Dehors, la nuit était toujours présente. Silencieuse et sombre. C'était l'un des moments dans une journée que je préférais. En effet, outre le fait que la nuit m'offrait un camouflage naturel, cette parti de la journée était la plus clame. Et pour cause, aucun humain ne trainait dans les rues. Tout les habitants de Kumo préféraient rester chez eux à dormir plutôt que d'observé les bien fait de la vie nocturne. Certes en contre partie on devait dormir le jour mais cette vie noctambule valais bien ce petit sacrifice. Et, de toute façon que pouvions nous faire de plus le jour que la nuit. Pour moi, rien. Cependant ce n'était pas l'avis des membres de ce village et donc, lors de mes escapades nocturne, je me retrouvais seul. Sauf pour celle-ci. En effet, le RaiKage, celui qui commandait ce village, était à mes côtés. Ou, plus exactement, je le suivait. Il voulait m'amener à la prison de Kumo. Je ne savais pas pourquoi mais j'avais comme l'impression que mon intrusion dans le bureau y était pour quelques chose.

J'avais perturber l'une des réunions du Kage de Kumo. Et, à première vu, cela le dérangeais beaucoup. Néanmoins, je ne m'étais pas fait engueulé comme je le pensais. En effet, il avait crié sur moi que pendant quelques secondes puis avais continué à me parler normalement. Certes, il n'était pas content et cela ce voyait mais il ne me criai déjà plus dessus. Ce mec était vraiment étrange. Outre son apparence physique, difficilement critique depuis mon point de vue, il dégageait une aura de chakra visible à œil nu. C'était, par ailleurs, cette même aura qui avait fait valsé son mobilié dans tout les sens et qui, après, les avaient réduit en miette. Bref, ce mette était étrange et impressionnant. Était-il, comme moi, l'une des expériences de ce laboratoire. Si ce n'était pas le cas, je m'expliquais difficilement ce qu'il avait dans le dos.

Je me fis sortir de ma rêverie par les paroles du garde. Il expliqua au Kage des Nuages que nous étions arrivé. Je me mis à le regarder et, perplexe je lui dit alors:


" Pourrais-je savoir où nous nous trouvons ? Parce ce que je ne suis jamais venu ici au par avant. J'ai l'impression que ce lieux, sinistre, ressemble à ... une prison. Est-ce le cas... ? Hein, Papy longue oreille, c'est la prison ça non ? "

Genji, Kotaro et le juunin qui les accompagnait faisaient à présent face à la la prison. C'était un immense batiment d'un aspect très glauque et sinistre, digne de servir de décors dans un film d'épouvante. On entendait hurler à l'intérieur et l'on entendait des bruits prouvant qu'une émeute s'y déroulait. Le jeune hybride lui posa une question et c'est avec un bon coupde poing sur le haut du crane de Kotaro qu'il lui répondit :

" Arrêtes de m'appeler comme ca sale gosse !... "

Le spectacle qui se déroulait sous leurs yeux était digne d'une petite fin du monde. Les prisonniers avaient fomenté une émeute dans une aile de la prison et s'étaient barricadés, hurlant des slogans de haine envers Kumo et le raikage et brulant tout pour tout jeter ensuite par les fenêtres.

" Kotaro... Ceci est bien une prison. Se trouvent ici tous les rebuts de la société n'ayant pas voulu montrer le respect qu'ils devaient avoir envers le village et son chef ! Certains son ici pour meurtres, d'autres pour trahison et certains autres pour des crimes dont tu ne pourrais imaginer l'existence !... "

Il posa sa lance contre un mur et un sourire lui donnant l'air d'un fou lui barra le visage.

" Il va falloir sévir ! Une émeute n'est pas pardonnable ! Il faut... "

Mais avant qu'il ne puisse continuer ce qu'il voulait dire, un prisonnier, accroché aux barreaux d'une fenêtre, hurla :

" L'infanticide est indigne d'un kage !!! "

En réponse, Genji pointa le forçat du doigt sans le regarder et une sorte de rayon électrique en jaillit. Il transperça le mur de l'enceinte avec une précision chirurgicale, ne laissant qu'un petit trou aussi gros que le diamètre de son index. Ce type était mort à présent, le cœur percé ! Genji continua donc, comme si de rien n'était.

" Il faut éviter d'autres pertes ! Je vais y pénétrer seul et leur faire regretter d'être venu au monde ! Je veux que les juunin se postent tout autour de la prison et élimine tout prisonnier qui tenterait de s'enfuir. Kotaro quand à toi . . . Tu reste bien derrière moi ! Tu vas venir là bas !... "

L'on aurait pu croire que le raikage voulait faire une fleur à Kotaro en l'emmenant avec lui gérer cette crise mais il déchanta assez vite lorsqu'il vit l'expression de pure folie sur le visage de son chef...

" Comme ca si tu me saoule je te laisse là bas hinhinhin ! Des questions ? "

Décidement, cette homme était un psychopathe. Un fou dangereux. Il lui avait fallu d'un seul et unique coup de foudre afin de tuer un homme derrière un mur de pierre. Il avait réaliser cette technique avec un seul doigt. Bref, cet homme était terriblement dangereux et, moi, comme un imbécile, je l'avais provoqué. J'avais donc de la chance d'être encore envie. Cependant, pourquoi ne m'avait-il pas encore tuer puisque je l'avais insulté. Pourquoi n'avais-je pas subit le sort de l'homme emprisonné. Qu'avais-je de spécial, hormis le fait que j'étais un homme issu d'une manipulation biologique réussi. Soudain, après que le RaiKage eut donné ses ordres, il se retourna vers moi. Fixant cet homme dans le blanc des yeux, je me mis à oublier entièrement ce pourquoi j'avais peur de lui. En effet, en face de moi je ne voyais qu'un homme donc les lobe d'oreille pendais jusqu'au sein. Bref, il n'avais rien de très impressionnant comme ça. On aurai plutôt dis un gignole. Et aucunement un Kage. Et encore moins mon Kage, celui du Village de Kumo. Cependant c'était bien le cas et il n'était absolument pas un gignole. Et, en plus de ça, il voulais que j'aille aec lui dans le centre de la prison. Au cœur de l'émeute. Mais, malheureusement pour lui, il ne savais pas que j'avais un niveau qui aurait pu faire pâlir n'importe quel prisonnier de cette prison. Bref, j'étais maintenant tout exité de rentré avec lui dans le vif du sujet.


" Pourrais-je savoir si j'ai le droit de les frappés. Ou même de les tuer moi aussi. Hein, PaPy RaiKage, j'ai le droit de faire quoi ? "


C'est alors que, sortant d'une des cellules de droite, je vis un prisonnier sortir en courant vers nous. Il avait, dans l'une des ses mains, une longue barre à mine. Réalisant qu'il s'apprêtait à nous frapper avec, je me mis à courir vers lui. Sans la moindre hésitation, je lui mis un coup de poing dans le poignet. Il lâcha donc prise et son arme improvisé s'écrasa au sol dans un tintement infernal. Mais, sans aucune déconcentration, je lui mit un coup de poing dans chaque genoux. Le prisonnier s'écrasa au sol après que ses genoux eut craqué. C'est alors que, une fois au sol, je lui décocha l'une des mes techniques nouvellement créer. Je mis en contact mon pouce et mon majeur et je me mis à percuter l'air. Une fine pellicule d'air se déchira alors et avança vers l'ennemi. Il ne lui fallu pas quelques seconde pour que son crane soit fendu. Du sang coulait de la plaie. Regardant le Kage, je lui dit alors:


" Désolé, Papy, je n'ai pas attendu tes ordres pour le tuer. "

Ce gamin n'était pas commode mais Genji aimait sa façon d'agir. Il n'avait eut aucune hésitation, pas une once de peur dans le regard lorsqu'il s'élança vers cet ennemi dont il ne savait rien. Kotaro lui fit l'honneur d'utiliser une technique particulièrement efficace. Ce type n'avait pas souffert longtemps. Le jeune garçon lui adressa ensuite la parole. Il se tenait fièrement à coté de sa victime, lui donnant un petit coté félin allant fort bien avec son apparence. Mais le raikage savait faire la part des choses et il ne pouvait pas approuver la soif de sang d'un enfant. Certes, ce gosse était un ninja, mais Genji ne savait que trop bien ou le meurtre gratuit pouvait mener. Lui il était ce qu'il était mais au plus profond de lui il se haïssait. Il n'aimait pas ce qu'il était devenu ! C'est pour ca qu'il se devait de faire attention à ce que Kotaro ne suive pas le même chemin.

Genji pesta un coup en secouant la tête et s'approcha du jeune homme, les mains dans les poches. Puis, arrivé à sa portée il posa sa main sur son épaule et regarda le cadavre qui se trouvait à terre...

" Ce jeune homme que tu vient de tuer était un des gardes de la prison . . . "

...

...

...

" HAHAHAHAHAHAHA ! Naaan je déconne c'était un salopard de meurtrier... Par contre... "

Il mit une belle claque derrière le crane de Kotaro. Une qui résonna dans l'air. Puis en fermant les yeux, d'un air vraiment agacé il dit :

" Tu fonces tête baissée sur un ennemi qui t'es inconnu ! Certains prisonniers se trouvant à l'intérieur sont vraiment dangereux ! Si ca avait été un de ceux là tu serais mort abruti ! "

Puis il fixa la porte d'entrée de l'aile en révolte.

" Certains là dedans sont de vrais gibiers de potence mais d'autres s'y trouvent pour des raisons diverses et variées. Tu ne pourras pas te permettre de tuer des prisonniers qui ne le mérite pas. Montres toi digne d'un ninja de Kumo et fais preuve de discernement. Tue si tu n'as pas le choix. Par contre, tu as carte blanche pour les molester à ton gré ! "

Et là, sans prévenir, il attrapa Kotaro par le col de sa veste et courra vers l'entrée du bâtiment assiégé. Puis il lui donna ses ordres tandis que le pauvre cobaye de labo était balloté dans tous les sens pendant cette course éfreinée.

" On entre en force et je te largue dans la partie gauche du bâtiment. On se fait un chemin jusqu'au bout du couloir en les massacrant et ensuite on se les fait dans le fond du corridor, là ou c'est le plus étroit. Tandis que les plus débiles d'entre eux voudront se battre avec les intrus que nous sommes, les autres se feront maitriser par des équipes de juunins qui entreront après nous au bout de trente secondes... "

Le dernier mot se termina au moment ou le raikage enfonça la porte d'un grand coup de pied en son milieu. Il jeta un coup d'œil à droite et vit que les émeutiers de ce coté hésitaient en voyant qui ils avaient en face d'eux. A gauche même scène. Genji repéra une homme ayant un ventre plutôt protubérant et propulsa Kotaro et plein dedans avec une force démesurée, pensant que l'obésité de l'individu amortirait son arrivée !

" Bonne chance l'idiot ! Amuses toi bien hèhèhè ! "

Puis avec un sourire malsain il se tourna vers le couloir de droite et fit face au groupe qui lui faisait face.

" Alors mesdames, on a toutes ses règles en même temps ? "

Un des rebelles s'avança devant tous les autres et prit la parole.

" Te fous pas de nos gueules Genji Mashiba ! On va te tuer pour ce que tu nous a fait subir ! "

* Rire moqueur de Genji *

" Ce que je vous ais fait subir ? Haha ! laissez moi rire ! "

Il s'élança, attrapa l'homme par le cou à la vitesse de l'éclair, le souleva, fou de rage d'un coup et hurla :

" Vous ètes des traitres à la nation ! Je vous ais fait une fleur en vous laissant la vie !!!... "

Il eut un tout petit moment d'hésitation et prononça sur un ton neutre, passant d'un coup de la colère à la tristesse...

" Au lieu de tous vous tuer et l'épargner... lui... "

Mais cette mélancolie ne dura que le temps de cet pseudo épitaphe. La colère le submergea de nouveau et il claqua le crane du type sur le sol qui explosa littéralement, laissant un cratère d'à peu près un mètre de diamètre... Il se redressa lentement et fit craquer ses vertèbres cervicales.

" A qui le tour bande de débiles ?!... "

Il se passa un petit dix minutes tout de même avant que Genji ne vienne à bout de la quasi totalité des détenus de son coté. Ils étaient assez doués certes, mais ils ne valaient pas la moitié des vauriens qui étaient enfermés au centre de la prison ! Il fallut l'intervention de pas moins de cinq personnes pour séparer le raikage et le dernier des détenus. Le pauvre... Lorsque les juunins arrivèrent au bout du couloir ils virent Genji tenir ce fameux détenu par le col et lui broyer ce qui lui restait de visage à coups de phalanges... Lorsqu'ils réussirent à retirer son " jouet " des mains de son destructeur et à l'évacuer, Genji constata qu'il n'y avait plus grand chose à faire à part nettoyer et décida de s'en aller vers son bureau. Il donna avant quelques ordres aux juunins.

" Je veux que tout soit remit en ordre ! Faites bosser les prisonniers qui tiennent encore debout et n'hésitez pas à les écraser à la moindre occasion... Qu'ils comprennent ! Je veux aussi un appel complet de tous les prisonniers ! Comptez et identifiez les morts aussi... Ceux des deux camps... La liste je la veux en priorité ! En attendant que ce coté de la prison soit remit en état vous les entasserez tous dans les geôles ! "

Il se tourna et commença à partir mais s'arrêta et dit sans se retourner :

" Lorsque le jeune kotaro en aura terminé envoyez le à mon bureau ! Si vous voyez qu'il se laisse déborder aidez le, ce n'est qu'un gosse ! "

Puis en un éclair il s'en alla.

Message édité ! Désolé Kotaro mais il fallait que je débloque ce rp pour éviter de geler tout le rp de Kumo. En contrepartie je me suis arrangé pour que tu puisse répondre à ce rp lorsque tu auras plus de temps !