× ... Comme pour Nori Shôdo.



J'étais au pied des escaliers. Devant moi, des marches faites de marbre semblaient descendre au cœur du monde lui même. Et la vérité n'était pas bien différente. Seulement, le marbre n'était présent que pour les premières. Après elle, on ne trouvait plus que des marches en granit grossier, mal taillé. Des marches en coin, à peine assez grande pour y mettre les pieds d'un homme adulte, descendant en spiral serré vers l'inconnu. Cependant, ayant déjà descendu cette escalier maudit, je savais à quoi m'attendre. Et, même en sachant cela, j'avais une appréhension. Je mis donc une main contre la parois gelé et je me mis à descendre. Plus je descendais, et plus l'obscurité s’enveloppait autour de moi. Et, de toutes les sortes de ténèbres, celle que l'on trouvais sous terre m'était toujours apparut comme des plus total. Pas une lueur, même pas celle des étoiles, ne pouvait parvenir afin de soulagés nos yeux las de cherchée une source lumineuse. Plus le temps passaient, et plus j'avais l'impression que des milliers d'ombres c'étaient regroupé près de moi et qu'elles me dansaient autour, faisant ondulé l'obscurité qui me faisait face. Soudain, ma main rencontra un objet dur et froid. Une pierre. Cette pierre marquait la fin de la descente. Cependant, je n'était toujours pas arrivé à destination. Il me fallait encore marcher dans le noir. Mes yeux, fatigué de chercher une source lumineuse, me faisait voir de fausses étincelle lumineuse. C'est alors que, devant mes yeux éreinté de l'obscurité, j’aperçus une faible source de lumière. Une lueur pâle qui m'indiquait que j'étais proche de ma destination. Et, plus je m’approchait de cette source lumineuse et moins mes yeux me semblaient fatiguer. C'est ainsi que je me retrouva dans une salle éclairé seulement par un torrent de lave coulant de chaque côté de la salle. A l'intérieur de cette pièce, se trouvait un autel, pauvrement décoré. Au fond de la pièce, sculpté à même la roche était représenté un homme assis sur la tête d'une créature, ressemblant étrangement à un renard et possédant neuf puissantes queues. L'homme assit semblait pensif mais aussi épuiser.

Je ne me sentais pas très à l'aise dans cette endroit. Il y avait quelques chose qui me gênais. Approchant de l'autel, je compris soudain pourquoi l'atmosphère de la pièce me semblait si pesante. Outre le fait que les yeux du guerriers Shôdo me fixait dans mes déplacements, je me rendit compte que la salle dans laquelle je me trouvait étais totalement silencieuse. Il n'y avait pas un seul bruit. Même la lave qui s'écoulait de chaque côté de la pièce n'émettait aucun son. Pire encore, je n'entendais pas mes bruits de pas. Je ne pouvais qu'entendre ma propre respiration et cela en devait très stressant. Cependant, si je me trouvait ici, dans cette pièce, sous le Temple de Kyubi, c'était pour une seul raison. Alors, après avoir pris une longue inspiration, je brandis mon bras dans les airs et, avec toute la force que j'avais, je me mis à détruire le petit autel qui était devant moi. Ce dernier s’effondra dans un grand fracas, libérant un nuage de poussière qui monta jusqu'au plafond et troublant la quiétude de la pièce. Lorsque le nuage de poussière se dispersa, un petit trou, de la taille d'une main, avait remplacé l'autel. Je me mis donc à genoux afin de mettre la main à l'intérieur de ce trou. C'est alors que je sentis une chaine se terminant par un anneau. Prenant et tirant l'anneau, j'entendis un léger cliquetis. Je me mis donc à tirer encore plus fort et, à ma grande surprise, la statue se détacha légèrement laissant apparaitre un vide. Il ne me restait plus qu'à prendre ce qui me revenait de droit.


Dehors, l'aube commençait à faire rougir les nuages présent en masse dans le ciel. C'était comme si un tapis rouge, recouvrant le ciel, m’accueillais à cette sortie du Temple. Décidément, c'est vraiment une bonne journée qui débute, pensais-je. Au plus profond de moi, j'espérais que le reste de cette journée, dès plus magnifique, reste du même acabit. Et, ce fut sur cette pensé que je me mis en route vers Konoha, le premier village militarisé du Pays du Feu.

Après avoir marcher durant près d'une matinée, je me retrouva enfin à l'endroit voulu. Konoha. Ce magnifique village, créer au bord de la foret du Feu, n'avais pas encore ouvert ses grandes portes aux villageois. Non. Cela devais être fait. Et cette tache m'étais revenu. Après tout, j'étais le HoKage de ce Village et mon devoir était d'ouvrir la voie. Par ailleurs, aujourd’hui, il avait été ordonné aux différents corps de métiers qui agissaient pour faire de Konoha un village magnifique, de ne pas travail en jour. En effet, il avait été dit aux ouvriers qu'il pouvaient non seulement habité dans le village mais aussi participé à la fête d’inauguration. C'est ainsi que, comme me l'avais annoncé le Daimyos du Feu, les ouvriers et leurs familles respectivement arrivèrent devant les portes de Konoha. Étant devant les portes, les ouvriers ainsi que tous ceux qui les avaient accompagner me faisait maintenant face. Et, devant eux, se trouvais un homme habiller d'une façon très chic et très atypique. En effet, j'avais opté pour mon costume rouge avec ma manteau blanc. Ainsi, face aux ouvriers se présentait un homme vêtu de rouge portant un manteau blanc sur ses épaules. Un homme dont les cheveux et une partie du visage était caché par une casquette. Bref, j'étais habillé de la façon la plus représentative de mon attitude. Alors je m’apprêtais à dire quelques chose se passa dans la foule. C'est alors que tous, sans exception, se mirent à me saluer. Cependant, il y avait là deux salut différents. En effet, les ouvriers avaient posé un genoux à terre et baissé leurs tête alors que leurs proches c'était incliné. Sensible à cette marque de dévouement et d’humilité de leurs part, je les fient se relever assez vite. Ainsi, une fois relever, ils se mirent d'eux même sur ma gauche. Arrivèrent les marchants qui devaient s'installer dans les différentes boutiques du Village. A leurs tour, ils me saluèrent pour ensuite se mettre en face de moi. Enfin, comme si il avaient voulu garder le meilleurs pour la fin, la population ninja arriva. Tel des militaires à un défilé, ils arrivèrent en un seul mouvement. Et me saluant de la même façon. Puis, ayant terminé leurs manœuvres, ils se placèrent sur la droite. Évidement, je n'avais pas bouger. J'étais resté droit. Puis, soudain, je me retourna vers la Porte de Konoha et l'ouvrit. Sans un seul mot, tout le monde me suivie. Alors que nous pénétrions, tous ensemble, pour la premiers fois dans le village, des murmures se firent entendre. En effet, certain ouvrier commentais leurs travail ou celui d'un camarade. Ainsi, tous purent entendre quelques anecdote de chantier. Mais, lorsque toute la troupe arriva dans le quartier clanique, plus personnes ne parla. On aurais put entendre les mouches voler tellement le silence était profond. Même les enfants c'étaient tus. J'avais un discours à faire, mais j'avais décider de le reporter à dans une semaine. Afin que tout le puisse aménager, à son gré, sa nouvelle demeure. Me tournant vers la foule derrière moi, je dit:



"Aujourd'hui, nous avons tous posé le pied sur un morceau d'histoire. Nous avons tous foulé le sol qui désormais sera le notre. Et je dis bien le notre. En effet, cette terre est là notre. Ce Village est à nous. A nous tous. Il vous appartient comme il m'appartient. Désormais, nous vivrons tous ici. Mes amis, il est temps pour vous de connaître vos nouvelles demeures. Ce Village est votre maintenant..."

[Le RP ce passe quelques heures avant la rencontre avec Kira et Taiyou]

Mon périple à travers la neige et par la suite les arbres est enfin terminé, ça doit faire environs trois longues journées que je marche, je suis sale, je suis épuisé, tous ce que j'ai envie c'est de dormir dans un bon lit confortable, mais à tous les instants me reviens en tête la mort de mes parents. Je les revois, ce faire décapiter littéralement devant mes yeux apeurés de jeune adulte. Ensuite je me suis enfuis sous le dernier ordre de mon père et me voilà aujourd'hui. Je suis arrivé face à tant de monde, je n'ai jamais vu un aussi gros rassemblement. Au début, je me demandais bien ce que c'était, pourquoi y avait autant de monde et où j'étais. Peu importe, j'étais seul et sans défense, je ne me suis donc pas posé plus de question et j'ai rejoins le troupeau. C'est alors qu'un homme à la carrure imposante fit son arrivé et les personnes semblaient maintenant beaucoup plus alertes, beaucoup plus à l'écoute, j'ai donc deviné que cet homme était très important et surement le chef ici, ce sera donc ma cible dans les prochaines heures, je devrai lui parler pour intégrer son village. Après un bref discours de l'homme en question, je me suis rendu compte que j'assistais à l'inauguration d'un nouveau village et pas n'importe lequel, l'un des premiers village militarisés ninja, j'allais donc être en sécurité ici si on m'acceptait ! J'ai pris place auprès des villageois et je suis entré sans faire de vague, tous était si beau, j'allais assurément me plaire ici si je pouvais continuer de passer inaperçu et mener un train de vie tranquille jusqu'à ma mort.