Depuis quelques temps, les jumeaux eu l'impression de le temps s'arrêtais à Suna. Une impression vraiment inhabituelle, et qu'ils les mettaient mal à l’aise. Comme si, quelques choses les échappaient. Ils n'avait plus vus Mieko depuis plus d'une semaine, les Saitô s’inquiétaient de sa soudaine disparation. Que faisait-elle en se moment ? Pour une fois, ils ne s’inquiétaient pour son double. Mais ils s'inquiétaient aussi des gens de Suna en général. Les rues qui était bombé de personnes, sont maintenant désert. Que se passait-il ? Même le kage de Suna, ne donnait plus de ses nouvelles à ses ninjas. Même les bureaucrates du Kage, ne faisait plus aussi rapidement leur bouleau, ça fait déjà une semaine que les jumeaux attendent que leur missions soit validé pour en faire une autres. Il fallait jusque une rassemblement de ninja pour que le kage se réveille ? Si, c'est ça qu'il attend j'espère que le mot va se faire suivre. Quelque part dans la grand village caché du sable, Mitsu se refaisait une beauté, alors que Mikio jouait avec l'un de ses kunaï. Leurs cheveux bleus se mélangeaient au vent, tous comme leur parole :

" Cher vent, fait passer le message :'Chaque ninja, venez devant le bureau du kage.' "

Tout était entrain de mourir à petit, tout devenait d'un ennuie mortel, pourquoi? Peut être que nous étions en période creuse? Nous avions pourtant si bien commencé, j'avais déjà vécu ça, mais là, je ne savais pas pourquoi mais j'étais autant fatigué qu'eux, peut être que c'était le temps, que j'avais déjà vécu ça, que ça m'énervait de voir le village comme ça mais que je savais que seul je n'allais pouvoir rien faire face à ça. Si nous ne nous dépêchions pas le village allait devenir un nouveau Kiri et allait disparaitre face à un autre village plus puissant. C'était dommage, Suna avait beaucoup d'avenir et pourtant tout était tombé comme un château de carte. J'en avais marre, je m'étais battu pour rendre ce village vivant et une broutille l'avait rendu aussi vivant qu'un tétraplégique, même Mikio avait profité de mon soin à l'hôpital pour fuir le village. Je n'avais même pas pu la rattraper! J'avais encore eu une idée de gamin en me disant que je pouvais affronter 4 ninjas, j'avais encore été un gosse... Fusako avait bien raison, j'étais trop un enfant. Je pensais et j'agissais comme un enfant. Il fallait que je me bouge, une barbe de trois jours autour de ma bouche, les yeux couverts de cernes, une voix caverneuse, cela faisait combien de temps que j'étais pas sortit? Enfin, j'allais remédier à ça! Je poussais la porte et tombé face aux jumeaux, je ne pouvais lancer qu'un court:
'Salut les jeunes'

Les deux jumeaux avaient pénétré dans le bâtiment, il était richement décoré et gigantesque. En même temps, c'était le bâtiment le plus important. Il y avait des archives, des papiers de tous sortes, comme la carte d'identité de chaque ninja, en passant par toute les génération, et toute les hiérarchies. Mikio se dirigea vers la fenêtre qu'il ouvrit lentement. Il n'avait jamais vu autant de Sable sur autant de bleu. Un moutonnement de petits nuages semblables à des coquilles d'oeufs glissait sur un ciel lumineux. Les premiers rayons du soleil éclaboussaient le toit des autres maison d'en face, et venaient frôler son visage. Le village offrait un fabuleux mélange de toutes les nuance de jaune, du plus dorée au plus brun. La grande allée et l'espace nu qui s'étendait devant l'entré principale étaient vraiment sans aucune trace d'eau. Les cris d'oiseaux emplissaient l'air, rappelant qu'on était au printemps ( Au japon, en ce moment, on est au printemps ! ), et il observa pendant un bon moment un couble de mésanges, des moineaux et deux rouges-gorges qui voletaient obstinément autour d'une petite fontaine vide. Mitsu le fit rappeler à la réalité. Ils étaient tous deux, en présence du KazeKage en personne, la personne le plus importante du village. Il nous fit une salutation, simple et brève. Il avait un air ' Fatigué ', comme si, il avait passé des nuits à ne faire que des dossiers. Mitsu avait la bouche en 'O' tellement qu'elle était étonnée. Elle ne pensait surement pas voir Taruko, ici, Mais comme tous les autres ' disparu '.

" KazeKage, Puis-je vous demander une question ? Demanda Mitsu en reprenant de l'air. Pourquoi les rues de Suna sont aussi vides que s'il y avait eu un assassinat? "

Lors de son entrainement, le vent souffla et le jeune Genin entendit une voix qui lui donna rendez-vous au bureau du Kage, beaucoup de question se posèrent mais sur le moment, le Genin ne répondit qu'à une seule d'entre elles : "Dois-je y aller ?" Et sa réponse n'eut besoin de réflexion, il prit ses affaires et accouru jusqu'au bureau. Il couru le plus vite possible pour ne pas être en retard ou manquer quelque chose d'important ! Sephiroth était inquiet et à la fois excité. Son inquiétude lui venait du fait qu'il ne savait pas du tout la raison pour laquelle il était appelé et surtout de cette manière, tandis que son excitation lui venait aussi de la même raison, quoi de plus excitant que de rencontrer le Kazekage en personne ?!

Une fois arrivé, le jeune Genin pris le temps de contempler l'édifice de haut en bas, autant dire que les risques de torticolis était grands face à une tel hauteur. Il poussa alors la porte et regarda autour de lui si il n'y avait pas d'indication sur la direction à prendre pour arriver au bureau. Ne trouvant que des étagères, des papiers et des sortes de fiches de renseignements sur les ninjas du village, du moins les Genins, Chunins et quelques Juunins il prit l'escalier face à lui et grimpa les marches unes à unes pour atteindre le sommetn une fois arrivé, il découvrit deux autres personnes au cheveux bleus et un homme dont le charisme ne faisant nul doute sur son statut,Kazekage !

*Hocha la tête en signe de salutation*
"Vous m'avait demandé ?"

Mitsu lui avait pausé la question que les deux jumeaux se pausaient depuis quelques jours. Tous deux s’inquiétaient du sort du village. Ils se l'étaient demandé lors de la nuit du vendredi 18, à la fin de la semaine acharné par les entraînements et les missions. Il était minuit était passé, il faisait totalement nuit, quand un petit brise légère mouillait le sable sec qui recouvrait le parterre des rues. Perchée au sommet de l'un des plus hautes maisons qui se trouvaient peu loin des deux bleuets qui se fondaient exactement dans le décors, la chouette contemplait son territoire. Elle était la gardienne de la nuit, celle qui nous prévenait de tous risque d'invasion. Sa tête pivotait sans cesse sur son cou épais, ses yeux étaient comme deux braises d'un feu bouillant. Elle voyait tous ce qu'il ce passait alors que la nuit était l'un des plus sombre. La chouette observait tous ce qu'il ce passait chaque mouvements qu'ils faisaient la chouette voyait.

C'est là, sur l'un des toits de Suna, surveillé d'une chouette qu'ils se demandaient ce que la plus jeune des deux a demandé au Kage de son village. Un jeune homme arriva où les genins et leur KazeKage étaient. Cet homme au chevaux long d'un bleu claire, et aux yeux de même couleur, de grande taille, avec de larges épaules, mais sa silhouette était fine. Il nous fit un signe, qui sans doute voulait leur faire le bonjour, et celui-ci nous demanda si on l'avait appelé. Mikio à cette question, sourit. Il avait donc pu entendre les propos du vent, qui lui à demander de venir au bureau du Kage, sans vraiment de raison. Le plus 'grand ' des jumeaux lui adressa la parole:

" C'est le vent qui t'a amener à nous... C'est Mitsu, la petite ici qui t'a appeler. Expliqua Mikio en tapotant sur la tête de l'autre bleuet. "

"Pourquoi? Je ne sais pas, le temps, tout peut être le manque soudain d'activité de la part des ninjas! La peur aussi, la peur de mourir. L'ennuie, il y a tellement de raison. J'ai déjà vécu ça tu sais , le village était mort, plus personne faisait quelque chose pour lui, j'étais le seul à essayer de lui redonner un semblant de fierté, pour finalement quoi? Rien, aujourd'hui il est à nouveau mort malgré tout les efforts que j'avais fait pour le laisser. C'est con de dire ça, mais bon... La nouvelle génération n'est plus rien, même Mieko qui était prometteuse à quitté le village. Pourquoi? Je n'en ai absolument aucune idée. Notre monde ne suit aucune logique, rien n'est logique et pourtant on vit comme ça. C'est la vie et on ne peut rien y faire! Vous savez les enfants, je suis fier de vous, vous êtes surement les derniers ninja de Suna qui ont encore envie de vouloir travailler pour le village! Comme moi à mon époque, juste que je ne sais pas si comme moi vous arriverez à donner de la splendeur à ce village qui a à nouveau disparu dans le sable... Je n'ai pas trop envie de me remettre pour faire vivre ce village, c'est stupide je sais mais voilà... Parfois il faut laisser les jeunes se débrouiller! Sinon comment allez vous?"

Le Kagekage nous fit un long discours, qui ne nous avança finalement à rien. Son discours fallait pour une oreille et sortait par l'autre, sans vraiment passer par le cerveau, des deux bleuets. Mais une seule et unique phrase se répéta sans cesse dans sa petite tête : ' Mieko qui était prometteuse à quitté le village. '. Elle faisait comme un écho sur la fin de cette phrase. 'A quitté le village.' Étonné et triste, mélancolique et énervé, impuissant face à la pure vérité, ce mélange de sentiments éprouvé en même temps, par une seule phrase. C'était quand même celle qui les avaient entraîner, ce n'était pas Monsieur ou Madame quelconque. Mais Mieko, la senseï des jumeaux, la seule qui connaissait le terrible passé des deux. Ce passé si noir, que même la nuit n'arrive pas à son hauteur. Le second passage qui le frappa mentalement d'une gifle monumentale, ce fut: 'Je n'ai pas trop envie de me remettre pour faire vivre ce village, c'est stupide je sais mais voilà... Parfois il faut laisser les jeunes se débrouiller! '.

Plaisantait-il ou était-il sérieux ?

Il voulait abandonner les rênes de Suna.. ? Et laisser les jeunes sans expérience se débrouiller tous seul ? Quel lâche ! Tous ça à cause, d'un manques d'activités de ses ninjas. Il faudrait juste les remotivés en leur donnant une prime, ou je-ne-sais-quoi. Mikio resta regardé bêtement Taruko, Quand à sa soeur elle ne captait plus rien, elle restait neutre. Mais après deux minutes, elle nous cria avec dégoût:

" MIEKO A VRAIMENT DÉSERTER ? "

[ Tous les joueurs du village peuvent intervenir quant ils veulent. ]