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| Sujet: Partir un jour sans retour effacer son amour pour toujours ♫ Ven 29 Juin - 15:03 | |
| Une fois de plus, je m'étais réveillé avant que les lumières, situées au dessus de Kiri, ne soit allumées. J'étais allongé, dans mon lit, les yeux ouverts fixant le plafond de ma chambre, plongée dans le noir. Je ne bougeais pas, respirant si peu que l'on aurait cru à un mort. Mais, en réalité, j'étais bel et bien vivant, j'étais simplement entrain de réfléchir. En effet, plus d'une journée c'était écoulé depuis l'envois des troupes de Kiri vers Konoha et aucun messager n'avait encore foulé le sol de Kiri. Sans nouvelle du front, les habitants commençaient à s'inquiéter, à se morfondre et imaginé le pire. Ils se baisaient sur des éventualités donnant des frissons et faisait baissé le morales des habitants. Mais, après tout, nous n'étions pas à l'abri d'une défaite. Nous, la grande nation de Kiri, pouvions tomber. Surtout si nos combattants les plus doués et les plus méritants tombaient sur les champs de batailles. Soudain, je fut frapper par l'effroi d'une réalité probable. Et si Seiku, notre Chef à tous, tombait lors de cette bataille. Il faudrait alors mettre l'un de ses fils sur le siège de Kage. Cependant, sur les trois fils qu'avait le Kage, l'un était mort, l'autre était parti à la guerre. Et le dernier, le pire de tous, était resté ici afin d'organiser les troupes. Et, si ce fils sans coeur montait sur le trône, il ne ferait pas bon vivre à Kiri. Effrayer par cette idée, je me leva d'un bond. Il me fallait savoir ce qu'il advenait de notre Kage. M'habillant à la vitesse de l'éclair, je sorti ensuite dans la rue. Kiri étant plongé dans le noir, il me serai plus facile de sortir du village.
Marchant dans les sombres ruelles de Kiri, j'évitais avec soin les patrouilles d'hommes-poissons qui avait reçu pour ordre d'arrêter tout individu suspect. Et, à moitié recroquevillé ne me déplaçant que lorsque les patrouilleurs avaient le dos tournés, j'étais le parfait suspect. De plus, avec ce que je m'apprêtais à faire, il fallait mieux que personne ne me vois. Puis, arrivé devant l'entré amphibie, je marqua une pause. J'étais arrivé à l'endroit où tout allait ce jouer. Je ne pouvais plus reculer. J'allais devoir y aller. Sans bruit. Et sans être repérer. Soudain, j'entendis une respiration forte suivie d'un recalement de gorge léger. Quelqu'un était derrière moi. Je me retourna alors sans geste brusque pour découvrir Reiri, la jeune soeur de Torka. | « Jeune sirène rouge, Tu ne devrais pas être ici, Alors maintenant bouge, et retourne dans ton lit. »
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Je n'avais pas à être ici non plus. Cependant, elle n'était pas le censé le savoir. Et, même si elle me posait la question, j'avais déjà une réponse toute faite. Une mission secrète confier par le fils du MizuKage lui même dans laquelle il m'aurait confier un message à remettre de toute urgence à notre chef bien aimer. Soudain, une information me revint en tête. Une déclaration d'amour qu'avait chanté la jeune femme devant son miroir. oui, je l'avais espionné ce soir là. Mais, après tout, une source d'inspiration doit être surveillé... [img][/img] | « Tu t'inquiète pour ton prince, celui pour qui tu en pince. Yeah ! »
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Ce n'était pas très subtile mais je devais savoir si elle était prête ou non à m’accompagner. Si tel était son désir...
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