau.

Après quelques mois, doku avait tenté de se lié d’amitié avec les enfants de son âge, mais la seul qu’il entendait étais:

-fiche nous la paix sale monstre, ma maman m’a dit que tu es sortie d’une morte, c’est dégoutant! Si tu respire le même air que nous, tu vas nous rendre malade avec tes microbes et ta puanteur, sale zombie! Tu pue comme ton cadavre de mère, c‘est pour ça que ton papa est partie! Zombie, zombie, zombie, zombie!

La seule réponse que ce petit malpoli eut était une série de coup de poing sur le visage, quand il s’écrasât au sol, le jeune orphelin l’enfourchât et le ruât de coup sur l’intégralité de son corps, s’attardant sur les parties intimes et le visage. Après quelque seconde dans cette position, il sentit une main l’agrippait par les cheveux et le jeter plus loin, après quoi, il ne se souvint que d’une pluie de coup venant de toute part, les adultes voyant que le « monstre » attaqué un pauvre enfant sans défense, décideraient de faire justice eux-mêmes. Après des minutes qui semblait, la cohorte se dispersât dans les rires et les insultes, content de s’être défoulé après un travail stressant. La victime quand à elle, resté figé sur le sol, la terre attaché à sa peau, mélangé à son sang et ces larmes, il sentait que ces cotes étais brisé, un de ces poumons étais perforé, une douleur indescriptible parcourait son corps, mais étonnamment, ce ne fut pas une entrave pour se levé, se tenant le ventre, il marchât vers son taudis, séchant ces larmes, il se posé une question en boucle, sans réussir à trouvé une réponse:

-*pourquoi, pourquoi ils me haïssent, je n’ai rien fait de mal, je ne leur aie rien fait de mal, si seulement les coups qu’ils me donnent quotidiennement pouvait me tué, je n’aurais plus mal et je n‘aurait plus à supporté mon estomac qui gargouille tout le temps.

Les saisons passait, à plusieurs reprises les saisons défilait, à plusieurs reprises les oiseaux partirent, mais une chose demeurait inaltérable, Doku, grandissait, en même qu’il grandissait, le ressentiment que les villageois nourrissait envers lui croissait avec lui. Le voila âgé de huit ans, l’orphelin avait maintenant réussie l’exploit de se battre avec chaque enfant du village, entre eux, les jeunes ignorant le nommé le zombie, peu importe les coups qu’il recevait, il se relevait, encore et encore, comme si rien sur terre ne pouvait le tuer, le petit garçon avait compris que son corps lui interdisait de trépassé, avec le temps, il finit par penser que cela étais une bénédiction et non un malheur.

Un jour ou il cueillait des fruits dans la foret, il entendit un groupe d’individus, intrigué que des hommes s’engouffrait aussi profondément dans les bois, il allât vérifier de quoi retourné la situation, il vit alors un groupe de brigands, de toute tailles et de toute origines. Malheureusement pour lui, il fut rapidement repéré, un des hommes dégainât un kunai et le lui lançât en pleine poitrine, l’enfant sentit la lame s’endossait dans le cœur. Un peu surpris que l’ont essayer de le tué pour de vrai, il s’enfuit avec encore la lame dans son torse, les brigands quand à eux, étais interdits, comment pouvait t’il encore être en vie, et surtout, comment pouvait t’il se déplacé avec une blessures aussi grave, le plus imposant des voleurs qui semblait être le chef eut un rictus démoniaque, tout de suite après il ordonnât que l’ont capture le petit immortel, ce fut la seul chose dont se rappelât le petit garçon. Il se réveillât dans une cellule crasseuses, enchainait au mur, il se demandât ou il était, puis il se rappelât, mais il n’eut pas le temps de se remettre de ces émotions pour le moins violentes. Un brigand armé d’une lance l’emmenât dans la cour d’un château délabré, se devait être le repaire des bandits, la il se fit enchainait à un poteau de bois, puis il vit un groupe d’homme se mettre en position de tir. Armé de leur arc, puis il vit les flèches fusait sur lui et sentir les pointes acéré s’enfonçait dans sa chair, répandant son sang sur le sol sableux, la cible hurlât de douleur avec les larmes qui lui montait aux yeux:

-ahahah! Vous avez vue les gars, je vous avez dit qu’il ne pouvait pas mourir, on n’a trouvé la cible d’entrainement parfaite, c’est vachement plus marrant que des bouts de bois ou les cadavres des paysans, hein? Hein?!

Après quoi, pendant au moins dix minutes, les lancés d’armes se succédaient, coup après, blessures après blessures, quand les tortionnaires furent lassé de leur jeux macabres, ils détachèrent leur nouveau jouet et le remirent quand sa « chambre », quand Doku entendit la porte métallique se refermé, il vit une paire d’yeux à travers le judas:

-repose toi bien mon petit, parce que demain, on remet ça, donc repose bien tes jolies cordes vocales, histoires quand t’entende chialer quand on te lardera de jolie troues écarlates!

Lui qui pensait que le village étais un lieu infernale, lui qui pensait que cela ne pouvait être pire, le voila maintenant devenue cible vivante pour des psychopathes. Quand, mais quand pourra t’il gouté à un peu de bonheur, n’y avait t’il pas droit, comme tout à chacun.

Voila cinq ans maintenant que Doku vivait son enfer quotidien, chaque jour, on le sortait de sa prison pour l’enchainer à une poutre d’acier pour qu’il puisse servir de cible vivante, et à chaque fois, les blessures qu’il subissait ne le tuait pas, il ressentait chaque meurtrissures que son corps avait, leur nombres augmentait chaque jours, il suffisait que l’une d’entre elle guérisse pour que deux nouvelles apparaissent. Il arrivait que au lieu de recevoir des projectiles effilé, on le suspende au plafond par les bras, comme on suspendrait un vulgaire sac de viande, la, les bandits faisait ce qu’ils souhaitaient, bien que les coups de fouets et le lynchage de coup en tout genre sois une de leur constantes favorites. Un jour, ou les gardes avaient bu plus que de raison l’immortel en profitât pour s’échappée, l’idiot trop enivré pour s’en rendre compte, avait mal fermé la porte de sa cellule, subtilisant un couteau, il tuât le geôlier et fuit aussi vite qu’il pouvait, malheureusement, il rencontrât le maitre de ces bourreaux. Devant lui se trouvait un homme immense tenant une grande et large épée:

-alors petite cible sur patte, on veut prendre l’air? Désolé de te décevoir mais tu n’iras nulle part, pour une fois que je tombe sur une distraction qui vaut le coup, pas question que je la laisse filait entre mes mimines.

-pourriture de bandit, ces cinq années ne vous à donc pas suffit, quand serait vous satisfait de mon malheur, quand je ne serais plus qu’un morceau de chair sans âmes. Brisé par la douleur et la folie?!

Ragaillardie par la haine que cette individu lui inspirait, l’enfant lui fonçât dessus, l’arme au poing, le chef des briguant lui assénât un coup d’estoc mais au lieu de l’esquivé comme s’attendait le bretteur, Doku s’empalât sur la lame pour continué son attaque, quand il fut à porté, il enfonçât la dague dans le cou de son bourreau. Après avoir savourée la lente agonie par suffocation du sadiques, il s’enfuit du repaire pour ne plus jamais revenir, l’arme toujours fiché dans son torse, il retirât l’épée et après avoir fait un fourreau de fortune, il plaçât l’arme dans on dos. Libre, la victime des pires tortures pendant plus de cinq ans, étais enfin libre, mais que faire de cette liberté, en dehors du village, il ne connaissait pas le monde extérieur, devait t’il y retourné, Non, il venait de quitté un enfer, se n’étais pas pour y retourné dans un autre, il ne lui restait que une solution, même si elle n’était pas la meilleur. Parcourir le monde et peut-être trouvé un lieu paisible ou il puisse être accepté pour ce qu’il est.

Doku errait sans but réel, son évasion aurait du lui faire plaisir, au lieu de cela, il se sentait tellement vide, comme si les bandits lui avait volé une partie de son humanité, pendant cinq longues, années. Il n’a connue que la souffrance, la haine et le mépris, maintenant, c’étais différent, il n’avait personne à haïr, c’étais cette haine qui lui avait permis de resté en vie, sans ce sentiment, il croyait qu’il allait périr, comme si il manquait d’air, il est difficile d’être heureux lorsque ce mot vous est étrange. L’adolescent allait de villages en villages, il rendait des services en échanges du gite et du couvert, pour la première fois depuis sa naissance, il lui arrivait de mangea sa faim, même si ces employeurs trouvait étrange d’un enfant qui n’étais pas un ninja se promenait avec une épée aussi volumineuse, mais sa seul réponse étais que le monde n’étais pas tendre et que cette arme étais nécessaire à sa protection. Avec le temps, l’immortel finit par découvrir un substitue à sa haine, le combat, un jour ou il se rendait dans une petite ville, il tombât sur un genin qui apparemment s’étais égaré lors d’une mission de rang C, quand le ninja vit le ténébreux, il sourit en voyant son arme dans son dos et dit:

-dit moi, tu as une bien arme mon gars, c’est du beau artisanat, je demande comment un mioche comme toi à put dégoter une telle épée. En fait je m’en fous un peu, donne la moi et je te laisserais tranquille.

-tiens un shinobi, c’est la première fois que j’en voit un, si tu la veux, tu peux toujours courir, c’est la mienne et si tu veux pas finir comme son ancien propriétaire, t’as intérêt à me laissé passer.

-tu veux te battre contre moi, un ninja de Konoha, t’as du cran pour un mercenaire, comme si un bouseux ne savant pas utilisé son chakra pouvait me battre!

Puis sans attendre, il fonçât sur le ninja, sans cérémonie, il sortit son kunai et lui enfonçât dans le cœur, quelle ne fut pas sa surprise quand son assaillant levât la lame tant convoité pour lui tranché la tête, ce fut gref, mais le vainqueur sentit l’exaltation du combat. Après un court instant, un autre homme apparut, il était vêtue d’un kimono couleur neige et avait un katana à la ceinture, ayant ce qu’il se passait, il souri en crachant son cure-dent et dit:

-joli coup gamin, son épée est sacrément tranchante!

-toi aussi *retirant la lame de sa poitrine* tu veux crever en essayant de prendre mon épée, si il n’y que ça, je peux te rendre ce service, tu sais?

-hein, non, non, j’ai juste vue ton style de combat, il est rustre mais t’a du potentiel, surtout pour manié une arme qui fait presque ta taille, tu m’intéresse et je te propose de devenir mon apprentie.

-pourquoi? Tu me connais à peine, pourquoi vous voulez m’aidez?

-Je te l’aie dit, tu m’intéresse, je suis curieux de voir jusque ou tu pourras aller, et pensé que je serais celui qui t’a dégrossie pour te transformé en magnifique diamant sanglant me plait asse je dois. Sans caché que je m’emmerde sévère et j’ai besoin d’une distraction, toi en l’occurrence.

Agréablement surpris, doku hochât de la tète et remis son arme en place, après quoi il suivit son nouveau sensei sans prendre la peine de lui demandé son nom, peut-être venait t’il de trouvé le premier être qui lui accordait un minimum d’importance.

Cela faisait un moment maintenant que Doku étais devenue l’élève du rônin, celui-ci se prénommé Arashi et était assez spéciale, ces gouts et ces mimiques avait été difficile à comprendre, il semblait en contant changement, cet être si versatile était un vrai défi de patience, le supportait tenait de l’exploit mais il avait un bon fond et été un excellent pédagogue. Les moins passait lentement, emportant avec lui des images rémanentes, Arashi entrainé Doku avec une vigueur et une sévérité extrême, le bretteur voulait transformer son élève en maitre du kenjutsu, il pensait que le chakra était certes d’une grand aide dans un combat, mais ne compté que sur lui étais une erreur qui pouvait souvent fatale, mais une fois les exercices terminés, il devenait un homme simple et sympathiques, mais u mœurs plus que légères.

Après environs six mois, le petit immortel commençait à devenir curieux sur son enseignant, mis à part son nom, celui-ci ne lui avait rien dit sur son passé, ou il avait appris le kenjutsu et surtout, le maniement du chakra, il était de notoriété publique que l’utilisation du chakra n’était appris que aux ninjas, prenant son courage à deux mains, le jouvenceau se lançât:

-sensei, je sais que je me mêle de ce qui me regarde pas et que vous n’aimez pas en parlé, mais j’aimerais connaitre votre passé, histoire que j’apprenne à vous connaitre.

-tu as raison gamin, ca ne te regarde pas et je n’aime pas en parlé, alors sois sympa et parlons d’autre choses, le passé doit rester enterré, cela évite des blessures nouvelles et les réouvertures d’anciennes.

-mais merde soyez sympas, vous connaissez tout de moi, vous m’avez questionnait sur mon enfance, mes cicatrices, pourquoi je suis renfermé, je vous aie même dit pour ma naissance. Le moins que puissiez faire, c’est d’égalé la balance en racontant votre vie.

-*soupir* oui, je suppose que tu as raison mais je te préviens, elle n’a rien de passionnant, je m’appelle Arashi et j’ai trente ans dans trois jours, je suis né dans le pays du fer, là-bas, les ninjas ne sont pas présent, à la place, il y a les samouraïs, des guerriers qui connaisses le maniement du chakra, et dit toi bien que un samouraï peut être aussi dangereux que n’importe quel shinobis. J’ai été entrainé dès la naissance à devenir un guerrier qui se sacrifie pour sa nation, c’étais en quelque un service militaire, mais malgré les bourrages de cranes en règle, je pigeais toujours pourquoi je devais obéir à des ordres alors que je les trouvais stupides. Arrivé à dix-huit ans, on pouvait choisir deux choses, soit devenir samouraï, choses que la plupart des gens choisissait ou devenir simple civil, une chose pour le moins déshonorante d’après les instits. Comme tu t’en doute, j’ai choisie la liberté et me suis cassé de mon bled dès que j’ai put, à partir de la, j’ai travaillé comme rônin, j’ai faits des missions à droite et à gauches, certaines d’entre elle me pèseront sur la conscience pour le restant de mes jours, mais dans l’ensemble je me suis bien tiré. Alors satisfait?

Doku hocha la tête à contrecœur, il voulait en savoir plus sur ces fameuses missions mais il comprit que ce n’étais pas le meilleur des sujets de conversation, il baissât la tête et continuât à suivre dans le silence.