La guerre, cet endroit où j'avais vu les pire choses du monde, des cadavres jonchaient le sol, le sang coulait à flot, c'était horrible. L'odeur du sang imprégnait mon nez et mon corps! J'avais déjà vu la mort droit dans les yeux, mais là... c'était pire que tout, je voyais des gosses crevaient dans des marres de sang tandis que leur mère se faisaient défonçaient par des ninjas. Quand je pensais que c'était en partit à cause de moi qu'il y avait eu ça. J'avais presque envie de vomir, c'était horrible. Nous n'avions ni perdu ni gagné, les deux cotés avaient eu des pertes, nous avions tous perdu des alliés et de la famille. Il fallait désormais rentrer chez soi, c'était la seule chose qu'il nous restait à faire. Je ne savais pas où été Hiroe, des ninja disaient qu'il se battait encore avec les ninja restant, c'était bien l'enfoiré que je connaissais. La trahison envers Kiri, la trahison envers les Jinchuukiri, tout ce qu'il avait fait était digne du pire enfoiré sur terre. Le chemin du retour était long, nous étions tous silencieux, sauf les plus vantards essayaient de faire des blagues sur le nombre de personne qu'ils avaient tué, mais ça ne faisait rire personne. Mon katana était aussi rouge qu'un rubis, il puait le sang, je ne savais même pas si j'allais pouvoir le nettoyer! J'avais décidé de m'écarter un peu du groupe, je voulais être seul, la seule chose qui m'enleva de ma solitude? Les cris et les pleurs d'un enfant, à qui ils appartenaient? Je devais savoir. Je marchais lentement vers les cris, j'en étais sûr, la mort était passé par là.

La guerre, un endroit terrible et où aucun enfant ne devrait jamais grandir. Un endroit de haine, de rage et surtout de massacre. Pourtant, même si ce n'est pas un endroit pour un enfant, des centaines d'enfants ont grandit dans ce monde. Un d'entre eux fût particulièrement touché. Ses parents était revenu d'une mission contre Kiri. Ils avaient dit au jeune Denji que la guerre n'avait plus de sense, qu'elle était terminé. Pour Denji, ces mots étaient une bénédiction. Il allait enfin pouvoir continuer son entraînement avec son père et le contrôle du chakra. Il était heureux de ne plus craindre pour leurs vies. Il allait enfin pouvoir dormir en paix. Ce sentiments de joie était malheureusement juste de courtes durée. En effet, durant une nuit glacial Denji entendit des hurlements est se demander ce qui se passer. C'était comme si tout les fléaux du monde retombée d'un coup sur les épaules du jeune Denji. Ses craintes se confirmirent lorsqu'il descendit les escaliers. Des escaliers qui craquer et qui tomber en ruine. Pourtant c'était sans importance, car arriver en bas Denji du faire face à l'enfer. La porte était ouverte et menait vers l’extérieur. Il trouva ses parents sans vie et dans un bain de sang juste devant la porte. . Il avança lentement des corps. Il les pris dans les bras et souplier dieu que ce n'était pas vrai, que c'était l'un de pires Genjutsu. Pourtant il n'y avait là pas d'illusion d'où on pouvait sortir. Rien que la réalité.Denji était à son tour couvert de sang, mais cette fois de sang de ses parents. Puis il entendit quelqu'un approcher. Un homme avec une épée gigantesque. Denji ne pu s’empêcher de crier:

" C'est toi qui a tué mes parents, tu es leurs assassin. Espèce d'enfoiré"

Denji se précipita contre l'homme pour l'attaquer. Denji était remplie de colère, de haine et de peur. Pourtant même sa ne l'empêcherait pas de se venger.

Du sang, des cadavres, c'étaient ce que l'on voyait régulièrement lorsque l'on allait faire la guerre et c'était encore ce que je voyais en regardant les cadavres de deux adultes sur le sol, ils étaient mort sur le coup, un coup rapide et net. La personne qui avait fait ça voulait juste que ce soit bref et sans douleur. Je remarquais que les cris provenait d'un enfant qui était à coté de ses parents, sont corps étaient tartiné de sang, ça devait être terriblement traumatisant pour un gosse comme lui. Je regardais l'enfant, il venait de tout perdre, les seules choses qu'ils avaient était devant lui, mort dans leur sang! Dans ses yeux, je voyais toutes les misères du monde, je connaissais son regard, il avait l'air de ne plus rien attendre, seule la rage persistait en lui, la haine, un désir de vengeance si insatiable qu'ils ne pourraient être stoppé dans le futur. Ce gosse, si il n'était pas stoppé, il allait devenir un récipient à haine. J'avais déjà vu ce genre de gamin, ils vivaient dans la haine et finalement en crevait! Il m'accusait de tuer ses parents, comme les gens qui alLaient crever dans la haine, ils essayaient d'accuser tout le monde, même la personne qui avait participé à la guerre était à ses yeux un fautif. Dans la haine qui l'aveuglait il décidait de m'attaquer, c'était stupide, la haine rendait stupide. Son coup était lent, comme ceux d'un enfant, j'attendais que son coup touche presque mon visage pour esquiver, je prenais ma main et lui bloquait le cou avec mon bras. Je ne voulais pas le blesser, juste stopper ses ardeurs, avec la haine qui l'aveuglait il risquait de se blesser. Je restais dans cette position, j'avais un léger sourire, je n'avais pas pu empêcher mais je pouvais quand même essayer de le ramener sur le droit chemin:
"La haine ne te ramèneras parents, tout ce que tu fais là, c'est continuer le cycle de haine qui bouffe notre monde depuis des années et des années. Si tu me tue, quelqu'un voudra te tuer ainsi de suite, est-ce que c'est ce dont tu veux? Est ce que tes parents auraient voulu te voir crevant dans une mare de sang après m'avoir tué? Je ne connais pas tes parents, je ne sais pas comment ils étaient avec toi, mais je sais qu'ils n'auraient pas voulu que tu devienne un criminel, ils auraient surement voulu que tu devienne un ninja. Si tu deviens ninja, tu pourra protéger des gosse qui n'ont pas eu la chance d'avoir quelqu'un à qui parler comme moi. Ne sois pas stupide."

Quelle vitesse, durant deux secondes, Denji croyait pouvoir le frapper. Pourtant, l'homme devant lui l'évita au dernier moment et avec un vitesse folle. A peine Deji s'était-il remit de son attaque, qu'il avait le cou bloqué dans le bras de cette homme. Denji ne pouvait plus bouger. Il savait que sa mort était proche, si cette homme était bien le tuer de ses parents. Pourtant l'homme dis une phrase qu'il ne pu comprendre.

"La haine ne te ramèneras parents, tout ce que tu fais là, c'est continuer le cycle de haine qui bouffe notre monde depuis des années et des années. Si tu me tue, quelqu'un voudra te tuer ainsi de suite, est-ce que c'est ce dont tu veux? Est ce que tes parents auraient voulu te voir crevant dans une mare de sang après m'avoir tué? Je ne connais pas tes parents, je ne sais pas comment ils étaient avec toi, mais je sais qu'ils n'auraient pas voulu que tu devienne un criminel, ils auraient surement voulu que tu devienne un ninja. Si tu deviens ninja, tu pourra protéger des gosse qui n'ont pas eu la chance d'avoir quelqu'un à qui parler comme moi. Ne sois pas stupide."

Est-ce que c'est ceci la mission d'un ninja ? Devrais-je le croire ? Trop de questions traversèrent l'esprit de Denji a cette instant. Son adversaire était un ninja. Surement un ninja de rang supérieur vu sa vitesse. Des larmes commencèrent à se verser du visage de Denji. Il ne sût contrôler ses émotions. Il essaya de se débattre pour sortir du piège, mais le bras le tenait pour de bon, sa lui faisait mal seulement d'essayer de bouger sa tête. Il vulait simplement voir le bandeau de celui qui le tenait. Durant un bref instant il réussit a regardé l'homme dans les yeux et vît le bandeau. Seulement un bref instant, car la douleur le traversa aussitôt.

" Un ninja de Suna No Kuni ! Dit moi ton nom. Je veux savoir qui est l'homme, qui gaspille son temps avec un gosse comme moi. "

Il essaya de prononcer cette phrase avec un air sérieux et menaçant, mais ce n'était pas trop le cas. Denji, qui dorénavant ne pouvait plus bouge, se sentit mal . Il était impuissant devant cette homme. Il baissa la tête et prononça encore une seul phrase.

"Pourquoi essaye tu de me raisonner ?"

Je tenais parfaitement son cou, le moindre geste allait lui faire du mal, néanmoins, il allait quand même le faire pendant quelque temps, il allait se faire le plus mal possible juste pour essayer de m'attaquer. C'était sa haine qui était entrain de lui faire du mal en ce moment. Il se mettait désormais à pleurer, est-ce qu'il avait compris ce que je voulais dire? Ou est-ce que c'était juste à cause de ses parents? Je n'étais pas dans sa tête et je ne pouvais donc pas savoir à quoi il pensait. J'avais lâché quelque seconde ma prise, je lui avait tout juste laissé le temps de me voir, je voulais voir dans ses yeux, j'aurais aimé pouvoir ressentir ce qu'il avait au fond du coeur. Il voulait mon nom, il voulait savoir qui j'étais, est-ce que je devais lui donner? Oui, je lui devais au moins ça, peut-être que de savoir mon identité allait stopper ses ardeurs? Oui, j'allais lui donner mon identité! Il voulait aussi savoir la raison pour laquelle je voulais le raisonner. Je souriais doucement tout en continuant de lui bloquer son cou:
" Mon nom? Taruko Suppai, Juunin de Suna. Pour ta deuxième question, est-ce qu'il faut des raisons pour sauver quelqu'un? Il n'en faut pas, il faut juste en avoir envie, et c'est pour ça que j'ai fais ça, car j'ai envie de te sauver la vie. Je n'ai pas envie que tu devienne un fou furieux accroc au meurtre et que je doive te tuer dans quelque années car tu serais allé trop loin, c'est pour ça..."

C'était donc cela la voie d'un ninja? Sauver les gens qui en ont besoin. Pour l'instant, Denji croyait qu'un ninja était un mercenaire qui devait exécuter les gens, de faire des missions où même de déserter des villages. Pour Denji, c'était un dilemme. Qu'est-ce qu'il allait faire maintenant. Ses parents et sa famille furent tuer et lui n'avait plus rien n'a faire désormais. Denji cru que sa vie ne servait à rien désormais. Il n'eu qu'une idée en tête. Si jamais celle-ci n'aboutirai pas, alors Denji ne pourra plus rien faire. Pourtant avant de demander, Denji essaya une dernière fois de sortir du piège de ce Taruko Suppai. En bougeant, il se fît mal, mais sa n'a rien changé. Il était trop faible et surtout, il ne pouvait pas soutenir la douleur. Pour Denji s'était à nouveau la preuve qu'il ne servait à rien. Il laissa tomber. Plus rien ne servait et il savait que même s'il demandait, ce ninja n'aurait surement pas envie de ramener un avorton comme Denji avec lui. Pourtant on ne gagne rien si l'on ne demande pas. Denji s’efforça d’arrêter de pleurer. Cette fois-ci il allait prendre les choses en mains. Il dût faire le premier pas en demandant à Taruko:

" Pour moi, la vie n'a aucun sens désormais. Il faut que je reprenne les choses en mains et dés maintenant. Donc j'aurais seulement une seule question à vous posez. Pouvez-vous me ramener à Suna No Kuni ? Il faut que je deviennes ninja pour ne plus a avoir à subir ceci et surtout pouvoir protéger le reste des gens qui me sont cher. Je vous en prie, prennez moi avec vous. "

Désormais l'avenir de Denji reposait sur les épaules de ce ninja nommée Taruko Suppai. Pour Denji, les minutes qui suivirent étaient très éprouvantes et longues. *Que va-t-il répondre ? Acceptera-t-il de me prendre avec où me laissera-t-il ici seul face à mon destin ?* C'était les questions que Denji se posait à l'instant même où il demanda.

Un sourire s'étalait le long de mes joues, même après les ignominies que j'avais vu à la guerre, j'arrivais encore à sourire, c'était assez cocasse. Il avait enfin fait ce que je voulais, j'avais eu du mal à lui faire comprendre ce qui était le mieux pour lui mais finalement j'y étais arrivé, il allait enfin devenir un ninja, non pas pour le vengeance, mais pour sauver des êtres vivants et protéger les êtes qui lui sont cher. C'était surement le but le plus noble pour un ninja, il n'était pas fantastique ni infaisable, il était juste parfait. Je relachais doucement mon emprise, après ce qu'il avait dit, je ne pouvais que lui faire confiance, quelqu'un ne pouvait mentir à ce sujet, c'était comme mentir face à la mort, c'était impossible. Néanmoins, un problème de taille se posait, mon retour à Suna allait être assez difficile, je n'étais pas le Kazekage et je ne pouvais donc pas faire entrer et SURTOUT en temps de guerre une personne inconnu dans le village. C'était quelque chose de très risqué et connaissant le Kazekage, si je faisais ça, mon jeune ami risquait la mort. Il fallait donc que je trouve un moyen pour qu'il puisse entrer dans le village sans se faire repérer, il n'y avait qu'une seule alternative possible, le faire passer pour un mort! C'était le seul moyen! Je regardais le ninja et déposais ma main sur le haut de son front, je chargeais mon chakra pour commencer un henge no jutsu:
"Oui, je te ramènerais à Suna no Kuni, mais, pour le moment, ça sera très difficile de rentrer dans le village en ce temps de guerre. Il n'y a qu'un moyen pour que tu entre et que tu survive en attendant que le tout se tasse, il va falloir que je te fasse passer pour...un cadavre. Oui, un cadavre, c'est la seule solution. Je suis désolé, mais je suis obligé, je te laisse dire un dernier mot et nous irons à Suna. Reste calme et silencieux."
Mon chakra s'incrustait dans les pores de sa peaux, j'avais déjà décidé de son apparence, un ninja que j'avais vu sur le terrain, malheureusement transpercé par un katana... Néanmoins, sa mort allé servir à faire vivre un gamin. Un mal pour un bien.

Denji Namaku ne croyait pas ses oreilles à cette instant. Taruko Suppai allait bel et bien le rammener dans son village. Les portes d'une nouvelle vie était en train de s'ouvrir. Pourtant quel qu'était sa joie, elle fût briser lorsqu'il entendit la seconde partie de son plan. Il devait se faire passer pour mort. Pour un cadavre. La panique repris le dessus maintenant que le ninja l'avait lassé. Un cadavre. Qu'est-ce que sa veut dire. Le ninja tendit sa main vers Denji et le toucha. Denji sentit une force le traverser, mais quel était-ce ? Il avait droit encore à un mot. Le dernier mot puis il serais à Suna No Kuni. Pour lui c'était bizarre. Tout plein de sensations le traversa et le rendit un peu surexcité. Il y avait lajoie, que le ninja ai accepté de le prendre avec, puis la peur de se transformer en cadavre et enfin l'excitation de voir le village cachée du sable, Suna No Kuni. Denji n'avait plus qu'un seul mot a dire.

" Merci "

La sensation que le ninja lui injectée quelque chose s'intensifia et il y reconnu le Henge No Jutsu. Avant même de pouvoir faire quoi que ce soit, un nuage de fumée fît son apparition et Denji était à terre. Il ressentit quelque chose, comme une blessure, qui le faisait très souffrir. Il avait était comme transpercer par une épée. Sa conscience commencer à devenir tendu et il tomba finalement dans les pommes.

Son dernier mot avait été un merci, même si ce n'était qu'un mot il m'avait profondément marqué, il venait du fin fond de son coeur, juste l'intonation, son timbre de voix, tout montré que c'était réel et que ce n'était pas du bluff. Je savais avec son remerciement que j'avais encore une fois fais le bon choix en prenant ce gamin avec moi lors de mon voyage à Suna. Maintenant, il restait la chose la plus dure à faire, l'amener à Suna. J'avais déjà fait le gros de la tache, désormais il n'était plus qu'un cadavre sanguinolent, j'avais fait mon maximum pour qu'il soit le plus ressemblent, néanmoins, notre mission devait aussi être faite par ce gamin, si il ne se taisait pas, il risquait la mort. Son corps n'était pas trop lourd, j'avais du porter des cadavres beaucoup plus lourd que celui la durant la guerre. J'essayais de paraître le plus triste possible, pour couper avec mes sourires permanents, ce n'était pas la chose la plus facile pour moi, peu de personne m'avait vu triste depuis bien longtemps, depuis la mort de Toroko je crois, en ce triste jour. J'arrivais bientôt devant les frontières de Suna, mon visage était habillé d'une moue triste, le sang que j'avais trouvé faisait plus vrai que nature, il coulait le long de mon épaule et avait taché tout mon maillot. J'arrivais devant un gennin qui faisait la garde du village, ça allait être vraiment facile de passer, j'essayais de faire un sourire mais je n'y arrivait, enfin c'était ce que je voulais faire croire. Après un rapide tour du village pour constater les pertes, j'avais déposé le gamin à ma maison, maintenant, je devais aller à l'hôpital!

FIN DU RP