Après plusieurs heures de marches intensives en suivant la direction du vent, Akino débarqua au beau milieu d'un lieu pour le moins étrange. De nombreuses pierres blanches étaient disposés un peu partout à la même distance l'une de l'autre en formant de nombreuses lignes, hormis au centre où les pierres formaient un cercle avec une table de pierre, de la même consistance. A première vue, cela ressemblait à un lieu de culte oublié depuis un bon moment. Toutefois, la végétation commune aux dunes et bords de plage environnants était trop bien entretenue pour qu'il soit totalement abandonné. En s'approchant du centre de ce lieu, Daiki pu déchiffrer quelques anciennes inscriptions. Elles expliquaient qu'en ce lieu résidait les nombreuses âmes valeureuses qui s'était opposé au dieu Kentauro. C'était donc le cimetière Mao dont son ex maître d'armes lui avait parlé par le passé. L'ambiance était assez différente de ce qu'il avait ressentit jusqu'à présent. Le jeune homme ressentait comme une multitude de présences en ce lieu. Les oiseaux ne chantaient pas, et il régnait un silence mortuaire à peine perturbé par le bruits des vagues s'étalant sur le sable de la plage, ainsi que le mouvement de la végétation causé par la légère brise. Manquant de culture générale, et en particulier historique, il ne savait pas grand chose à propos du conflit entre les Dieux et les Hommes, tout ce qu'il pouvait en dire c'est que tuer était stupide. Se battre pouvait être amusant, mais mettre fin aux jours du perdant n'avait aucun intérêt. Il pourrait ainsi devenir plus fort et s'amuser encore avec lui une autre fois. Quoi qu'il en soit, ce silence, cette présence morbide, l'idée d'être au dessus de nombreux cadavres le rendait plutôt mal à l'aise. Lui qui était plutôt du genre passif habituellement affichait une certaine sensibilité en même qu'une profonde envie de comprendre. Comprendre pourquoi et comment ce conflit avait amené les Hommes à se battre et à perdre autant de leurs camarades pour mettre fin à la vie d'un être, simplement différent d'eux. Son manque de savoir l'empêchait de prendre partit. Tout ce qu'il savait, c'est que les héros dans l'histoire, c'était le serment blanc et qu'ils avaient probablement eu raison, au vu de leurs réputations. Par ailleurs, on dit souvent que l'histoire est écrite par les vainqueurs, il était donc impossible de connaître toute la vérité au sujet des débuts des grandes guerre de l'Histoire sans ressusciter les morts et les obliger à raconter leurs versions des faits. La simple idée de réanimer une personne défunte le rebutait. Quand bien même l'être pouvait être cher à nos yeux, il ne fallait pas vivre avec le passé, et chercher un moyen de faire revivre cette personne revenait à ne pas aller de l'avant, pour Akino. Il n'avait certes pas eu beaucoup de personnes proches de lui jusqu'à présent, mais s'était selon lui la ligne de conduite à suivre. Du moins si l'on souhaitait gardait une certaine éthique et un minimum de moral.

Quoi qu'il en soit, le jeune homme se contenta de prier pour le salut de ces soldats et se contenta de s'allonger sur la table de pierre au centre du cimetière pour se reposer de son long voyage. Après quoi il profiterait sûrement de la plage qui se trouvait pas très loin pour entraîner son jeu de jambes. La mer offrait de nombreuses possibilités pour fortifier son corps pour toute personne qui s'intéressait un tant soit peu aux bienfaits de la nature. Un genre de personne qui devenait de plus en plus rare au fil des siècles à cause de la cupidité naturelle de l'Homme et de la recherche constante d'avoir toujours plus que ce que l'on a aujourd'hui, quitte à faire du mal à l'écosystème.

[justify]La légendaire Brume de Kiri c'était levé un peu partout sur l'Archipel. D'après les légendes, on dit que à l'origine, le brouillard du village caché de Mizu no Kuni est survenu le jour de la défaite de Kentorau, en l'honneur des vaillants combattants. Je suis enfin arrivé à l'entré du Cimetière. L'air y est froid, l'ambiance est morbide... Comme si un silence surnaturel aurait envahie les lieux pour protéger les morts de tout envahisseur. Je lisait attentivement les tombes, elles regorgeaient d'informations sur la guerre contre le Dieu. A en croire les inscriptions, des milliers de ninja sont morts pendant la bataille. Je me relève et repositionne mes cheveux pour qu'il cache mon oeil. On n'ai jamais trop prudent, quelqu'un pourrait bien avoir pris l'initiative de venir visiter le cimetière le même jour. La brume s'intensifie. On ne vois pas à plus de cinq mètres maintenant. Le bruit éternel des vagues, le sable des dunes, la végétation désertique. Quel charmant endroit pour son dernier repos. Les tombeaux blanc se confondes avec le brouillard. Je ressent soudain une présence, mais de qui il s'agit ? Je dégaine un Kunaï, ce ne serait pas demain la veille qu'on pourrais m'abattre. Un ennemie ? Mais sa présence et faible et son aura meurtrière et nulle. La brume gène ma vision à telle point que je ne compte que sur mon ouïe pour repérer l'éventuel adversaire. Il ne semble pas bouger, je m'approche lentement vers le centre du cimetière. Il est ici, allongé. Ce n'est qu'un Ninja de Kiri qui se repose, mais pourquoi diable dans un cimetière et surtout, pourquoi sur une pierre tombale ? Je range mon Kunaï et m'avance vers lui avant de crier bien fort:

Ikke dit

Que fais-tu ici ? Ninja de Kiri

Puis, je me replaça dans la Brume pour qu'il ne puis-ce me voir en attendant sa réaction.

Dormant au soleil avec un bras devant les yeux, une jambe en train de pendouiller entre le sol et la pierre tombale sur laquelle il était allongeait, le chuunin n'avait pas sentit l'air se rafraîchir progressivement. Une brume épaisse, absente à son arrivée, semblait peu à peu envahir le cimetière alors qu'il s'y reposait tranquillement, sans faire de mal à personne. Si une présence, vivante cette fois, ne s'était pas montré pour le réveiller, le jeune homme serait mort dans son sommeil? d'hypothermie? Personne ne pouvait le savoir. Était-ce là un phénomène naturel, ou bien l'oeuvre d'une force mystique visant à le tuer car il aurait fait preuve d'irrespect aux morts en s'endormant dans leur lieu de repos? Une réponse à ces questions aurait pu être intéressante, mais il ne pouvait y en avoir. Ce n'était en soi pas très important puisque le jeune homme n'était pas mort de froid, bien au contraire, il pouvait encore sortir sur lui la chaleur des rayons du soleil. Quoi qu'il en soit, la puissante voix du nouveau arrivé, en ce lieu, avait réussi à le faire sortir de son profond sommeil récupérateur. Ce dernier n'avait pas été très polis en s'adressant à lui par une question dès le début, sans même se présenter, toutefois Daiki n'était pas vraiment en position de le critiquer. Il se contenta de se mettre en position assise sur sa pierre encore chaude, avec une main sous la tête pour la supporter. Il bailla un peu avant de se décider à répondre à cette personne qui se terrait dans la brume, par méfiance ou par peur, qui sait.

"Hum...je dormais après une petite promenade pour me promener, comme tu peux le voir."

Il laissa place à un silence de marbre pendant quelques instants, il n'était pas du genre extrêmement bavard avec les inconnus. Toutefois, il avait du temps à perdre, de ce fait il se décida de continuer la discussion un petit moment. Peut-être que son interlocuteur pourrait parler de choses distrayantes avec lui.

"Je m'appelle Akino Daiki. Maintenant que je me suis présenté, pourquoi n'en ferais-tu pas de même, sombre inconnu."

L'ancien sauvage essaya de détendre un peu l'atmosphère, suffisamment pesante comme ça, pour ne pas entrer en conflit sans raison. Cette méfiance à l'égard des autres lui faisait pensé à son enfance. Une enfance pour le moins extravagante et peu ordinaire. Vivre dans la nature, seul, sans aucune présence humaine et par ses propres moyens était une expérience que peu de personnes avaient l'occasion de connaître. Cela nécessitait souvent des conditions particulières, comme être abandonné ou orphelin, ou bien suivre un entraînement strict pour les jeunes guerriers issus de puissants clans. De tout temps, il y avait toujours eu un ou plusieurs enfants "sauvages" qui survivaient à l'hostilité du monde animal avant d'intégrer, plus ou moins bien, la société moderne. Leur façon de voir les choses était unique en leur genre malgré quelques similitudes avec le comportement des autres humains. Après tout, ils vivaient dans des forêts de pierre, alors que les Sauvages faisaient leur vie dans des lieux formés par la nature elle-même. La seule chose qui les différenciait vraiment, c'était probablement la vie en groupe. Une vie solitaire construit une personnalité différente d'une personne constamment entouré par d'autres Hommes. Ainsi les valeurs divergeaient entre ces deux catégories d'individus. Bien que classer les êtres humains en catégorie est signe d'étroitesse d'esprit, cela permet bien souvent de faire des comparaisons en généralisant. En effet, personne n'est identique, même les jumeaux ne le sont pas. Cependant, les différences ne sont pas toujours flagrantes quand on prend des personnes issus de la même ville ou du même pays, car la culture, imposé par la société, instauré de nombreux points communs. De ce fait, Daiki était un peu un marginal, il avait sa propre façon de penser, sa propre manière d'agir. C'était une bonne chose, néanmoins son long voyage solitaire avait provoqué un manque de savoir sur la société humaine et l'Histoire du monde des Hommes assez important. Cela n'était pas forcément une mauvaise chose puisqu'il découvrait chaque jour des éléments qu'il ne connaissait pas, ce qui l'émerveillait et lui permettait de garder un esprit jeune, un esprit ouvert capable d'apprendre énormément et vite grâce à l'intérêt qu'il porte à ce qu'il étudie.

Il se leva et me répondit tout simplement. C'était un drôle de ninja, s'endormir en ce promenant. Sous la brume, il aurait pu mourir si je n'avais pas pris la décision de le réveiller.

Ikke dit

Et bien, et bien... Tu es intéressent comme Ninja. Tu veux mon identité ? Et bien, ai-je le choix ?

Je sors enfin de la brume et me dévoile, mon oeil toujours sous mes cheveux bleu.

Ikke dit

Je suis Ikke Seitô, enchanté de te connaître Akino Daiki. Alors, tu aimes dormir sur les tombes des morts ?

Il n'avait pas l'air très débrouillard, ni très futé, cependant, son regard dégageait un potentiel non négligeable. Il était robuste, insouciant mais robuste. Il m'intéresse de plus en plus. D'après son équipement, c'est un Chunin de rang C. Je me demande quel élément il maîtrise, et surtout, qu'elles sont ses techniques de combats. Il était le premier Ninja de Kiri qui m'intriguais. Rien quand le regardant, j'avais du mal à retenir mon envie de combattre mais je continuer de la dissimuler. Je ne devais en aucun cas attaquer un Ninja de Kiri sous la peine de devenir un Ronin. Non, ce n'étais aussi ni le moment, ni le lieu. Il me regardait, lui aussi. Je n'étais pas gêné qu'il me regarde, mais je le serai si il découvrirai mon oeil. Personne ne devait le savoir... Personne.

L'homme qui l'avait réveillé décida enfin à montrer le bout de son nez, qui plus est, en se présentant. C'était une bonne chose, et Daiki appréciait ce geste. Cela lui permettait d'éviter de se lever pour aller lui courir après. Un exercice qui aurait pu s'avérer certes amusant, mais surtout fatiguant pour des muscles froid qui méritait d'être échauffé avec de réaliser un quelconque effort physique. En effet, s'il ne s'étirait pas convenablement après s'être levé, et avant de solliciter fortement son corps, le chuunin risquait de se faire quelques courbatures, anodines mais désagréable. Il faudrait sérieusement être sadomasochiste pour apprécier de souffrir continuellement, peu importe le degré de douleur dont il était question. Rassurez-vous, Daiki ne faisais et ne ferait jamais partit de ces gens là, quoi qu'il se passe dans sa vie de simple terrien. Tout en écoutant ce que son interlocuteur avait à dire, il monta les deux bras vers le ciel quelques instants avant de lâcher un petit soupir de bonne humeur.Il fit un petit scan rapide de son interlocuteur pendant que celui-ci lui adressait la parole. Il nota une couleur de cheveux assez particulière, pour ainsi dire peu commune. Ce n'était pas tous les jours qu'il voyait des cheveux bleus et se demandait du coup s'ils étaient naturels ou non. Néanmoins, cela n'attira pas plus son attention que ça. Il est vrai qu'ils cachaient également l'un de ses yeux pour une raison qu'il ignorait. Toutefois, il ne se voyait pas entrer dans la vie privée de ce shinobi en lui posant des questions d'ordre personnel. Après tout, il pouvait très bien avoir perdu un oeil lors d'un combat et souhaitait dissimuler une cicatrice qui rendrait son visage peu attrayant.
Quoi qu'il en soit, la question qu'il posa était pertinente. Comment Akino avait-il pu oser ne serait-ce qu'un instant dormir sur une pierre tombale. Plutôt que de se vexer ou de mal prendre la remarque, Daiki essaya un peu d'humour. Un humour certes très léger, particulièrement mauvais et laissant franchement à désirer, toutefois, sa réponse devrait être capable de faire sourire son interlocuteur.

"Si les morts dorment en dessous des pierres, n'est-ce pas logique que les vivants dorment au dessus?"

Le jeune homme suivait une logique un peu farfelue, il faut l'avouer. Partant du principe que l'inverse était forcément vrai. L'état de mort étant l'inverse de celui de vivant, et le dessus l'inverse du dessous, il avait pensé à cette réponse, étrange.

"Ce n'est pas que j'aime dormir au dessus des cadavres, j'ai ressentit comme un malaise, et j'ai décidé de me reposer un peu, j'ai du finir par m'endormir, de fatigue. Tu pourrais peut-être me dire à ton tour ce que tu fais ici?"

C'était en effet assez étrange, avant d'arriver au cimetière, le chuunin se sentait particulièrement bien, certes un peu fatigué, mais pas au point de s'endormir juste en s'allongeant sur une pierre tombale, encore moins au soleil. Pourtant, il n'y prêta pas attention plus longtemps, il était sûrement plus fatigué qu'il ne le pensait. Une baisse de tension pouvait être également lié à cela, ce ne serait pas la première fois que ça arrive. Afin d'être sûr que cela ne se reproduise plus, du moins aujourd'hui, le ninja sortit sa gourde pour s'abreuver et quelques biscuits fait maison pour reprendre des forces. Il fit signe à Ikke qu'il pouvait se servir s'il le souhaitait. Malgré son air solitaire, cela ne le dérangeait pas de partagé avec les autres. Contrairement à beaucoup d'êtres humains, il serait capable de trouver rapidement une source d'énergie sous forme de nutriments ou d'eau dans l'environnement qui l'entoure, aussi hostile soit-il. Il suffisait de connaître un peu la nature pour pouvoir survivre sans aide extérieur. Cependant, c'était loin d'être facile pour tout le monde d'apprendre ses techniques de bases, bien que les shinobi les plus expérimentés, les maîtriser bien souvent.

Je dois avouer que sa réponse me fit sourire. Mais je fit vite refroidit lorsqu'il se concentra sur mes cheveux et surtout sur mon oeil. Aurait-il le culot de me demander ce que cela signifie ?
Il s'assit sur la pierre tombale et sortit son goûter. Il me demanda à son tour ce que je faisais ici.

Ikke dit

Si tu veux vraiment savoir. Je visitais l'Archipel. Je voulais voir le cimetière. Je ne pensais pas rencontrer de personne ici, surtout à cette heure tardive.

Il était tard, pratiquement minuit. Il me proposa de se joindre à son repas, j'accepta même si je n'avais pas réellement faim. Mon sang bouillonnais au fur et à mesure que la conversation continué. Ce ninja, Daiki Akino. C'est comme si je l'avais déjà vus. Mais oui*, c'est le gamin de l'amis de mon Maître. Comment diable as-t-il put venir à Kiri ? Serait-ce une coïncidence ?

*Flash Back*

Spoiler:

Il était tard, très tard quand je décida de venir au cimetière de mon village pour me recueillir sur la tombe de mon père adoptif. La brume faisait que la vision du chemin était très encombrée. Il faisait froid mes pieds souffraient un peu plus a chaque pas. Je m’arrêta un instant et souffla un air chaud dans mes mains afin de les réchauffer un cour instant. Quand j’entendis une discussion. Je m’arrêta et avança furtivement de tombe en tombe. Habituellement personne ne vient ici et encore moins a cette heure. Qui pourrait être ces personnes parlant fort dans un lieu pareil à une heure pareil ! A force de m’avancer je fini par distinguer une silhouette près d’une tombe. J’essaye de l’interpeller pour savoir la cause de a visite.

« Hey . Hey oh ! »

Il ne m’a pas entendu je me leva et avança franchement, au fur et a mesure de mon avancé je fini par distingué la deuxième personne qui était un peu plus loin, j’avala ma salive fortement et les interpella :

« Messieurs ! Quel endroit accueillant pour une heure pareil, quel est donc la raison de votre venue dans un lieux sacré comme celui-ci ? »

Je discutais avec Akino, avant qu'un intrus me coupe dans ma conversation. Par réflexe, je pris un Kunaï et lui mis sous sa gorge juste après qu'il nous demanda ce qu'on faisait ici. Pas très discret pour un Ninja, mais on est jamais trop prudent. Mon Kunai étais sous sa gorge. Mes cheveux bleus se remarquaient avec la brume blanche toujours présente. C'était un homme, d'après ma première vue, il était un ninja de Kiri. Dès que je su qu'il était de notre village, je rangea mon Kunaï. Mais pourquoi le cimetière étais aussi fréquenté à minuit ? Je ne suis pas du genre à discuter avec les personnes et encore moins à faire une amitié, j'avais un but et tout ceux interférant étaient plus des gênes que des aides. Mon calme étant revenus, je lui posa une question:

Ikke dit

Et bien, et bien... Le cimetière et tellement fréquenté la nuit. Je te repose la question, Ninja de Kiri, qui es-tu et pourquoi nous-déranges tu ?

Toujours en vérifiant discrètement que mes cheveux cachés mon oeil, j'attendais une réponse valable de sa part.

Avant même que je n’eue remarqué un seul visage un homme se déplaça a lune vitesse impressionnante et me posa un Kunai sous la gorge au dernier moment j’essaya de le contrer mais sa célérité était trop grande pour faire quelque chose. Mon sang se glaça et apres quelque seconde il regarda mon bandeau ninja et retira son kunai, il avait vu que j’était de Kiri. C’était donc un ninja honorable qui respecte ses confrères. Il me retourna ensuite la question, habituellement je n’aime pas mettre a nu mes projets ou mes raisons mais me sentant en danger je lui répondit :

« Je viens me recueillir sur la tombe d’un être chère et a cet heure il n’y a normalement personne, personne ne pourra donc me voir dans la tristesse la plus absolue, voila pourquoi. Maintenant à toi de me répondre car je n’ai encore croisé personne ici à une heure pareil. »

Il avait prit mon intervention comme un dérangement il était donc aussi susceptible que redoutable je vais donc essayer de raccourcir la discussion au plus.

Ce ninja avais perdu un être chèr et voulais se recueillir sur sa tombe. Voila pourquoi je n'aime pas la compagnie et faire des relations. Sa fais plus de mal que de biens et il arrive un jour ou l'on as des regrets. Les regrets, la dernière chose que je devrai avoir sur cette terre. Le monde Shinobi est comme ça, on vit pour combattre et on gagne, ou on meurt. Rien de plus simple, c'est la loi éternel du Monde Ninja. Il semblait avoir eu peur de ma première attaque tout comme je l'avais voulut. Un ennemi apeuré et un ennemi en moins. La peur est une barrière à la puissance.
Je me décida de lui répondre:

Ikke dit

Je viens me promener et admiré les tombes des défunts. Mais trêve de bavardages, qui es-tu ?

Il est vraie qu'il ne m'avait pas encore dit son nom et je comptais pas lui dévoilé le miens avant qu'il ne le face. D'après sa première réaction, il n'a pas eu le temps de faire quoi que ce soit, mes techniques d'attaques directe sont parfaites en tout cas, face à ce genre d'adversaires. Je ne fais pas copain/copain avec mes camarades, mais je respecte le code du shinobi. C'est un membre du village de Kiri, je ne dois pas l'attaquer, même si cette première approche n'est pas dans cet idéal.

Il fit un visage songeur quand je lui répondit, je me demande quoi il pensait, je me prépare à une autre tentative d’intimidation de sa part, il ne m’effraye plus c’est un camarade. Il vient admirer les tombe ? Quel passe-temps louche. Chacun ses occupations. Il me demande avec assurance mon identité ? Pourquoi me dévoilé à lui alors que je ne le connais que depuis quelques petite minutes ? Apres tout si il a baissé son kunai ses intentions ne sont peut être pas si mauvaise, en tout cas si il voulait me tuer il en avait eu l’occasion. Je lui répond franchement en m’approchant d’eux et m’appuyant sur une tombe .

« Je suis Saizo Ryuyoko, la nouvelle recrue du village de Kiri. »

Voila il me connaissait, j’essaye de décodé les expressions de son visages mais les seul qui sorte de ce visage froid et impartial sont indéchiffrables. Maintenant qu’il me connais je veux le connaître lui cet homme si bizarre.

« Et toi j’aimerais savoir le nom de celui qui ma placé un kunai sous la gorge avant même que je ne puisse le contrer.

Mais qui est donc cet homme mystérieux ?

Saizo Ryutoko, c'est son nom. Il était sur ses gardes, rien d'étonnant après c'être faillit faire tuer par un Ninja de son village. La peur c'étais emparé de lui vu que mon attaque étais fait pour tuer, non pour intimider, je suis sur qu'il la sentit au plus profond de son être. Je pris un gâteau sur la pierre blanche avant de lui répondre:

Ikke dit

Je suis Ikke Seitô. Enchanté.

Je pense qu'il à cru que je parlais sérieusement quand je lui dit que je venais admirer les pierres tombales. C'est assez marrant de voir trois shinobie de kiri ici.

Ikke dit

Alors, tu viens ici pour pleurer sur un de tes proches ? C'est regrettable.

Je m'assis en attendant qu'il continue la conversation.

Je croit détecter un petit sourire narquois a coin de sa bouche à la suite d’une observation de mon visage. C’est un petit peu comme n guerre psychologique, a celui qui sera le plus mystérieux, apparemment je perd. Donc il s’appelle Ikke Seitô. Il devient tout de suite plus amical. Il a l’air amusé il me regarde moi l’autre homme qui reste silencieux tapi dans l’ombre et le brouillard et les pierres tombales. Il sait donc que je viens sur la tombe d’un de mes proches, il l’utilise pour me provoquer indirectement.

« Ce qui est regrettable c’est que tu viens de t’asseoir sur le caveau de mon proche. »

Je m’avance vers lui le prit par le col et le leva de la tombe, ni trop violemment mais ni trop doucement non plus. Il ne me fait pas peur il a juste un niveau supérieur au miens. Je lui montre que j’ai des tripes et que je suis respectable, du moins autant que lui.

« Et pour infos je ne pleure pas je me confesse »

Il est tard je ne veux pas rester dans cet endroit je veux en connaître plus sur lui et surtout le voir combattre, je suis peut être en admiration devant lui et sa vitesse ou juste en train de l’analysé pour lui montrer ce dont je suis capable. En attendant déguerpissons d’ici.

« Il est tard cherchons une auberge ensemble et demain matin première heure entraînons nous, qu’est ce que tu en pense »

Je le regarde avec un sourire en coin j’ai hâte de voir sa réaction je veux qu’il accepte…

J'ai vraiment envie de rire, par contre, son action ma bien gêné. A peine a-t-il pris mon col que je sort mon Kunaï et le pose sur sa cage thoracique.

Ikke dit

Oh la, oh la. Tu devrai tout de suite retiré tes sales pattes de là avant que je te coupe ta pauvre gorge et que je te face rejoindre ton "proche".

Mon arme était sur sa poitrine, prêt à s'enfoncer profondément en lui. Après quoi, je lui mis un coup de pied bien placé pour qu'il recule, en faisant bien attention de lui faire un peu mal bien sur.

Ikke dit

Ce qui est regrettable, c'est que je ne suis pas d'humeur à tuer.

J'étais sérieux, si il pense pouvoir m'impressionné, il se trompe. Le truc, c'est que je me fiche pas mal d'être sur la tombe de ses proches. Je veux, et je serai, l'assassin le plus grand de cette génération. J'ai déjà du sang sur les mains alors que lui doit encore être à l'apprentissage de manipulation d'un shuriken. Il me proposa de m'entraîner avec lui. Pensait-il vraiment que je le considéré comme mon égal ? Pensait-il que sa petite provocation me ferais perdre mon sang-froid. Quel naïveté puérile et enfantine. Néanmoins, il se faisait tard et je devais rentrer au Village. Je dis au revoir à Akino avant de le suivre en direction des portes de Kiri. Par contre, je ne lui est pas précisé que j'ai accepté de m'entraîner avec lui.

Sous la pression du Kunai appuyer sur mon ventre je lâche mais qu’une fois l’avoir remonter, qu’importe de mourir si c’et pour garder la dignité de mon père adoptif. Je n’en attendais pas moins de lui une réaction comme celle-ci. Il n’a peur de rien mais ce qui est sur c’est que je ne suis rien pour lui. . Je me dirige alors vers la sortie du cimetière sans lui répondre ni même me retourner je souffle dans mes mains quand j’entend des pas derrière moi. Je me retourne et il est la me suivant faisant signe à son ami qu’il s’en allait. Je continue a marcher je sourie, oui je ne sais pas pourquoi cet homme a manqué de me tuer 2 fois mais je sourie. Peut être parce que j’ai hâte de voir ses techniques demain. Je ne suis pas vexé ni même frustré de ses réactions, cela me confirme mes pensées. Oui je veux devenir comme lui, aussi impressionnant, aussi rapide… Mes premier jours en tant que ninja a Kiri sont satisfaisants, il y a des ninja remarquables je compte en rencontrer d’autre comme lui du moins je l’espère. Il n’est pas d’humeur a tué il me l’a dit il est donc capable de renié le fait que nous soyons du même village pour me tuer, il en est capable. Fascinant…

Suite du rp relationnel: http://www.naruto-shippuden-rpg.net/t16179-la-ou-le-vent-les-conduitssuite#124263
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EDIT KITSU : Pa enlevé.

La réponse qu'il avait prodigué à la question d'Ikke l'avait bien fait sourire comme prévu.
Il semblait désormais un peu moins coincé qu'au début de leur discussion, et surtout plus apte à donner des informations plus ou moins sincères à son sujet. Les meilleurs mensonges sont souvent ceux qui sont issues de la vérité. Un mensonge composé à moitié de vérité avait effectivement plus de chance de passer qu'un autre puisqu'il permettait à son créateur d'avoir l'air naturel lorsqu'il le disait. Quoi qu'il en soit, Seitô lui parla un peu de l'archipel Mizu tout en participant activement au repas du chuunin. Néanmoins, la discussion fut coupé par l'intervention d'un nouveau protagoniste alors que son interlocuteur initial semblait se remémorer quelque chose. En effet, un jeune se pointa dans le cimetière où ils se trouvaient en criant. Il fallait vraiment être innocent pour annoncer sa venue de la sorte dans un tel lieu à une heure pareille. De plus il semblait être quelqu'un d'assez jovial et naïf au vu de son comportement. Akino ayant un peu la flemme de parler avec deux personnes à la fois se contenta de se taire pendant que sa nouvelle connaissance se charger de cette affaire. De tout cela il ressortit que l'inconnu était un autre shinobi de Kiri prénommé Saizo, genin comme Ikke, mais qui avait encore beaucoup de progrès à faire pour être un ninja accompli. Après quelques fragments de provocation, les deux shinobis partirent ensemble faire un tour dans l'auberge la plus proche pour se reposer. Ikke salua une dernière fois Akino avant de s'en aller avec le genin arrivé un peu plus tôt.

Le chuunin songea quelques instants avant de reprendre la route. Ikke lui rappelait quelqu'un qu'il avait déjà entrevu dans le passé, cependant il n'arrivait pas à se souvenir de qui, de quand, et encore moins du lieu. Il faut dire que ces souvenirs les plus mémorables provenait de sa vie dans la nature, soit son enfance. Ce qui s'était passé depuis son intégration dans la société humaine ne l'avait pas tant marqué que ça au point qu'il parvienne à se forger des instants, intéressants pour sa mémoire. Ne sachant pas vraiment ce qu'il allait faire désormais, Daiki se décida de vagabonder là où son instinct le guiderait. L'homme se leva doucement, sans se brusquer, et fit quelques étirements avant de prendre la route, en suivant les étoiles dans le ciel. Il souhaitait se promener encore un peu avant de retourner au village.