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Sephiroth ouvrit une fois encore ses yeux sur ce monde où vérité rime avec Puissance, où vérité rime avec Justice, où vérité rime avec Vengeance. Se redressant doucement de sa nuit de confort en voyant ses muscles s'éveiller uns à uns. Le jeune Genin s'empressa d'enfiler sa tenu à la fois préférée et unique à la fois, car il ne possédait pas beaucoup de variété de vêtements bien distincts, trois étaient identiques et servait principalement à se déplacer dans le village tout comme en mission, un accoutrement passe-partout et plutôt multi-fonction, un autre qui est plutôt réservé lorsqu'il fait très froid en raison de la surface du corps qu'il recouvre et la fourrure qui y est ajouté, encore un qui lui est plutôt utilisé lors de moment plutôt festifs, puis un autre dont beaucoup aimerai pas porter, c'est le vêtement de guerre que tout ninja posséde en cas de désastre politique en quelques sorte, et enfin le plus important aujourd'hui, le vêtement d'entrainements, un vêtement qui paraît simple à première vu, mais les matières première qui le compose sont anormalement lourdes ce que ressent énormément le porteur de cette tenue. Il enfila cette dernière en vitesse avant de prendre le nécessaire pour allait s'entrainer d'arrache pied.

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Passant la porte de sa chambre, il découvrit avec stupéfaction un corbeau planté là, face à lui. Cette oiseau noir qui est souvent considéré comme le présage de la mort était comme arrivé devant le ninja par enchantement puis la fenêtre s'ouvrit brusquement, Sephiroth tourna la tête en direction des courants d'air qui arrivait vers lui et en une fraction de seconde, l'oiseau noir s'envola vers la sortie qui venait de lui être montré. Incroyable certes, mais le jeune Genin n'allait pas se faire impressionner par un poulet sur patte !
Celui-ce ferma alors la fenêtre et commença a préparer son sac ou plutôt son attirail d'entrainement. Cordes, poids et bouteille d'eau si trouvait en abondances, quel sorte d'entrainement allait-t-il faire ?Il marcha tranquillement dans les rues de Suna, même de si bonne heure beaucoup de marchands et d'artisans commençaient leurs durs labeurs quotidiennes.
Sephiroth prit un petit livre qu'il commença à lire au milieu de la foule. Autant vous dire qu'avec ce monde il était difficile de se concentrer et encore plus de pouvoir marcher sans heurter une quelconque personne au passage. Le défi était lançé, le jeune Genin allait devoir faire preuve d'une agilité hors normes pour pouvoir rejoindre le terrain d'entrainement du village qui se trouve à quelques centaines de mètres du domaine Kurotama. Un pas en avant, un autre sur le coté, deux autres devant et une pirouette digne des plus grands danseurs afin d'esquiver un homme portant une poutre en bois.

Après un nombre incroyable d'esquives, le jeune garçon arrivait à la dernière page de son livre mais aussi au bout du voyage. Il venait tout juste d'arriver devant cette endroit où une fois encore le sable était maître et la brise était maîtresse. Il déposa ses affaire à l'entrée du terrain et en sorti quelques poids qu'il accrocha à ses jambes avant de faire quelques tours les chevilles chargées de 10kg chacune. Une petite demi-heure plus tard, le jeune Genin commençait à avoir les jambes un peu engourdies. Il décida alors de s’arrêter sous le micro-oasis qui regné sur le terrain d'entrainement pour s'y allonger quelques instants avant de reprendre quelques extensions et échauffements. Les minutes passèrent et la seconde partie de l'entrainement approchait, il accrocha alors une corde en haut de l'arbre pour y grimper et y redescendre jusqu’à ce qu'il n'est plus la moindre force dans les bras.

Il décida alors de s’entraîner ainsi pendant 2 semaines, semaines où le jeune garçon dû se surpasser pour surmonter les courbatures et la fatigue. 13 jours passèrent e Sephiroth vu ses muscles augmenter de volume et son endurance quelques peu accrue. Seulement, le dernier jour de son entrainement, le vent souffla et il entendit une voix qui lui donna rendez-vous au bureau du Kage, beaucoup de question se posèrent mais sur le moment, le Genin ne répondit qu'à une seule d'entre elles : Dois-je y aller ? Et sa réponse ne fit aucun doute, il prit ses affaires et accouru jusqu'au bureau.