× Un combat mortel

J'ouvris, lentement, les pends de la tente familial. Devant, un tapi blanc recouvrait le camp du Clan. Partout où mon regarde se posais, il y avait de la neige. Ce manteau blanc avait tout recouvert à l'exception de le tente servant de cuisine et de garde manger. En effet, grâce à la chaleur qui y régnait, la neige fondait au contact de la tente. Cependant, au début de l'hiver, cette neige fondu avait posé nombre de problème. Et pour cause, tous le monde glissait en sortant ou en entrant de la tente. Alors, pour palier à ce problème, il fut décidé de creuser des canaux le long de la tente et de placer, à l'entrée de la tente, de petites torches. Ainsi, depuis que cela fut décidé plus personne ne se retrouva au sol à cause du verglas. Alors, quel ne fut pas ma surprise en voyant le fils du Bras droit du Clan se cassé la figure devant cette tente. Ma surprise fut-elle que je ne pus m’empêcher de rire. Une rire profond et cristallin. Un rire d'enfant heureux. C'est alors que, contre toute attente, le jeune garçon, de deux ans mon aîné, se mit aussi à rire. Il avait les fesses à terre mais cela ne l'empêchait de rire avec moi de bon cœur. Évidement, je me mis à courir vers lui afin de l'aidé à se relever. Je sortis donc simplement vêtu d'un pantalon en toile noir et d'une chemise en soie rouge. Mes pieds nus s’enfonçaient dans la neige et je pouvais sentir les cailloux me chatouillé la plante des pieds mais cela n'avait aucune importance. En effet, je ne sentais ni fraîcheur de la neige ni la dureté des cailloux. Arrivé près du fils du Bras Droit, je lui tendis la main afin qu'il puisse se relever. C'est alors que, sans comprendre ce qu'il se passait, je vis un boule lave passer entre moi et lui. Me retournant, je vis mon père qui se mit à dire:




" Nori. Celui qui te fait face n'est pas Mouka. Il s'agit d'un intrus qui à usurpé son identité. Mais ne t'inquiète pas, le vrai Mouka est en sécurité chez son père. Maintenant écarte toi, je vais en faire mon affaire. "

Je vis alors mon père faire appel au Meigou. Cette technique était la techniques maîtresse du Clan Shôdo. En effet, tout les membres la connaissait. Et pour cause, c'était grâce à elle que le Dieu Kyuubi fut vaincu. Moi même, je maîtrisais cette techniques destructrice. C'était mon père qui, après mon combat contre l'enfant des flammes, me l'avait enseigné. J'avais passé près d'un an à apprendre cette technique. Cependant, je la maîtrisait parfaitement maintenant. Certes, ma maîtrise de ce jutsu n'étais pas aussi parfaite que celle de mon père mais j'étais le plus puissant des non-adultes lorsque j'utilisais cette techniques. Même Mouka, le fils du Bras Droit, n'arrivait pas à me vaincre. C'était même devenu un sujet de rivalité entre nous. Soudain, alors que je regardais ce garçon ayant l'apparence de mon ami, je le vis se transformé. Il pris alors l'apparence du jeune garçon que j'avais faillis tuer l'an dernier. Était-il là pour ce venger de moi ? Soudain, il se mit à parler. Il expliqua qu'il voulait se battre contre moi. Et moi uniquement. C'était même la raison pour laquelle il n'avait pas tuer Mouka. Je vis alors mon père s'apprêtait à parlé, alors je me mis à dire:

" J'accepte ce combat. J'ai entaché ton honneur de guerrier et nous allons nous battre afin de réparer cette erreur. Père. Je ne veux pas que vous intervenez. Si je doit mourir, laissez le repartir. Il aura gagner sa liberté en me tuant... "

Alors, je me mis en position de combat. J'avais décider d'en finir au plus vite avec ce combat. Ainsi, je fis directement appel à ma première technique Yôton. Une très fine couche lave se mit alors en place sur mon bras. On avait l'impression lorsque j'utilisais cette attaque que mes bras avait reçu trop de soleil. Cependant, il s'agissait bien de lave. Et mon ennemis alors bientôt s'en rendre compte. Je me mis alors à courir vers lui et je le frappa de toute mes forces. Je l'avais frapper tellement fort qu'il mit un genoux à terre. Cependant, il se releva dans l'instant et m'envoya plusieurs vague Kâton. Je dis me protéger en faisant appel de nouveau à l'insufflation de Chakra. Il profita alors ce moment pour me frapper à la tête avec un coup de pied sauté. Cependant, il loupa la tête et son pied toucha mon épaule. Malgré la douleur, je mis sa jambe. Un sourire sadique s'affichait désormais sur mon visage. Il avait voulu me tuer, j'allais pouvoir me venger. Une quantité énorme de lave se matérialisa dans mon bras et je me mis à le frappé. Mon poing transperça son cœur. Une giclé de sang arriva son visage. Je venais de gouter au sang...

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