Ce qui arrive
Après la mort

Quelques mois passèrent. Alors que l’hiver commençait, petit à petit, à faire place au printemps, je vis le village se métamorphoser. Tout le monde s’agitaient dans tout les sens afin de ramener un peu de gaité dans ce Village morose. En effet, durant l'hiver, celle qui aurait dû être ma sœur ne fut pas là seul victime. D'autre enfant, et quelques personnes d'age avancé, avait succombé au froid. Certain parce qu'il n'avait pas suivie les recommandations, comme par exemple, de ne pas aller jouer dans les bois tard le soir. D'autres avaient trouvé la mort parce que leurs maison n'était pas assez chauffé. Bref, cette hiver avait fait des victimes. Et tous tentaient de ne plus y penser. Et c'était pour cela que le Village était si animé. Partout, on entendait des enfants crier et jouer. Tous avait de nouveau le sourire et ça mettait du baume aux cœurs des habitants. Même à mes parents. Eux qui avait passé l'hiver sans bougé de la maison à pleurer la disparition de leurs fille, se trouvait à présent au milieu du Village à parler avec d'autres parents. Certes, leurs cœurs étaient à demi-brisé mais il fallait tout de même continué à vivre. Et je le devais aussi. Cependant, contrairement à tous les autres, je ne pleurais pas un être fait de chair et de sang. Non. Je pleurais l'idée que je m'étais fait d'elle. Et ce n'était pas le même chose. Je pleurais celle que je voulais protéger. celle que j'aurais tans voulu aimé.
Ainsi accablé par cette culpabilité, je m'était réfugier dans la Forêt. Je voulais rendre hommage à ma sœur disparus. A la fois l'idée et le corps. Et pour cela, j'avais décider de m'entrainer. M'entrainer encore et encore. M'entrainer jusqu'à maitriser tous les Jutsus Katon du Clan Uchiha. Ainsi réfugier dans mon petti paradis, rien ne pouvait plus m'atteindre. Et je pouvais m'entrainer à fond. D'ailleurs, cette entrainement me permettais également ne plus pensé à rien. Je faisait le vide en mois et tout me paraissait plus simple. Seulement, tout cela n'était qu'illusion. Mais ce n'était pas grave. J'avais besoin de cette illusion pour pouvoir apprendre...

Plus les jours passaient et plus la date tans redouté arrivait. D'ailleurs, je n'était pas le seul à compté les jours. Mes parents le faisait également. Je l'avais remarquer à quelque signes, assez explicite. En effet, ma mère regardait tout les jours le calendrier qui était accrocher au dessus de la cheminé, que mon père avait construit durant l'été précédent. Elle semblait voir une date invisible. Ou plus exactement une date importante que l'on aurait entouré avec une encre indélébile mais invisible. Mon père aussi semblait compter les jours. Cependant, il avait une technique plus primaire. En effet, j'avait remarqué que chaque soir, il s'attardait près d'un arbre. Alors, un soir, après qu'il y soit passé, je me suis approcher de l'arbre afin de savoir ce qu'il y faisait. Et ce que je vis me surpris beaucoup. En effet, il avait entaillé le bois. Je pus compter 360 bâtons. Un pour chaque jours de son absence. Il n'en restait donc plus que cinq. Cinq jours avant de savoir ce que mes parents voulaient faire. Pour moi, il était évident que je lui rendrai hommage. Et peut m'importait l'endroit. Je voulais le faire. Et je le ferais.
Les quelques jours qui précédait le grand jours passèrent à une vitesse folle. Jamais les jours n'avaient défilé aussi vite. Et, maintenant que ce jour était enfin arrivé, j'en avait peur. je ne savais pas si j'allais être à la hauteur et si j'aurais l'autorisation de faire ce que je voulais. Après tout, mes parents détenait encore sur moi l'autorité. Et je ne pouvais rien leurs refusé sans transgressé les règles du Clan. Ainsi, et quelques serais leurs décisions, je devrais la respecter. Après avoir pris soin de me lever doucement, je me mis en marche en direction de la pièce à vivre de la maison. Je ne voulais pas réveillé mes parents cependant, je n'eut pas à me donner cette peine. En effet, à peine j'eus poussé les portes de la salle à manger, je vis mes parents, à table, discutant à mi-voix. Sans doute étaient-ils lever depuis quelques minutes et, ne voulant pas me réveillé, ils c'étaient mis à parlé ainsi. Mais, alors que je me mis un table, un lourd silence tomba. Je ne sus que plus tard pour quel raisons il en était ainsi. Mais, à ce moment présent, j'ignorait tout et j'avais pensé qu'il avait terminé leur discutions et qu'il ne trouvait plus d'autre sujet de discutions. Soudain, mon père se leva et vint se placé à mes côtés. Après m'avoir tenu l'épaule, il se mis à croupis devant moi et je mis:
Je sais ce que tu veux faire, mon fils. Je sais ce que tu veux faire pour ta soeur. Et je le sais parce que, comme toi pour l'arbre, je t'es espionné. Je t'ai vu dans les bois à t’entraîner encore et encore, Jusqu'à arrivé au résulta d'aujourd'hui. Et je suis très fière que tu veuille faire ça. Et, avec ta mère, nous sommes d'accord pour que tu lui face cette hommage.
Pour le première fois, je vis mon père fière de moi. Et cela m'emplissait le coeur de jour en cette journée de tristesse. J'avais réussi à touché mon père. Et ma mère. C'était une chose que je ne pensais pas pouvoir réaliser avait d'avoir atteint l'age adulte. Et j'avais réussi à le faire en pleine adolescence. J'étais encore plus fière de moi que pouvait l'être mon père. Et après l'avoir enlacer, je fis un baiser à ma mère. Ce fut dans cette état d'esprit que nous partîmes pour le cimetières. En arrivant sur place, il n'y avait personne. Après une prière commune, afin que ma sœur ne nous oublie pas, je pus lui rendre hommage. Je n'avais rien écrit. Je m'étais juste entrainé à la maitrise d'une Jutsu particulièrement dur à maitrisé. C'est ainsi que, après une série de signe, je cracher des boules de feu en formes de Dragons. Quatre boules représentant la famille que nous aurions du être. Puis, alors que les trois premières boules feu se mirent à éclaté, la dernière monta au ciel et s’engouffra dans un nuage. C'est alors que, comme par magie, il se mis à pleuvoir sur le cimetière. Cette pluie représentait la peine de notre famille à la suite de la perte de cette fille. De cette sœur...